Vox on the road : Essen17 (jour 4)

Cher journal, aujourd’hui, on termine Essen. Dimanche. Jour 4. Des enfants partout. Des barbus chauves en casquette Pikachu. Du VIP dans les couloirs à s’arrêter toutes les cinq minutes. Une gorge qui pique de devoir surmonter le brouhaha de la foule. Des étoiles dans les yeux collés par la fatigue et/ou les belles surprises (on ne sait plus trop, surement un mélange des deux).
Heureusement, tout le monde est dans le même état.

 

galerapagos

Gigamic : Galerapagos

 

Qu’est-ce qu’on tourne comme vidéo guys ? 

Mathilde Spriet de chez Gigamic commence par nous servir le café devant un Galerapagos sorti depuis début septembre. Passé un peu trop sous le radar chez nous, le jeu allie coopération momentanée et coups de poignard dans le dos avec de la bonne élimination, ce qui fait de lui ce qu’on appelle dans le jargon technique « un jeu d’enfoiré ». Cette méchanceté dans la survie nous a semblé de fort bon aloi. On a hâte de s’y frotter ! 

 

alien-artifacts

Alien artifacts chez Portal

 

Entre deux rendez-vous businessy très importants, le sémillant Ignacy nous présente Alien Artifacts. S’il emprunte un bout d’ADN à 51e Etat et à Settlers, ce jeu à base de cartes n’est pas non plus une copie et encore moins une réédition. Il s’avère que les choix sont assez signifiants et agréables à effectuer, même si au début on a du mal à rentrer dedans (pas mal d’éléments contre-intuitifs de prime abord) mais mister Atom a beaucoup apprécié la chose ine fine. On n’a pas (encore) de boîte mais sachez qu’une VF est d’ores et déjà prévue, pour 2018, chez qui, en revanche, l’ami Ignacy ne pouvait pas le dire. Suspens…

 

pandasaurus

Pandasaurus : le stand ne paie pas de mine, mais il ne désemplit pas !

 

On aurait aimé rencontrer l’éditeur Pandasaurus, pour voir Dinosaur Island, Coaster Park et Red Scare, mais le stand est petit et surtout, il ne se vide jamais. On aura beau passer, repasser et repasser encore, on fera chou blanc. La prochaine fois, on prendra rendez-vous ! En tout cas, vu les discussions qui se sont déroulées par ici, on miserait bien un billet sur une localisation prochaine de leurs jeux…

 

21-days

21 days chez Scratch the Itch

 

Radeaux un jour, radeaux toujours ! Après Galerapagos, c’est au tour de Scratch the Itch de nous montrer ce qu’on peut faire d’un radeau. Jeu issu d’un concours BGG pour jeux solos, 21 days devient un titre coopératif dans lequel il s’agira d’aller grappiller du temps et des ressources pendant que notre radeau se désagrège. On vous en causait déjà par ici

 

Rise to Nobility

Rise to Nobility

 

Rise to Nobility veut faire passer un message. Non content de situer son placement d’ouvriers dans un monde de fantasy où nains et elfes sont égaux, on collaborera pour donner des emplois aux bonshommes qui rejoignent notre faction. Qui a dit que les jeux sont tous des émanations capitalistes où tout ce qui compte c’est d’écraser les autres dans sa course aux PV ?
Rise to Nobility, placement de dés-ouvriers, est signé par une petite équipe très motivée (Ivana Krstevska, Vojkan Krstevski, Maja Matovska, et Toni Toshevski sont les auteurs du jeu) et édité par Final Frontier Games dont c’était la toute première présence à Essen. Toujours sympathique de rencontrer des nouveaux acteurs !

 

 

Sandy Petersen

Sandy Petersen (Cthulhu wars, Orcs Must Die!…)

 

C’est très enrhumé que Sandy Petersen nous confie sa philosophie de game design autour de licences et d’équilibrage d’un ton bonhomme qui ne trahit absolument pas sa passion pour les tentacules lovecraftiens. Il nous annonce qu’il sortira un jeu de placement d’ouvriers pour 2018 avec un thème cthulhuesque légèrement détourné… Stay tuned!

