T’es une star pour les gens qui t’aiment : Umberling
C’est quoi cet article bizarre ?! (quater repetita)
Nous avons débuté une nouvelle série de chroniques « T’es une star pour les gens qui t’aiment » pour vous faire découvrir un peu plus nos chers testeurs… mais aussi les membres de la rédac permanente du Vox. Y a pas de raison !
Umberling, vous l’avez forcément lu, puisqu’il vous pond des Editos un peu barrés toutes les semaines. C’est une de ses sales manies.
Il vous raconte où en est, ce qu’on trame, ce qu’on a publié de sympa.
Et quand il n’est pas en train de traduire des trucs, publier des romans ou faire passer des exam’, il joue à des jeux de société et vous narre ensuite tout dans des Just Played.
Mais qui est-il, cet Umberling ? D’où vient-il ? Que fait-il ? Qu’est-ce que c’est que cet avatar ?
Et surtout (parce que le reste on s’en fout un peu), comment lui mettre la misère aux jeux de société ?
Vous saurez tout et plus encore en lisant ce qui suit.
Umberling, c’est qui ce mec ?
Je suis allé fureter un peu sur internet parce que c’est marrant d’aller trouver des trucs sur les gens qu’ils ne maitrisent pas toujours.
Là je suis tombé sur son dernier roman « Or et nuit », extrait de la présentation :
« On y voyage de cités mortes en jardins luxuriants, de royaumes en déserts et de geôles en palais. On y croise djinns et ghûls, sultans et dragons, reines et démons, et les lignées maudites s’y affrontent autant que les passions se déchaînent. Vois-tu, elle recèle en son cœur une bien plus unique distinction. Cette histoire d’amour et de mort est vraie : je l’ai vécue. Parole de Shéhérazade.
Mathieu Rivero est un jeune auteur lyonnais, dont Or et nuit marque l’entrée en fantasy par la porte de l’inspiration orientale à la Mille et une nuits, dont il constitue une suite. Les récits s’y mêlent, les destins aussi, des voleurs et des princes, des royaumes et des sortilèges, des complots et des combats : la magie et le suspense sont au rendez-vous.
Il y a plus d’un enchantement entre ces pages ! »
Comme il est du genre sympa avec ses collègues, il en a offert un à Shanouillette pour son anniversaire. J’ai regardé rapidement et déjà, un constat : y a plein de pages.
Et là y a 2 choses qui me sont venues à l’esprit.
Premièrement, comment un apôtre de la sainte concision comme lui a pu écrire autant de mots dans ce bouquin ?!
On est venu aux mains parfois parce que je lui demandais d’expliciter sa pensée au-delà des quelques mots qu’il utilisait.
Parce qu’il faut savoir qu’Umberling est dans la densité. Chaque mot est choisi mé-ti-cu-leu-se-ment pour son sens précis et avec une belle économie efficace.
Le problème c’est qu’il est un peu à l’opposé de la pensée américaine au cinéma où tu as genre le mec à l’écran qui dit tout haut tout ce qui lui passe par la tête. (Ce qui est vite énervant pour le coup).
Là, tu as 7 mots qui résument la dernière thèse de Michel Serres sur l’impact des sciences modernes du mode de pensée occidental.
Je me souviens de son article sur la coopération totale où, au regard des commentaires, certaines personnes étaient passées à côté de la subtilité de son propos.
Extrait.
« La chose, l’empêchement, a dans la théorie du jeu un nom bien précis : le bruit. »
Concis le garçon, on vous dit.
La deuxième chose qui m’est venue est liée à la passion qui se dégage de ce résumé : « les récits, les destins, les princes et les sortilèges… tout ça tout ça. ».
Attends.
Est-ce qu’on parle du même mec qui me regarde froidement en additionnant des cubes de ressource ou en calculant les meilleurs combos de cartes sans tiquer qui a écrit un truc « incroyable » avec des intrigues et du fantastique ?
