À quoi tu joues ? #14 : Plouf Party, Yokohama, Palm Island, La forêt des frères Grimm, Reworld, Micropolis, Cavern Tavern, Heroes of Normandie
« C’est l’été, et dans la plupart des pays du monde… euh, non, dans la plupart des pays riches… non, toujours pas, dans la plupart des pays d’Europe, ou presque, enfin, la France et la Belgique en tout cas, c’est le moment des vacances. Et qui dit vacances dit généralement la mer, les plages (où se cachent des centaines de milliers de mégots et de bouteilles de 1664 vides et éclatées, que de pauvres malandrins peu enclins à souhaiter le bonheur de leur prochain ont abandonné en signe d’une révolte ivrogne), les cabines de douche et les toilettes boueuses, les serviettes version poil-à-gratter et beaucoup trop de mauvais romans.
Du coup, avec les vacances ressortent son lot de jeux sympathiques à jouer près de zones d’eau salée, ou d’étangs à pêche où le maillot de bain fait fuir le poisson de Jean-Pierre et Momo, les deux retraités cannés du coin. Le sable passe aussi d’ailleurs. Essayez donc de jouer à l’épatant Pikto dans le sable… Cocktail Games, malin crétin mais surtout malin, a vu passer dans ses souvenirs ludiques d’un temps que les moins de 35 ans ne peuvent pas connaître, un jeu au nom imprononçable, pour nous poètes latins : Ab In Den Pool.
Oui. L’allemand, je vous l’assure, peut s’avérer savoureux et d’une beauté sans pareille, mais rarement quand le sujet abordé fait référence à un tas de béton blanchi entourant une masse d’eau parcourue par des libellules festives.
Ab In Den Pool, donc, est un jeu de Heinz Meister sorti en 1999 par Ravensburger. Le jeu a eu un certain succès en Allemagne. On les sait super fêtards. Spourssa. Puis, plus rien. Quelques rares annonces eBay Allemagne, et quelques plus rares encore acheteurs fans de vieilleries.
Aux abords de 2018, le jeu avait depuis longtemps été envoyé dans les limbes du jeu de société fun et chaotique quand l’équipe de Cocktail Games s’est dit qu’une réédition serait une idée bien sympathique. Ni une ni deux, après vérification faite, voilà que le jeu était libre de droits ! Et boom ! Une sortie tout fraîche, jolie et mise au goût du jour par les graphismes et illustrations de Steevo.
Le principe est très simple : après avoir vérifié la couleur de vos pions (il y a 6 couleurs différentes dans le jeu, chacune étant d’ailleurs affublée d’un trait vestimentaire distinctif. Il ne manque à ce sujet que la légendaire association sandalettes chaussettes blanches qui a rendu célèbres les Hollandais et les Allemands dans nos régions balnéaires), il vous faudra vous débrouiller pour ne pas que les autres balancent à la flotte vos 3 pions.
Il y a une ou deux subtilités mécaniques, notamment concernant le plongeoir mais ce n’est pas forcément là que se passe le jeu. Comme souvent pour les party game légers comme celui-là, il y a très peu à dire. On s’éclate à essayer de bluffer, jouer le guessing/double-guessing, ces expressions étranges qui évoquent des comportements pierre-papier-ciseaux artificiellement stratégiques. Finalement, on gagne plus souvent quand la chance l’a bien voulue que lorsqu’on essaie de mettre en place une stratégie précise. La mémoire vous aidera sûrement plus.
Il arrive aussi que l’on se retrouve avec 3 pions encore debout autour de l’eau. Ils errent bêtement en essayant d’attraper l’un de leurs adversaires, sans jamais y arriver, comme s’ils n’étaient pas capables de se rendre compte que deux pas vaudraient mieux que trois. Ce type de fin de partie un peu lente arrive de façon très ponctuelle et ne gâche en rien le plaisir mesquinement drôle que l’on ressent à balancer avec une violence de criminel récidiviste les baigneurs dans la piscine. » Izobretenik
« Voilà un petit moment que mon exemplaire de Cavern Tavern de Vojkan Krstevski, Ivana Krstevski, Maja Matovska et Toni Toshevski (acquis lors de la campagne KS) dormait dans ma ludothèque et c’est finalement la critique de nos amis de Vin’d Jeu qui me donne envie d’enfin le découvrir. Il s’agit d’un jeu de pose d’ouvriers avec des dés, associé à de la prise puis livraison d’ingrédients mais pas que.