 

Resident evil 2

Resident Evil 2 avec l’un des auteurs Sherwin Matthews

 

Resident Evil II: The Board Game essaie de reproduire fidèlement les mécanismes du jeu vidéo : zombies, objets combinables, monstres seulement réactifs et gameplay nerveux, on est vraiment dans un pur produit de Kickstarter, par l’éditeur qui a sorti Dark Souls: the Board Game, aka Steamforged Games Ltd. Cela sent-il bon ? Aucune idée, pour vous dire franchement ! Le jeu peut être injuste comme trop facile, avec les cartes événement de fin de tour. Donc, on attendra la livraison en 2018 pour en reparler.

 

Cerebria

Cerebria – chez Mindclash

 

Nous avions déjà un peu parlé de Cerebria. Mais le jeu de cartes associé, non. Demandant de mélanger pouvoirs de cartes bien interactifs et collection assez particulière, Cerebria : le jeu de cartes promet d’être un bon petit casse-tête sans pour autant demander trois heures comme sa version plateau. Mindclash Games fait partie des éditeurs à suivre, à n’en pas douter (avec Villő Farkas, leur illustratrice/directrice artistique de talent). Du coup, on reste attentif à ce qu’ils vont proposer sachant qu’on dirait bien qu’ils partent sur 2 jeux/an.  

dragonsgate college

Dragonsgate College chez NSKN

 

Le NSKN de l’automne est arrivé ! Dragonsgate College, dans lequel on éduque ses étudiants à devenir de super aventuriers. Sous un prétexte pastel-encré-médiéval-fantastique, on a affaire à un jeu plutôt… pas très avenant. Terne, pourrions-nous dire, certes. Mais sous le capot, on retrouve les auteurs de Yedo, Thomas Vande Ginste & Wolf Plancke, et on a une construction assez labyrinthique de modules qui semble bien tenir la route. De quoi bien se faire des noeuds au cerveau, mais pourquoi pas, après tout ?

 

Petite série de photos « si tu aimes Chvatil tape dans tes mains ! »

 

Petit tour du côté de Joan of Arc pour prendre des news du KS qui a passé le million de $ :

 

 

Stand de kamasutra

Stand de Kamasutra, y a du show !

 

On n’a pas tellement eu envie de jouer à Kamasutra avec le monsieur mais c’est parce qu’on avait rendez-vous !

 

lancelot chez Wizkids

Lancelot chez Wizkids, joli buzz

 

Lancelot buzzait un tant soit peu sur le salon, et pour cause, son papa est l’auteur de De Vulgari Eloquentia. Jeu de collection de ressources chez WizKids, il oblige à prendre des sièges qui rendent des actions plus faciles… jusqu’à ce qu’un adversaire vous en déloge ! Un mécanisme qui n’est pas sans rappeler le futur Architects of the West Kingdom dont nous avons parlé hier. Jeu à suivre !

 

lumberjacks

Lumberjacks est dans la place avec quelques boîtes de Karmaka !

 

Nous faisons une pause dans les interviews en anglais pour voir quelques compatriotes, à commencer par monsieur Balay qui nous parle de Welcome (Atom vous faisait son retour sur le jeu après y avoir joué le premier jour du salon).

 

Welcome with Alain Balay, futur Blue cocker

Welcome with Alain Balay, ze futur Blue cocker

 

Le chien bleu récidive avec l’illustratrice Anne Heidsieck pour ce « roll and draw sans dés ». On y construira sa banlieue pavillonnaire idéale à base de maisons à piscine, de jolis lotissements et de numéros bis qui nous permettront de pallier l’absence de numéros en nombre infini et d’avoir un peu plus de contrôle sur l’aléatoire. Malin. Arrivée au paradis urbain pour la fin d’hiver. Aux alentours de Cannes, murmure-t-on dans les sphères autorisées !

