À quoi tu joues ? Mai 25 : River Valley Glassworks – Rebirth – Dossiers Criminels Pocket – Schadenfreude – Seas of Strife – Popcorn – Operation Barclay – Imperial Struggle – Camarades – Clash of the Ardennes
C’est reparti pour la chronique À Quoi Tu Joues ? Notre format qui parle des derniers jeux auxquels l’équipe a joués. Que ce soit les dernières nouveautés ou des jeux plus anciens. Rien à voir avec la saison, on se retrouve avec des duels de la Seconde Guerre, du crime à résoudre et du jeu de plis dans ce numéro. Mais aussi deux titres de Reiner Knizia ; un petit tour en rivière ou dans les salles obscures.
River Valley Glassworks
Si vous prenez le temps de regarder le fond des rivières, vous vous apercevrez qu’elles regorgent de petites choses scintillantes : émeraudes, diamants et autres améthystes. Les animaux qui habitent dans le secteur l’ont bien compris. Loutres et crocos vont tenter de récolter ces gemmes attractives. Qui a cru que la gemmologie était réservée aux humains ?
Dans River Valley Glassworks, vous allez ramasser des gemmes dans un cours d’eau et les mettre dans votre étal à pierres précieuses. Les gemmes ont deux caractéristiques : une couleur et une forme. À votre tour, choisissez une gemme de votre bourse pour la placer sur une zone de la rivière correspondant à la même forme, puis prenez toutes les gemmes d’une des zones de rivière directement adjacentes. Vous pouvez aussi poser deux gemmes de même forme sur n’importe quelle zone (quelque soit la forme) pour faire la même chose. La zone vidée sera mise en aval de la rivière et complétée par de nouvelles gemmes tirées au hasard d’un sac.
Une fois vos gemmes ramassées, placez les dans votre étal en respectant cette fois la condition couleur : Les colonnes ne peuvent être que des gemmes de même couleur, et les lignes ne peuvent avoir que des couleurs différentes. En plus de cela, il faut remplir de bas en haut et de gauche à droite. Les points de fin de partie se feront en fonction des 2 colonnes les plus hautes, et des lignes de votre tableau. Évidemment, plus une colonne est haute, plus elle sera rentable, particulièrement celles les plus à droite de votre étal, mais aussi les plus difficiles à atteindre.
Sous couvert de règles relativement simples, River Valley cache un jeu de collection intéressant. Même s’il y a une part de chance non négligeable sur le tirage des gemmes, il faudra faire les bons choix et parier sur les bonnes gemmes pour espérer maximiser ses points. D’autant que, évidemment, il y a une notion de rareté entre les gemmes. Vais-je privilégier les gemmes différentes pour faire plusieurs lignes, ou essayer de faire des colonnes. Il sera aussi intéressant de regarder le jeu des autres et ne pas laisser des gemmes trop rentables pour nos adversaires Et la pression de voir se pointer rapidement la fin de partie est palpable : à la 17ème gemme posée par un joueur, le jeu entame son tour final. Croyez-moi, on y arrivera vite ! Le jeu est plutôt mignon par ces illustrations anthropomorphistes, bien que un peu ternes à mon goût, et toutes ces gemmes colorées. Tout à fait accessibles aux enfants dès 7 / 8 ans, voilà une proposition de jeu familial tout à fait satisfaisante.
-MeepleCam
Un jeu de Adam Hill, Ben Pinchback, Matt Riddle
Illustré par Andrew Bosley
Edité par Allplay
Schadenfreude
Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Vous aussi avez eu la même réaction ? Il s’agit non pas un jeu allemand, mais bien japonais ! Il tire son titre d’une expression qui le décrit bien et qui signifie : « joie du malheur d’autrui » (bien identifiée depuis Aristote). Nous sommes ici au cœur de la culture du jeu de pli. Les plus téméraires et les blasés des jeux accessibles pourront s’y retrouver, car il va falloir porter sa vision des coups assez loin. Dans ce Must Follow (je dois suivre la couleur demandée), ce n’est pas le meilleur qui remporte un pli, mais le second. Et ce n’est pas celui qui a le plus de points à la fin de la partie qui gagne, mais le second… Hein ? Quoi ?