Parce que généralement, on est plus sur du :
- « je paie 3, je mets un mage, je prends 5 points de victoire et je gagne la partie »
Que sur du :
- « alors que l’hiver faisait rage dans ce petit village perdu des montagnes, le mal s’approchait et l’heure était aux décisions. Le seigneur inspecta l’état de ses ressources. Un regard à son conseiller et tout était dit.
Envoyez un mage à la grande passe et qu’il sache bien qu’il ne doit faillir à sa tâche. Les 3 messagers partirent à l’autre bout du royaume quérir l’élu. Celui-ci se tint debout au petit matin à l’endroit et à l’instant dit. Son bâton luisait de la même lumière que celle qui brillait au fond de son âme. La détermination irradiait de son visage glacé par la bise sud-sud-est qui soufflait de la grande passe de Quiddington, ville de tous les secrets. Alors que le monstre s’avançait, Grakton repassait dans son esprit ce que lui avait révélé son ami d’enfance la veille à la taverne. Pas maintenant se dit-il. Pense au moment présent.
Ses lèvres formèrent les mots magiques et avant même que la bataille soit commencée, tout était dit.
Le golem s’effondra, le mage ramassa les 5 pierres de puissance et la légende chanta sur son passage.
La victoire était totale. »
Donc bref, quand je regarde son bouquin, j’ai le 2ème paragraphe ci-dessus, quand je joue contre lui, le 1er. Pourquoi n’ai-je pas droit à ces belles phrases pleines de roleplay dans une partie ?!
Je crois que c’est lié à la concision et à ce qu’il appelle le bruit.
Car Umberling aime la précision, la concision et l’efficacité aussi dans les jeux. De telles longues phrases sont le « bruit » qui empêche son esprit de trouver la faille qui vous détruira.
Tiens d’ailleurs en parlant de concision, on peut regarder la présentation de l’auteur Numéro 766 (on est pas loin de 666 méfiance) chez Moutons électriques qui a un vague rapport avec notre sujet :
« Mathieu Rivero a toujours aimé manipuler le langage, ce qui l’a amené à étudier et pratiquer la traduction, mais aussi à enseigner les langues. Entre deux feuillets, il apprécie beaucoup les jeux de plateau. Il vit aujourd’hui à Lyon. »
39 mots. Oui, en 39 mots, on apprend qu’il est traducteur, écrivain, prof de langues, qu’il joue aux jeux de société et qu’il vit à Lyon.
Je pense qu’il l’a écrit lui-même.
Attend j’ai pas compris ce qu’il faisait sur Ludovox ?!
Ah oui tiens, c’est marrant, j’en ai pas encore vraiment parlé.
Oui en fait je me lâche, parce qu’il va pas me relire en découpant toutes mes phrases et mes propos au scalpel, du coup je peux y aller et raconter plein de trucs et digresser à gogo. Youpie !
D’ailleurs on va mettre une infographie ici :
Au fait, Monsieur !
Umberling est notre rédacteur en chef adjoint et est également l’auteur des sous-titres et traductions de nos anglais approximatifs quand on est sur des salons comme la GenCon ou Essen.
Si vous prenez ces vidéos (GenCon par ici, ou Essen par là) et bien il est responsable des petits textes qui francisent l’ensemble.
Il est d’ailleurs absolument impossible de rester calme à côté de lui lorsqu’il effectue cette tâche, car sa précision dans le langage des roastbeefs le force à rire bruyamment toutes les 5 minutes en vous faisant remarquer que vous avez par exemple prononcé « focus » comme « fuck us ».
Il est également ce qu’on appelle un « grammar nazi », c’est-à-dire qu’il possède une tolérance proche du zéro absolu pour la moindre faute de grammaire ou d’orthographe.
Répétez plusieurs fois « un espèce de truc » pas loin de ses oreilles sans vous adresser directement à lui pendant une conversation et vous verrez tout d’abord un rictus nerveux se former sur son visage, puis il marmonnera pour lui-même, et à un moment il interviendra vivement dans la conversation en vous expliquant pourquoi le mot « espèce » est féminin et qu’il est totalement impropre d’y accoler un article masculin. Il va donner de nombreux exemples, il va faire des comparaisons, des métaphores, des oxymores, bref vous montrer sa supériorité littéraire.