 

kill the unicorn arrive sur ks

Kill the unicorn arrive sur ks via Morning

 

Kill the Unicorns (V2 par Cyril Besnard, Loïc Chorvot & Alain Fondrille) a fait peau neuve et est devenu un jeu de cartes déjanté. Enchères & interaction indirecte au menu. On n’a plus de plateau et on cherchera surtout à accumuler le plus de points de victoire. Un peu de collection par-ci, un soupçon de gestion par là, un peu de déduction et d’enchère fermée de l’autre côté, et même du bluff par dessus. Bref, un mélange à l’allure détonante pour un jeu à plusieurs lectures. À tester, sûrement ! Le Kickstarter viendra bientôt. En attendant, on espère recevoir Hope avant la fin de l’année comme annoncé par l’équipe !

 

Azul a écoulé dans les 2000 boîtes sur le salon

Azul, gros succès, a écoulé dans les 2000 boîtes sur le salon

 

Azul était pour sûr un des big buzz du salon. Un Kiesling, Plan B aux manettes, du matos super joli, une couv’ colorée et accrocheuse (Philippe Guérin & Chris Quilliams pour les graphismes), des tuiles à s’en damner et un scoring plutôt très très futé. Du coup, quand Martin Bouchard, lead designer de Plan B, nous raconte un peu l’histoire éditoriale menant au projet, on apprécie. Rendez-vous dans quelques jours pour la vidéo ! 

 

Clans of Caledonia, joli succès pour cette auto-édition

Clans of Caledonia, une auto-édition qui a trouvé son public !

 

Clans of Caledonia a été sans conteste un superbe kickstarter pour son auteur et a passé un très bon salon (terminé deuxième du classement Fairplay). Juma al-Joujou de son petit nom a choisi l’Écosse et la culture du whiskey pour base, en empruntant ce qu’il avait apprécié dans Navegador et Terra Mystica. Le tout donne un jeu de gestion finalement limpide pour le genre, 3X (pas d’extermination ici) avec des pouvoirs asymétriques fort sympas. On veut bien y goûter !

 

Cranio avec Tale of pirates, salue les visiteurs

Cranio, avec Tale of Pirates, salue les visiteurs quittant le salon…

 

Tale of Pirates, on n’a pas eu le temps de tourner l’interview, mais on a pu récupérer une boîte. Le jeu imaginé par le trio fou Asger Harding Granerud (Flamme Rouge…), Daniel Skjold Pedersen (13 days…) et Daniele Tascini (Tzolkin…) s’appelait il n’y a pas si longtemps encore « Legacy of pirates » et je vous en avais causé longuement par ici. Ambitieux dans son approche, le jeu mixe tous les gimmick à la mode : du legacy, une application, du matos en 3D, du coop’, des sabliers-pions… On va enfin savoir ce qu’il a dans le ventre, moussaillons !

 

Selfie avec Villő Farkas, la talentueuse directrice artistique de MindClash

Selfie avec Villő Farkas, la talentueuse directrice artistique de MindClash !

 

Des retours de parties jouées ! 

► Onitama

Il s’agit d’un jeu abstrait minimaliste à 2 joueurs, le but du jeu est de “détruire” tous les pions adverses ou de placer son maître sur la case du maître adverse. Pour cela, nous avons chacun 2 cartes devant nous qui nous permettent de nous déplacer sur l’échiquier, plus 1 au milieu.

Quand on joue une carte de devant soi, elle est placée au milieu à la place de celle présente, elle devient donc disponible pour l’adversaire au tour suivant.

onitama

Simple et efficace. La rejouabilité est au rendez-vous car on va sélectionner 5 cartes par partie (les autres seront rangées dans la boîte). Simple et efficace, je disais. On se met à la place de l’adversaire puisqu’on a compris ses mouvements, les ayant déjà utilisés…

Une vraie bonne surprise (signée Igiari, chez Novalis) d’autant plus que je ne suis pas vraiment client des jeux abstraits, mais celui-ci est tellement intelligent qu’il a fait mouche immédiatement.