Il y a quatre couleurs, sans atout. À chaque pli, on collectionne les cartes heureusement ou malheureusement gagnées. Une manche se termine lorsque toutes les cartes sont jouées. Parmi sa collection de cartes gagnées, toutes les paires de valeurs identiques s’annulent. Chacun totalise ainsi ses points figurant sur ses cartes accumulées, puis avance son meeple d’autant de cases sur une piste de 40 points. Et tout est là : le premier qui sort de la piste au-delà de 40 perd, le second gagne la partie !
Machinalement, le malheur va se concentrer sur une personne choisie selon la circonstance. Celui qui a le plus de points ? Certainement, chargeons-le encore un peu plus pour le faire sortir. Ou bien, celui qui est dernier, tiens, mettons un maximum de points sur lui, il pourra ainsi être catapulté de la dernière à la première place, voire même se faire directement éjecter en une manche, miam ! « Ça nous plaiiit ! Gollum, Gollum ! »
Vous l’avez compris, Schadenfreude est un jeu à forte interaction, où il faudra esquiver les coups, se faire discret, se glisser dans la partie, sans trop se démarquer au risque de devenir la cible, pour enfin surgir au moment opportun et finir en deuxième place. Assez exigeant mais unique en son genre et bourré de twists. Pour les fines lames du pli.
-Groule
Un jeu de CTR
Edité par Studio Turbine
Seas of Strife
Un autre jeu de pli ! Un autre Must Follow (je dois suivre la couleur demandée) où l’objectif est d’avoir le moins de plis à la fin de la partie (Trick Avoidance), assez atypique, mais pas nouveau (2015). Ici, une multitude de couleurs asymétriques compose le paquet. Chaque couleur aura un nombre de cartes différent, et sa gamme de valeurs sera plus ou moins haute.
Le twist principal est qu’il sera possible de suivre n’importe quelle couleur parmi celles jouées sur la table, y compris celles « pissées » par les autres joueurs. De plus, le pli sera remporté par la carte la plus forte, mais dans la couleur majoritaire (pas forcément la première couleur demandée donc) !
Heureusement, l’édition permet astucieusement de se repérer : des picots en bordure de cartes indiquent où elles se situent dans leur couleur et combien il y en a au total. Avec ces informations, et sachant que tout le paquet entier est distribué, on pourra naviguer entre les rochers. N’exigeant pas forcément de gros calculs cérébraux mais surtout de la jugeote, vous devrez esquiver un maximum de plis, défausser les cartes les plus fortes au moment où le risque est moindre, sinon user de vos petites valeurs. On reste dépendant de sa main de départ, mais plusieurs manches vont permettre d’équilibrer le tout. Original, bien pensé, pour joueurs initiés et plus. Merci à Arnaud de Osez Jouer! Pour la découverte.
-Groule
Un jeu de Marc major
Illustré par Beth Sobel, Klemens Franz
Edité par Amigo, Rio grande Games
Rebirth
Vous êtes plutôt Écosse ou Irlande ? On va commencer en Écosse, c’est la version pour débuter, mais rassurez-vous, ce jeu a des règles simples. Un nouveau Reiner Knizia, un vrai nouveau jeu, dans lequel l’action est de prendre l’un de ses jetons face cachée et le placer dans un endroit dédié, et de préférence là il va rapporter immédiatement des points, ou en fin de partie pour remplir un objectif secret ou gagner une majorité. On place le blé sur les emplacements blé, l’énergie sur la foudre et les villages dans les villages. Simple ! En se plaçant autour d’une cathédrale on va piocher un objectif secret, et c’est intéressant de connaître assez tôt s’il faudra être majoritaire dans telle région, ou avoir le plus de sa couleur en bordure de mer. Les châteaux rapporteront des points à la personne ayant remporté la majorité de possessions à ses abords, ça se construit petit à petit. Et les points qu’on score directement aussi sont vite calculés: un point par jeton adjacent de la même catégorie (4 blés qui se suivent = 4PV). Il ne reste plus qu’à se placer au mieux.