Mais ne croyez pas que c’est fini. Après chaque fois que vous ne ferez PLUS la faute il vous fera une blague sur le fait qu’il y a pas si longtemps que ça vous la faisiez.
Genre vous dites, en lui jetant des regards inquiets : « Et la y avait un esp… euh… une sorte de monstre qui… »
Là il vous coupe et vous dit avec un regard « rieur » : « tu veux dire UN espèce de monstre ? »
« Euh… joker ? ».
Bref, avançons.
On t’a googelisé man
Alors c’est marrant parce que du coup quand j’ai tapé « Umberling » sur Google, je suis tombé sur ça qui illustre assez bien :
Et je me suis dit que ça collait pas mal. De base avec l’œil plissé et aux aguets, se transforme après quelques fôtes et approximations en Anglais en un gros machin énervé qui arrache un bout de mur pour vous corriger.
Ce qui est plutôt marrant avec ça, c’est qu’il relit quand même beaucoup d’articles de tous les contributeurs du site et qu’on a pas fini d’entendre des « Mais nooooooon ! Nooooooon ! Mais il a pas osé ?! Mais comment peut-on accorder aussi mal un passé composé ?! Noooooon ! ».
C’est pas lui qui fait les trucs bizarres le mercredi ?
Ah mais cet article n’a absolument aucune structure logique, Amazing !
Et bien si, farpaitement. C’est lui-même. On appelle ça des éditos pour pas le vexer.
Perso, j’appellerai plutôt ça, la minute littéraire du mercredi ou encore l’exercice de style : « parlons des actus de Ludovox en lien thématique avec un film en reprenant des citations dudit film ».
Le truc qu’il faut reconnaître, c’est que c’est plutôt bien écrit, même sacrément bien écrit. Y a pas longtemps, on a voulu rajouter une petite info (sur le flux RSS podcast) dans son édito déjà écrit, on n’a pas réussi. Je veux dire, on sait où est le bouton éditer > valider hein. C’est juste qu’on a fait un brainstorming de 4h pour voir comment on pouvait rajouter l’info sans casser la logique de son édito au niveau rythme et structure.
On l’a mis dans les commentaires au final.
Moi j’avoue que j’aime bien, c’est un plaisir à lire, et c’est classe toutes ces photos de film sur les pages du site avec des phrases bizarres qui semblent n’avoir aucun lien avec les jeux de société, ça fait arty.
Regardez cette page d’ailleurs sur son profil, on les retrouve tous, ça en jette.
D’ailleurs j’ai compris récemment d’où lui venait cette manière de présenter les éditos à un endroit où il n’aurait jamais pensé que je l’aurais trouvé.
Il a écrit à cet endroit : « J’aime bien les épigraphes.».
Il termine d’ailleurs par « Je ne vais pas vous faire le coup du cryptico-intelligent (…) Promis. Ou alors vous me fustigerez. ».
J’avoue que l’édito du 15/04 avec le « Peck, Peck, Peck, Peck… » me parait un peu cryptico-intelligent, ne devrait-on pas te fustiger ? 😉 Alleeeeeez.
Je tenais quand même à le saluer au passage sur son boulot sur les LudoChronos, car il a été motivé à me rejoindre pour en tourner et que sa concision a été mise au service de l’objectif du format pour le coup.
Là où pour moi, il s’agissait d’un exercice difficile de parler moins de 45 min d’un jeu, il a su faire de bons scores sous les 4 minutes dès les premiers essais. Et oui, c’était fait pour lui ce format en fait.
Peut-on battre Umberling aux jeux de société ?
Une vue rapide sur son profil pour s’imprégner déjà :
Oui on peut, mais surtout on doit.
Pour préciser ma pensée, je dirai qu’il ne faut pas un seul instant se complaire dans l’idée que l’on s’est assis à sa table autour d’un jeu compétitif dans le seul but d’avoir du fun et de s’amuser.