Chaque joueur incarne le rôle d’un employé de la taverne devant servir des clients assoiffés et impatients d’un monde med-fan : des orcs, des elfes, des hobbits et consorts. Le but du jeu est d’obtenir le plus de points de victoire au bout des 10 manches que constituent une partie, en servant les commandes des clients, en réalisant des tâches en cuisine et autres corvées, ainsi qu’en optimisant son objectif secret. Plus on réalise rapidement la commande d’un client, plus on marque de points.
Chaque joueur dispose d’un plateau individuel proposant trois pistes : la piste “Nasty” du méchant tenancier qui peut ralentir son développement et donner des points négatifs en fin de partie alors que les deux autres pistes “Corvées” et “Tâches en cuisine” permettent au contraire d’obtenir des bonus.
Le plateau représente les différents lieux où chaque joueur doit réaliser la somme exacte pour déclencher l’action associée, et les places sont chères car limitées : la cave pour aller chercher un ingrédient, les tâches en cuisine ou les corvées pour obtenir différentes actions, PV directs et faire progresser le curseur correspondant ou encore l’atelier du sorcier.
À son tour, on place un ou plusieurs dés pour réaliser l’action correspondante. Ce principe n’est pas sans rappeler le jeu Kingsburg alors que la livraison des commandes fait penser à Lords of Waterdeep mais c’est une autre histoire. L’univers est très sympa avec les belles illustrations de The Mico et un matériel de bonne qualité, le tout dans un format de boîtage moyennement bien rempli.
L’extension La chambre secrète devient vite indispensable car elle permet des actions supplémentaires notamment l’obtention de jetons +/-1 bien utiles pour apporter du contrôle sur la valeur de ses dés. Notons que le jeu est en anglais mais avec peu de textes sur les cartes, il est assez accessible, rapide et simple, il peut donc s’adresser à un large public familial tout en contentant les plus experts.
Notre objectif secret est dévoilé en fin de partie (souvent un bonus par type d’ingrédient servi ou la position sur une piste), il guide clairement notre stratégie et les scores finaux sont assez serrés.
J’ai vraiment bien aimé la fluidité du jeu, son univers et les différents choix simples mais efficaces en tentant d’optimiser ses actions selon le résultat de nos dés.
L’interaction est indirecte mise à part une action de “faillotage” auprès du tenancier avec un dé pour faire descendre le curseur d’un adversaire et faire remonter le sien. Ne m’attendant pas à un si bon jeu, il s’agit d’une bonne surprise avec une expérience ludique agréable et rapide, sans trop prise de tête. » – Zuton
« Je savais pourquoi je n’avais pas essayé Yokohama avant… Première impression quand on voit le plateau, Hell que ce jeu est moche ! Ou plutôt terne… mais au final, que c’est bon !
Un bon air de Istanbul avec une grosse salade de points, un peu d’interaction, et un scoring bien classique avec des contrats des plateaux et des majorités. Ça tourne au poil, demandant aux joueurs de bien prévoir plusieurs tours en avance à la pose des cubes. Vraiment intéressant.
J’ai beaucoup aimé ce plateau modulaire et ce petit principe de lâché de cube permettant d’atteindre une tuile plus ou moins éloignée. C’est très intelligent. Mais ce n’est pas tout, combiné à une gestion de ressources très tendue à optimiser, le jeu est vraiment une réussite. Je me suis même surpris à surveiller le jeu des adversaires en fin de partie pour voir si mes contrats pouvaient être volés, ou quelles chances j’avais de jouer telle case aux deux prochains tours. Pour aller plus loin, je vous conseille de vous plonger sans tarder dans ce Just played.