Au début on égraine ses jetons en Écosse, pépère, puis la tension monte surtout en milieu de partie. On va chercher à remporter des châteaux, se placer au mieux dans les villages où les points peuvent être partagés, et remplir ses objectifs.
Ça fait un bien fou de jouer à un jeu sous tension avec des règles simples, une seule action très guidée par tour. Rebirth est un bon Knizia, accessible aux non joueurs et bien plaisant pour les joueurs.
-Natosaurus
Un jeu de Reiner Knizia
Illustré par Anna « Mikado » Przybylska, Katarzyna Redesiuk
Edité par Mighty Boards
Dossiers Criminels Pocket
Les Dossiers criminels étaient des enquêtes de bonne qualité, un dossier ainsi que des enveloppes à débloquer, nous permettant d’avancer pas à pas et de valider au fur et à mesure notre compréhension de l’histoire. Les dossiers criminels pocket n’offrent pas le même format d’enveloppe, mais nous sommes toujours guidés dans notre avancée par une autre astuce. Le jeu se compose de 46 cartes, numérotées et classées, que l’on lit l’une après l’autre. On va ainsi découvrir petit à petit tout ce qu’il y a à savoir pour répondre à la question : qui ?
Les cartes présentent des extraits de journaux, des personnages, des plans, des faits à savoir, des photos à une certaine heure… et on finit la lecture de ces cartes par un labyrinthe pour identifier le coupable. On part du portrait de notre coupable et si le chemin nous mène jusqu’au centre, c’était la bonne personne.
Ces dossiers Pockets sont vite résolus, en tout cas pour Qui a tué Meredith Carter ? et Qui a tué Jasper Van Der Meer ?, tout est plié en moins d’une demi heure. L’histoire la plus intéressante est celle de ce cheval, Lord Ravary II retrouvé mort. On apprendra des choses sur les chevaux, et l’histoire est bien écrite. C’est un genre d’enquête où il faudra principalement vérifier les alibis de chaque suspect, et par élimination, nous arriverons jusqu’au coupable. Bref, je vous conseille Qui a tué Lord Ravary II si vous avez envie d’une petite enquête sympa.
-Natosaurus
Un jeu de David Boitier , Maxime Perrin, Morgan Rauscent, Jules Burghardt
Illustré par Zompa Design
Edité par Platonia Games
Popcorn
Trouver un thème qui colle à son propos, aux mécaniques n’est pas chose aisée, mais quand cela arrive on applaudit des deux mains (voire plus). Pop Corn se passe au cinoche avec des salles, des spectateurs et des films. Alors là, bravo ! Les pastiches d’affiches, clin d’œil aux genres romantiques, actions etc, des classiques aux blockbusters sont des pépites, tellement parlantes qu’il n’est pas rare dans la partie de choisir le film alors que ses effets de jeu ne sont pas les plus intéressants. Dingue !
Comment ça se passe ? Chaque joueur gère son cinéma et doit attirer les spectateurs : une grande salle avec de nombreux fauteuils, des films en phase avec le public, des nouveautés. Et si vous pouvez placer les bons clients sur les bons sièges et devant les bons films (couleur qui correspondent), vous gagnez des bonus. Et … du popcorn ! Jeu de gestion, de développement, pose d’ouvriers et bag building, le jeu reste abordable malgré cette tripotée de termes techniques. S’il demande un peu de réflexion, ce n’est pas non plus un jeu expert (l’argent est comme souvent le nerf de la guerre).
Voilà au final un jeu qui réussit parfaitement sa proposition ludique : une bonne présentation, une thématique très bien exploitée, des mécaniques efficaces et un prix raisonnable (attention néanmoins aux cartes qui se plient facilement)… Bientôt un César !