Car il fera tout pour vous battre.
Son potentiel le prédispose à ne pas vous faire de cadeau.
Sa propension à prendre la défaite comme un échec personnel, démonstration de son besoin de s’améliorer, l’amènera à tout faire pour l’emporter.
Finalement voyez le fait de le battre comme un moyen de lui rendre service pour lui permettre de devenir un meilleur lui-même.
Je m’efforce à essayer de lui rendre service d’ailleurs à chaque fois que nous jouons ensemble.
Je n’oublierai jamais qu’il m’avait dit un jour après une partie : « non mais dans ce genre de jeu, je ne suis pas BON. Je veux dire je suis pas MAUVAIS. Mais dans certains jeux de cartes je suis EXCELLENT, et là j’étais BON mais pas EXCELLENT. »
Euh oui d’accord Umberling, j’ai bien compris, mais euh… qui gagne là, on s’en foutait un peu non ? On jouait à pierre-feuille-ciseaux. (Bon ok j’ai peut-être ajouté un peu de mauvaise foi sur la chute de mon histoire pour la rendre plus marrante).
En même temps, ce n’est pas moi qui ai écrit : « En tant que joueur de cartes, il m’arrive de tester mes propres decks contre moi-même, pour estimer la puissance brute de mes decks contre moi-même, ou de tester la viabilité mécanique d’un deck.» Le mec, faut pas le chercher.
Un peu d’infographie avant de décortiquer tout ça :
Bon je crois que le constat est sans appel : comboteur + comptable + créatif + fourbe + kubenbois + cartes + sablier.
Umberling est une machine de guerre aux jeux de cartes et aux kubenbois.
Vous voulez des preuves ? Entre son article très concis sur King and Assassins qu’il a pourtant beaucoup aimé et ses longues dissertations sur Trains et le test, Doomtown, Pathfinder JCE, encore du Pathfinder JCE et re-encore du Pathfinder JCE, du Héros à Louer ou encore ses tests de Netrunner, d’Innovation, etc, bref, je pense qu’on a bien compris qu’il aimait les jeux de cartes.
Il n’hésitera tout de même pas à nous parler de quelques jeux de gestion tels que Lords ox Xidit, Lords of Waterdeep ou encore en route vers les Indes.
Bon du coup, peut-on passer sur du coopératif avec lui ? Et bien parfaitement, il a déjà bien rouillé la question comme en attestent ses articles sur les extensions d’Andor Gardétoile et Voyage vers le nord, de même que cet épisode mécanique du jeu sur la coopération totale.
Bien sûr, cravacher avec lui sur un coopératif peut participer à le rendre meilleur, mais rappelez-vous que nous sommes là pour lui rendre service, alors faisons-le bien et avec entrain !
Tout d’abord dans des jeux où l’aspect social et bluff est important, il convient de choisir les joueurs qui vous accompagneront plus que le jeu en lui-même.
En effet, comme vous l’avez compris, Umberling est concis et précis dans le choix de ses mots. Cela peut le desservir car il a tendance à utiliser des termes élaborés dont il faudra chercher le sens sur Wikipedia, de ce fait portez votre choix sur des acolytes ayant peu de culture et peu d’intérêt pour en acquérir plus.
Ainsi ses tentatives d’alliances ou d’influence resteront totalement incompréhensibles pour les autres joueurs. De votre côté, utilisez des mots simples et des instructions directes en faisant miroiter le gain immédiat. Occupez le temps de parole, souvent les esprits simples s’attachent à celui qui parle en dernier et le plus fort.
Sa fourberie étant tout de même modérée et son côté bastonneur peu développé, une belle attaque directe préparée de manière subreptice saura toujours lui tirer un retentissant « ENFOIRÉ ! ».
Attention tout de même dans la construction de vos plans, il possède un certain sourire charmeur qui vous laissera croire qu’il est inoffensif et il saura aussi l’utiliser avantageusement face à la gente féminine…
Body language
D’un point de vue personnel, j’ai pu remarquer qu’Umberling est quelqu’un qui vit vraiment ses parties, si vous prêtez attention à ses expressions et son langage corporel, vous verrez l’excitation d’un bon coup ou le frémissement d’inquiétude face à vos choix.