 

► Konja

C’est la sécheresse dans notre village. Nous sommes des chamans qui vont faire tomber une pluie, une pluie de points de victoire. La fin du jeu se déclenche quand un joueur atteint 21 points, on termine le tour et on sacre le vainqueur.

Konja est un jeu à 2 joueurs avec des dés et un peu de stop ou encore, des ressources (des jetons d’argent, de magie, et de relance) que l’on trouve chez Pixie. Chaque joueur a devant lui des cartes « relique » qu’il peut activer à son tour ainsi que des cartes magie.

À son tour, un joueur peut activer une des 4 tuiles et réaliser l’action correspondante. Ensuite, il doit lancer les dés et appliquer les résultats. Si on fait 4, 5 ou 6, on prend des jetons de relance. Pour deux chiffres identiques ou plus, on prendra autant de jetons de magie. Pour une suite de 3 chiffres, on prend 3 pièces, (plus si la suite est plus grande) et enfin, si l’on a un brelan, on prend un jeton de points de victoire (3 PV), plus si un carré, etc. On peut utiliser nos jetons de relance pour relancer un ou plusieurs dés.

konja

Les actions nous permettent de récupérer des jetons de différentes sortes, acheter de nouvelles cartes magie, ou des cartes « relique », ou bien d’acheter des points de victoire. Cette action profite aux deux joueurs mais le joueur actif bénéficie d’un petit bonus.

L’interaction est au rendez vous, aussi par un côté un plus agressif. Par exemple, je peux, après qu’un joueur a lancé ses dés, lancer un autre dé qui va remplacer un de ses dés et ainsi lui faire rater un brelan (par exemple).

Le jeu est très malin. Il n’a pas l’air fou comme ça, mais quand ça connecte, on se fait vraiment plaisir à tenter de contrecarrer le jeu de l’adversaire, à réfléchir à nos prochains coups. Petit bémol, l’iconographie n’est vraiment pas instinctive. C’est vraiment perturbant, mais une fois que l’on s’y est fait, Konja roule tout seul.

 

► Small island

Nous allons collectivement construire des îles à l’aide de tuiles, des grandes îles ou des petites îles (d’où le nom du jeu).

À notre tour de jeu, nous avons le choix parmi une rivière de 3 tuiles plus les 2 tuiles que nous avons en main. Au début de la partie on distribue à chaque joueur 2 cartes objectif (il en choisira une). Chacune d’elle a une condition et un scoring. Par exemple, je pourrais construire un comptoir sur une île si celle-ci possède un temple et une ressource champignon et feuille. Je marquerais un point par champignon présent sur l’île où j’ai placé mon comptoir. Si les conditions sont requises sur plusieurs îles, je peux placer plusieurs comptoirs à la fois. La condition de scoring est déclenchée par un participant mais tous les joueurs peuvent en profiter. Attention, on ne pourra pas placer un comptoir sur une île ou l’on a déjà marqué.

 

small-island

 

Rapide, avenant et familial avec du contrôle, ce jeu de tuiles est très agréable à mon goût. Comme c’est un prototype, il reste des petites choses à équilibrer, une iconographie à parfaire, mais le jeu tient la route, ou plutôt la voilure. Une version plus experte, que je n’ai pas testée, est même proposée aux joueurs plus exigeants. Le jeu devrait sortir chez Mushroom Games qui fait son come back en 2018, et devrait être distribué par Pixie Games.

 

► Pioneers

Après Montana, c’est reparti pour la conquête de l’ouest avec un jeu de Emmanuel Ornella chez Queen games. Nous allons construire des routes et y placer nos pionniers. La partie se termine quand un joueur a placé toute ses routes ou ses pionniers sur le plateau. On comptera 2 points de victoire par pionniers reliés par des routes à sa couleur.

pionneers

Au début du tour du joueur actif, on fait notre phase de revenu, et on peut jouer plusieurs actions, d’achat comme construire des routes, ou acheter une diligence avec à son bord quelques pionniers.

Ensuite on peut déplacer la diligence jusqu’à une tuile du plateau si l’on a le pionnier qui correspond. On le place sur le plateau et on récupère la tuile qui va nous donner un bonus immédiat.