-Morlock
Un jeu de Victor Saumont
Illustré par Emilien Rotival
Edité par Iello
Camarades
Voici la réédition d’un vieux jeu du Docteur Knizia édité par la Boutique le Passe temps et Offline Editions. Camarades est un jeu de dés où il faut faire les bonnes faces pour valider des contrats personnage. Si à l’époque, le petit plus d’enlever un dé à chaque fois qu’on n’obtient aucun résultat satisfaisant était novateur (j’imagine), aujourd’hui c’est assez faible, mais pourquoi pas. À quatre joueurs notre partie a duré une demi heure, c’est beaucoup trop looong… Surtout qu’on n’a aucun recours, aucun moyen de se rattraper si les dés ne sont pas avec nous. On lance et on valide – ou pas.
L’extension Bombe, patate chaude qui va faire le tour de table avant d’exploser est amusante, sauf qu’il est quasi impossible de la valider. Il fallait un jeu de dés puisque le partenaire éditeur de ce jeu fabrique des pistes à dés, mais pourquoi avoir tapé dans quelque chose d’aussi basique (dont les retours pour les versions précédentes sont peu engageants) ? Pickomino, Roi et compagnie, Las Vegas ou Mille Sabords sont des jeux de dés avec un peu de stratégie et démontrent ainsi au public qu’on peut allier les deux. Pas ici. Quant au tapis qui l’accompagne, l’éditeur de ce jeu en fabrique. Bonne qualité, unique, représentant un pays imaginaire, c’est le meilleur élément de ce jeu.
-Morlock
Un jeu de Reiner Knizia
Illustré par Victorien Del Tatto
Edité par Offline Editions
Opération Barclay
Nous sommes en 1943, les Alliés lancent l’opération Husky et veulent envahir la Sicile, le plan de Churchill. Les forces de l’axe sont bien renseignées et connaissent les plans des alliés. Dans Opération Barclay, chacun va tenter d’enfumer et tromper l’adversaire sur ses intentions. Dans ce duel asymétrique, un joueur incarne les alliés qui vont se cacher des forces de l’axe. Au début de la partie, les alliés vont placer leurs tuiles face cachée sur les divers fronts où les alliés peuvent agir, soit l’offensive principale et secondaire. Le joueur allié doit tenir le plus longtemps possible. Le joueur de l’axe, quant à lui, doit trouver où se cache son adversaire en seulement six manches.
L’un après l’autre,on joue une carte à la fois afin de constituer la main la plus forte selon les principes du poker, un brelan bat une paire, etc, mais aussi pour les effets des cartes. Si les trois premières cartes sont jouées face visible, les suivantes le seront face cachée, ce qui laisse de la place au bluff. On va aussi parier sur le joueur qui a la main la plus forte, on peut parier sur nous même ou l’adversaire.
Au moment de la résolution, on contrôle celui qui a la main la plus forte, mais aussi celui qui a le plus d’icônes d’un type. Avoir la combinaison la plus forte, c’est d’un côté faire perdre du temps à l’Axe, et du côté de l’Axe, il va pouvoir révéler une tuile, ce qui pourrait lui permettre de trouver les alliés ou de deviner où ils se cachent. Du bluff, du pari, de la déduction, un peu d’enfumage, quelques pouvoirs à déclencher Voilà en résumé l’esprit du jeu.
Je n’ai pas complètement été séduit par le jeu, malgré son édition très qualitative. Les tuiles sont en bakélite, les cartes grand format ont de superbes illustrations. En fait, j’ai eu du mal à entrer dans le jeu. Finalement on joue nos cartes pour surtout faire des combinaisons de poker, le côté pari, bluff déduction je suis passé un peu à côté. Même si j’avoue que ça colle bien avec l’univers d’espionnage et enfumage. J’ai apprécié la découverte, mais je n’ai pas forcément ressenti l’envie de remettre ça.