Une vraie belle découverte dans un écrin vraiment terne hélas… À noter, l’auteur Hisashi Hayashi, aussi derrière Trains ou String Railway, a dernièrement proposé une version luxe de son titre conçu pour deux joueurs via KS, nommée Yokohama Duel malheureusement bien trop coûteuse. » – TheGoodTheBadAndTheMeeple
« Faussement simple, faussement complexe, mais vraiment vraiment excellent, revenons sur Heroes Of Normandie !
Heroes of Normandie est un wargame, qu’on ne s’y trompe pas. On a beau avoir des cases carrées à la place des hexagones, c’est un vrai wargame, qui se veut accessible et fun, mais qui demande, à mon avis, un engagement un peu plus que tiède de la part des joueurs. Paru en 2014, il propose un affrontement entre deux joueurs, dans les bocages normands après le débarquement de juin 44, avec un sérieux goût cinématographique par dessous le carton de ses tuiles. Il faut sauver le soldat Ryan, Le Jour le Plus Long, Un Pont Trop Loin, c’est un peu tout ça qu’on vous propose, le fun du jeu ne s’effaçant pas sous les stats des unités.
Le principe en est relativement simple : une map, un scénario, des conditions de victoire. Des Alliés, des Boches, une zone de déploiement pour chaque armée. Puis, avec des pions ordre, à dévoiler à tour de rôle en fonction de l’initiative, on active certaines de ses unités pour fumer l’autre. Ajoutez à cela des cartes actions qui permettent de jouer des mauvais tours à l’adversaire, un peu de bluff, quelques jets de dés pour crier victoire ou pleurer sa mère dans les instants décisifs, et kaBouM ! C’est partiii ! Ratatatatata !
“Allez-y sans moi Lieutenant Parks, j’ai été fier de combattre sous vos ordres, grrllpbrf…
– T’en fais pas Bobby, on va le prendre d’assaut ce nid de boches, on va le faire pour toi, et on va la gagner cette fichue guerre !” Ce que Bobby ne sait pas, c’est que j’ai fait un 2 à mon jet d’assaut et que le lieutenant Parks est mort 5 minutes après lui. C’est moche mais c’est la guerre.
Comprenez-moi, je ne suis pas du tout un wargamer, je n’ai pas vraiment de recul sur ce qui se fait en la matière, mais depuis trois semaines, je prends un pied énorme à jouer à Heroes Of Normandie. Faussement complexe : Toutes les stats, les effets de terrain, les capacités spéciales, sont inscrites sur les tuiles avec lesquelles on joue et une fois maîtrisées, il n’est nul besoin de retourner dans le livret de règles pour savoir comment résoudre telle attaque. Le jeu est parfaitement lisible et le principe de base, extrêmement abordable.
Faussement simple, car il faut malgré tout, je pense, faire trois ou quatre parties pour appréhender les différents petits points de règles et exceptions qui, même si elles sont assez intuitives, nécessitent d’y être confronté sur le terrain pour savoir comment les résoudre. Le gros point noir, c’est le livret de règles, assez complet mais extrêmement bordélique, mal organisé. C’est pourquoi il ne faut pas hésiter à fouiller sur internet pour trouver des aides de jeu intelligemment rédigées.
Une fois cette période d’apprentissage passée, c’est juste excellent : du placement tactique et du hasard qui peut faire mal si on mise tout sur un jet de dés ou une carte (il faut savoir anticiper les déconvenues et avoir toujours un plan B), mais c’est du bon hasard, qui ne gâche pas le jeu.
La pléthore d’extensions permettant de renouveler les scénarios, les terrains, les unités, la communauté passionnément passionnée, qui a aussi enrichi le jeu, le souci de l’éditeur de recoller le film hollywoodien avec la réalité historique (je ne parle pas de Shadows over Normandie, hein ?) , tout cela fait du système HoN une pépite à côté de laquelle j’étais passé depuis trop longtemps.
Aujourd’hui, si on me demande “A quoi tu joues ?” je dis “kaBouM!”. – Meeple Gaut
« Micropolis, ce petit jeu de fourmis signé Bruno Cathala et Charles Chevallier chez Matagot n’est pas sans rappeler Kingdomino, Majesty et Century dans ses mécaniques. Pas de mauvaises références disons-le !