Tirez-en profit en hésitant entre plusieurs actions pour observer ses réactions et en tirer des conclusions.
Est-ce que cette stratégie est vile ? Probablement, mais rappelez-vous que nous œuvrons pour lui rendre service.
Bien qu’Umberling soit concis, il aime faire du theory-crafting et parler de ses stratégies aux jeux (récemment il nous postait ses scores solo à Caverna sur twitter. « Pour s’entraîner »…).
Si vous partez sur un deckbuilding, ce ne sera certainement pas une partie gagnée d’avance, prévoyez donc le jeu un peu en amont avec lui et faites le parler des stratégies du jeu, il en viendra naturellement à vous expliquer les siennes et, force est de constater, qu’il a des analyses plutôt pertinentes sur les mécaniques de jeu.
Prêtez donc attention à ses paroles et orientez-le sur les contres possibles.
Je ne répèterai pas les conseils habituels pour les joueurs en manque d’habileté qui ont été largement débattus dans d’autres articles : obstacles, mauvais placement des objets…etc.
Au final, ce qui m’attriste le plus avec Umberling, c’est que l’analyse de son profil me met face à une grande difficulté : de bonnes capacités d’adaptation et de calcul liées au fait de ne pas réagir de manière excessive à l’appel de la baston rendent difficiles la stratégie consistant à le pousser à la faute et de ce fait invalide un grand nombre de possibilités infâmes de le battre aux jeux très « euros ».
Il restera bien sur les jeux très « améritrashs » dans lesquels son manque de pratique évident le prédispose à prendre quelques raclées – pour son plus grand bien, évidemment.
Pourrait-on se passer de Umberling ?
J’ai très envie de répondre : « c’est selon » ( ceci est une private joke à son égard 😉 ) mais je suis obligé de répondre que non.
Qui pourrait se taper autant de parties de Kubenbois ou de deckbuilding en solo pour tester les performances de telle ou telle stratégie ?
Qui saurait autant nous régaler de sa belle prose dans les éditos du mercredi ?
Qui saurait autant taunter sur ses scores de parties au bureau ?
Qui saurait faire des Ludochronos de toutes les extensions de tous ces jeux de cartes ?
Qui saurait autant nous gratifier d’un joli sourire carnassier sur un bon coup qui lui apporte la victoire ?
Qui saurait avoir un arrêt cardiaque devant une faute de ponctuation ??? ^^
Allez vérifier mes dires et lire ses articles sur son profil par ici pour vous faire une idée par vous-même !
PS : Joyeux anniversaire Umberling tout ça tout ça… 😉
atom 04/05/2015
Bon anniversaire Umberling. j’aime aussi beaucoup tes éditos.
Sha-man tu te défends bien aussi niveau plume.
Sha-Man 04/05/2015
Umberling a une belle plume, moi j’ai un marteau à encre à 2 mains 😉
Umberling 05/05/2015
Tu te débrouilles bien, quand tu ne fais pas de phrases avec 300 parenthèses ! 😉
Alors arrête de te morigéner, et aiiiiiie confiaaaaaaance. (3 de fourberie, je me devais de finir ce message comme ceci)
Umberling 04/05/2015
Merci ! C’est super choupi 🙂
C’est très exhaustif, mais tu as oublié de dire que dans les jeux coop, j’aime beaucoup me mettre dans un coin pour soigner/aider, car au final, marteler les gens à coups de grosse épée, c’est pas mon truc. FUNTIME ! (private joke)
Sha-Man 04/05/2015
Tu sais que j’avais même pas vu que sur la photo de twitter, t’avais mis ton score sur la même fiche que celle de notre première partie à 2 avec Shanouillette.