-Atom
Un jeu de Maurice Suckling
Illustré par Carlos Ureta, Meeple Foundry
Edité par Salt & Pepper Games
Clash of the Ardennes
Dans ce duel on incarne ici aussi les forces de l’axe ou les alliés, face-à-face, sur 7 lignes de front. L’objectif peut être de remporter la 3e ligne ou bien les lignes 3 et 5, dans tous les cas, on l’emporte aussi si l’on a gagné trois lignes.
Le plateau et l’univers visuel font penser à un wargame mais en réalité, c’est plutôt un jeu abstrait. À notre tour, on va jouer nos tuiles char, infanterie ou encore mines antichar sur une des lignes de front. Nous avons plusieurs points d’action à dépenser. On peut rusher sur ses lignes ou essayer d’enfumer l’adversaire en dispersant nos forces et en le bloquant si l’on voit qu’il va gagner une des lignes.
Au début, on ne sait pas vraiment ce qu’on fait, mais lorsque nos armées (car c’est le thème), se trouvent face à face, le jeu se révèle. Grâce à un mécanisme de type « pierre-feuille-ciseaux », les chars détruisent les infanteries, qui détruisent les mines antichars, qui détruisent les chars.
Le jeu est bien plus futé qu’il n’en a l’air au premier abord. Il faut anticiper les placements de l’adversaire, surveiller ses forces restantes, etc. À noter que le jeu est assez cher, car l’éditeur a fait le choix d’un matériel très qualitatif avec des tuiles en bois peintes de tailles différentes et non du carton. Il y a aussi quelques tuiles asymétriques pour varier les plaisirs. Une très bonne surprise.
-Atom
Un jeu de Elwin Klappe
Illustré par Elwin Klappe, Steve Woudenberg
Edité par Elwin Klappe
Imperial Struggle
Dans Imperial Struggle les empires français et britanniques s’affrontent sur trois axes, le commerce, la diplomatie et la guerre. Un Duel asymétrique qui va durer six manches avec des phases de paix et des phases de guerre. Concrètement, on sélectionne un jeton pour réaliser une action majeure et une action mineure avec un nombre de points d’action. Le but étant de devenir hégémonique sur les quatre territoires : Inde, Europe, États-Unis et Caraïbes. Mais aussi de contrôler le commerce et préparer les quatre guerres qui vont arriver en fin de manche. On peut aussi jouer des cartes qui vont nous offrir des bonus ou actions supplémentaires. J’arrête là pour la présentation, vous avez les bases.
Imperial Struggle est moins compliqué qu’il n’y paraît, mais il faut avoir absolument l’œil partout et ce n’est pas lisible immédiatement, il faut compter régulièrement ses drapeaux et ceux de son adversaire, mais aussi les forces en présence, etc. On est dans un jeu ultra interactif, on choisit une action pour peut-être empêcher son adversaire de la réaliser, mais surtout on va prendre des marchés, sur le territoire pour maîtriser, épices, cannes à sucre et autres ressources, enlever ceux de l’adversaire, créer des zones de conflits pour réduire l’influence de l’adversaire, etc.
N’espérez pas jouer une partie découverte en 2 ou 3 heures comme l’indique la boite, ça sera plutôt 4 voire 5 h, car je le répète, il faut avoir l’œil partout, par exemple, telle guerre va donner des bonus si on contrôle tel territoire et c’est thématique. Plus on connaît le jeu et plus on doit maîtriser et y trouver du plaisir. Il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte.
Je vous invite donc à lire l’article de El Duderino, qui est évidemment bien plus complet. Imperial Struggle est un jeu qui sort de ma zone de confort, j’en sors épuisé, mais j’ai apprécié la découverte et je pourrais remettre ça, mais il faudrait pour cela pas trop espacer les parties pour ne pas perdre tout l’enseignement de cette découverte.
-Atom
Un jeu de Ananda Gupta, Jason Matthews
Illustré par Terry Leeds
Edité par GMT Games
Distribué par Nuts! Publishing
C’est tout pour aujourd’hui et c’est déjà pas mal ! Et vous, à quoi avez-vous joué dernièrement de notable ?
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