Le but est de construire une fourmilière composée de 10 tuiles de forme « part de pizza ». Chacun son tour, on choisit une tuile dans l’offre du tour et on doit payer une fourmi ouvrière par tuile qu’on refuse. Ce principe aussi utilisé dans Majesty, Century et d’autres jeux (le plus ancien étant sans doute Vinci qui donna ensuite Small world) n’est pas neuf, mais fonctionne toujours très bien.
Les fourmis permettent de prendre plus loin, bref d’avoir du choix, mais aussi de marquer des points. Ainsi, chaque tuile permet de réaliser une belle série de galerie. Certaines tuiles offrent des bonus alléchants, comme la récupération immédiate de nouvelles fourmis. Sur d’autres, on visera du long terme, avec par exemple les fruits, qui donnent des points si vous en avez plein de différents en fin de partie.
Avec pas mal de façon de scorer, le jeu est très court mais pas dénué d’intérêt, ni de stratégie. Le tempo, pour avoir du choix est essentiel autant qu’un bon sacrifice quand la tuile qu’on cherche est disponible. Il est aussi simple de choisir contre les adversaires.
N’hésitez pas à regarder le Ludochrono ou ce petit article pour vous faire une idée complète de ce titre un peu trop passé inaperçu !
Astucieux, fin, la lisibilité est correcte bien que la DA soit un peu trop marron à mon goût.
Mais sinon, en trois mots : Encore un succès. » – TheGoodTheBadAndTheMeeple
« Par souci de place, je suis plutôt attentif sur la taille des boîtes de jeu avant acquisition. Pourtant, La forêt des frères Grimm (Lucky Duck Games, conçu par Tim Eisner) m’a faire faire une entorse à ma règle. La boîte est particulièrement imposante pour un jeu familial d’une quarantaine de minutes. Pourtant, dès l’ouverture de la boite, j’étais déjà conquis. Une dizaine de superbes figurines des 3, euh non… 4 petits cochons, et des monstres des contes de Grimm, avec une envie furieuse de les peindre. Des maisons en paille/bois/brique à construire. Un thermoformage parfait comme on aimerait en voir toujours (rien ne bouge au transport). Des cartes finement illustrées de tous les personnages de cet univers. N’en jetez plus.
Au niveau du jeu, cela sera au premier qui aura construit 3 maisons. Pour ce faire, on se précipitera sur les 3 zones de ressources paille/bois/brique en dévoilant en même temps notre destination. Le joueur seul sur un lieu prendra tout, ceux au même endroit se partageront les ressources du lieu. Les joueurs pourront alors faire des actions pour construire leurs maisons. On ajoute à cela les cartes Fables et Amis qui permettront des actions spéciales et des coups bas, oui c’est souvent riche en interaction entre les joueurs, particulièrement avec les monstres (le grand méchant loup, le troll du pont, etc).
Soyons franc. Il n’a rien de très innovant sur ce jeu, on est sur une course à la construction. Pas mal de chaos est apporté par les cartes, et le jeu manque parfois d’un poil de dynamisme. Je regrette que les belles figurines de monstres ne fassent qu’un passage éclair lors de l’activation de la carte. Néanmoins le thème est très présent (surtout grâce au matériel) et ça couine autour de la table tant on se tire dans les pattes. Bref, un bon moment dans cet univers féerique absolument pas bienveillant. Et vraiment une très belle édition. Tant pis pour le volume. » – MeepleCam
« Reworld chez Eggertspiele. C’est typiquement le jeu qui ne vend pas du rêve avec son matériel (son plateau, ses robots et ses vaisseaux oeuvrant dans le sombre). Menzel est aux pinceaux et la S-F ne lui va pas vraiment. Un jeu aussi tentant qu’une balade à Disneyland un jour de pluie. Mais il y a le nom des auteurs et là ce n’est plus la même. Michael Kiesling, Wolfgang Kramer. Eux ils sont vachement forts alors on se dit que ce Reworld malgré un thème qui sonne bidon (pour une fois j’aurais préféré des champs et des moutons) n’est peut-être pas mauvais. Il est même carrément bon !