C’est un peu vil tout de même, parce que je pense qu’en solo t’as du être tranquille niveau blocage des actions, n’est ce pas ? 😉
Umberling 05/05/2015
Non, c’est sûr qu’en solo, c’est plus facile d’aller vers 90-100 pts (même si tu nourris à tous les tours à partir du tour 3). Sur mes premières parties en multi, j’ai fait les mêmes chiffres que vous. C’est juste de l’économie de moyens, j’avais pas envie de gâcher du papier.
DaP 04/05/2015
Il n’est pas précisé qu’Umberling déclare forfait sur son coté « grammer-nazi » quand on fait plus de faute que de mots dans une phrase ^^
Baune Anivairesère Umbeurrelingue! XD (Smiley malicieux : yeux fermés et langue tiré pour les vieux)
Umberling 05/05/2015
*regard navré*
Sha-Man 04/05/2015
Tiens je me demandais, mais purement par curiosité bien sur, c’est quand ton anniversaire Dap ?
DaP 05/05/2015
J’ai pas d’anniversaire, j’ai été adopter par des manouches, élevé dans une fête forraine a mon insu, échappé, puis traquer, je vie avec une identité qui n’est pas la mienne!
eolean 05/05/2015
Boudiou ! Ça c’est de l’hommage ! Un très bon anniversaire mister umberling ! 🙂
j’apprecie beaucoup la gentillesse et la sympathie qui se dégage de tes articles et de son auteur ! J’ai pas encore commencée ton bouquin, je termine un gemmell et je l’attaque ! Je suis impatient 😉
Umberling 05/05/2015
Haha, bonne lecture ! Et merci pour le côté sympa.
Zuton 05/05/2015
Et encore un membre éminent de l’équipe qui passe sous l’analyse de Sha-man, c’est sans pitié (mais que font les prud’hommes ?) mais super fun, un vrai rouleau compresseur mais au final décompressant, mettant en lumière un joueur / rédacteur hyperactif et sympathique de la troupe ! Je le connais qu’à travers une rencontre (trop) rapide à Cannes, ses éditos que j’apprécie un max pour connaitre les nouvelles de la semaine en Ludovoxie et ses retours constructifs et pointilleux sur des articles trop longs à la tournure bancale et pourvus d’une ponctuation suspicieuse… mais je me dis qu’un chat au sourire narquois et armé de couverts de table pointus peut être aussi voir plus dangereux qu’un Wolverine masqué aux longues griffes surdimensionnées…surtout avec une tête de mort sur son chapeau (si si moi ça m’inquiète !)
Umberling, bon anniversaire à toi, et au plaisir de te lire prochainement !
Umberling 05/05/2015
Merci ! Effectivement, c’était un peu court à Cannes. Il faudra qu’on discute à l’occase, sur Lyon ou Grenoble ! 🙂
Mephisto 05/05/2015
Un personnage attachant ou détestable au final ?? Telle est la vraie question qu’on se pose à la lecture de cet article 😉
Shanouillette 05/05/2015
Dans ces cas-là, moi je dis que c’est un « personnage attachiant ». Mais pour le coup Umberling n’est pas chiant. Juste un peu monomaniaque. Mais qui ne l’est pas ? (à part moi qui suis parfaite bien sûr) ^^
Sha-Man 05/05/2015
Est ce que j’ecrirais un article aussi gros et garderais dans l’equipe une personne detestable ? 😉
Umberling 06/05/2015
Oui. 😉
Mephisto 06/05/2015
Je plaisantais, évidemment 😉
Meeple_Cam 05/05/2015
C’est fou tous ces anniversaires en ce moment ! On aura bientôt droit à un « T’es une star pour les gens qui t’aiment : Ludovox » ? 🙂
Bon anniv toi-même, Umberling ! 🙂
Antony 15/05/2015
C’est super sympa d’en découvrir un peu plus sur Umberling d’où émane une sympathie naturelle. On connaissait déjà l’aisance de sa plume mais certains autres aspects demeurait connu uniquement de ceux qui le côtoient au bureau. Agréable article pour un rédacteur passionné et passionnant.
(Bon anniversaire, même si je suis, comme d’hab’, méga à la bourre !)