Ici aussi un jeu très rapide à comprendre, plutôt familial et très fluide, un jeu que je n’attendais pas mais qui m’a agréablement surpris.

 

Upstream

Pour terminer, on a joué des saumons qui remontent le courant pour aller s’accoupler à la saison des amours. Et oui ! Mais le chemin est semé d’embûches, des aigles, des hérons ou des ours nous attendent pour nous dévorer. C’est tellement beau comme thème. Merci 2tomatoes. 

upstream

À notre tour, on a 5 points d’action que l’on peut répartir comme l’on souhaite avec tous nos saumons. Chaque type de prédateur agit différemment. Par exemple le héron dévore un de nos saumons si l’on s’arrête sur sa tuile. Chaque tuile ne peut pas accueillir plus de saumons que de joueurs.

À la fin d’un tour, la rivière avance. À chaque tour on enlève les 3 premières tuiles et gare aux retardataires qui sont éliminées de la course.

 

upstream-2

 

Le jeu se termine quand un certain nombre de saumons sont arrivés au bout de la piste : on comptera les points pour chaque survivant, plus un bonus pour ceux arrivés en premier. Un jeu plus malin qu’il n’y paraît, qui jouit d’une direction artistique sympathique.

 

nous

 

Et voilà, c’est terminé, et vous savez désormais à peu près tout ce que notre équipe a fait pendant le salon ! (Le jour un, le jour deux, le jour trois sont à lire sous ces liens). 

Maintenant nous allons tâcher de rentrer en France avec nos rushs de vidéos et nos boîtes de jeux sous le bras : on est loin d’en avoir fini avec Essen17 !

Tchuss!

 

La Rédac

 

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11 Commentaires

  1. Achéron Hades 30/10/2017
    Répondre

    Merci pour votre retour sur Konja, je l attendais de pied ferme.

    • atom 31/10/2017
      Répondre

      J’ai vu que tu l’avais demandé, ça m’a donné des idées.  Merci 🙂

      • Achéron Hades 01/11/2017
        Répondre

        Toujours au top le Vox.

        Bon j’ai plus qu’a attendre qu’il arrive pour que je puisse faire tomber la pluie, en Bretagne c’est un comble 🙂

  2. fouilloux 30/10/2017
    Répondre

    Dès que Dinosaur Island arrive, je fais un ch’ti JP 🙂

  3. Gougou69 30/10/2017
    Répondre

    Concernant Resident Evil 2, le mieux est de ne rien en dire. Ca évite d’avoir à se fâcher avec un éditeur… 😉

  4. morlockbob 30/10/2017
    Répondre

    ..et bon Halloween, vous l’avez bien mérité !

  5. Dr. Jacoby 30/10/2017
    Répondre

    Pandasaurus c’était la hype du festival ! Les mecs s’emmerdent même pas à faire des demos de leur jeu, ils déballent leur stocks, mettent une pancarte « sold out – preorder only » en haut de la pile et encaissent les biftons ! Easy
    (ceci dit le coaster park avait de la gueule)

    • Umberling 31/10/2017
      Répondre

      Et Pandasaurus a eu des rendez-vous surprise de la part de distributeurs prominents. Donc on pourrait voir ça apparaître en français, peut-être…

  6. Bgarz06 31/10/2017
    Répondre

    Merci encore à toute l’équipe de Ludovox pour votre couverture pro du salon d’Essen.

    Content de vous avoir croisé et d’avoir fait la connaissance d’Atom (et de ses tuyaux de jeux)…

    Au plaisir de TOUS (@Shaman) vous retrouver chez nous à Cannes fin février ^^

    • Shanouillette 31/10/2017
      Répondre

      Plaisir partagé ! 🙂

    • atom 01/11/2017
      Répondre

      Merci, content de vous avoir vu aussi. Mon regret sur le salon étant que je n’ai pas réussi a rencontrer les joueurs, heureusement qu’il y avait les apéros le soir pour discuter.

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