Attention dans ce jeu, on a deux parties distinctes : achat de pièces afin de construire et faire prospérer votre base puis construction de la base.
L’achat se fait en posant des cartes sur le plateau mais chaque carte doit être de la même valeur que celle qu’elle touche (on peut s’arranger mais c’est plus cher).
La construction, et tout le jeu est là, se fera dans l’ordre des achats. À vous donc de programmer au mieux pour sortir un maximum de pièces dans la seconde partie. Bien penser à mettre en dernier ce qu’on aura besoin en premier. En plus, il faut veiller aux bonus durant le jeu (plus de couleurs différentes…). C’est malin et assez redoutable ! Bref, dommage pour la DA ratée, car il change un peu de ce qu’on voit. » – MorlockBob
« Je ne vais pas revenir trop en détail sur Palm Island (de Jon Mietling), puisqu’il y a déjà un super Ludochrono et une belle review du jeu par le talentueux Keltys datant d’une époque où l’opus ne se trouvait pas encore en boutique, pour vous dire à quel point nous sommes au taquet dès qu’il s’agit de s’évader dans des lieux paradisiaques 😉
Néanmoins, je souhaitais en remettre une petite couche aujourd’hui car c’est le petit jeu parfait pour l’été. Vous êtes dans la file d’attente d’un roller coaster ? Vous pouvez vous faire une petite partie tranquillement. Vous avez 5h de trajet et c’est pas vous qui pilotez ? Allez, hop ! Dans le creux de la main, Palm Island, toujours prêt, toujours près. « Palm » fait autant référence aux palmiers qui sont peut-être votre décor actuellement (profitez, profitez !), que votre paume de main dans lequel le jeu s’épanouira avec ses 18 cartes. Son gros atout, vous le comprenez, c’est son côté hyper portable.
Il se joue seul ou à deux (par contre, c’est pas toujours top d’avoir des cartes qui sont pensées pour le multijoueur alors que ça reste surtout du solo), c’est joli, c’est malin. Mais attention c’est aussi bien répétitif (on cycle nos cartes inlassablement) et pas abyssal question rejouabilité (puisqu’on répète toujours les mêmes actions).
Bref, Palm Island, c’est un peu la définition même du tube de l’été. Bien frais, vous pourrez accumuler les parties frénétiquement puis passer à autre chose à la rentrée. » – Shanouillette
LUDOVOX est un site indépendant !
Vous pouvez nous soutenir en faisant un don sur :
Et également en cliquant sur le lien de nos partenaires pour faire vos achats :
duckem 07/08/2019
Super revue 🙂
J’ai trouvé que Reworld n’a pas une grosse rejouabilité vu que les objectifs sont tout le temps les memes.. c’est vraiment dommage !
TheGoodTheBadAndTheMeeple 08/08/2019
Il faudrait quand meme que je teste Re-World
Sinon je confirme que Plouf party est excellent. Pour un jeu de 5 min, tres rigolo.
chris 09/08/2019
Aaaa Yokohama, je sais pas pourquoi ce jeu me fait bugger au moins une fois par partie. Tres bon jeu.
keltys 11/08/2019
Re-world… Le principe est sympa mais il te faut déjà une partie pour comprendre les tenant et aboutissants et une sacrée capacité d’anticipation (voir de mémoire) quand tu passes à la phase 2. Sinon, tu fais avec les choix (parfois décousus) que tu as fait en phase 1… Pas convaincu.
Cavern Tavern a un mode solo, je devrais creuser pour voir 😉
Palm Island, le tube de l’été ludique, la Macaréna de Jon Mietling ahahah, vivement la rentrée !
Thalum 15/08/2019
Dans le même système de jeu que Heroes of Normadie il y a aussi une version W40K : Heroes of Black Reach (Ultramarines vs Orks) pour ceux qui préféreraient cet univers 😉
tihroflan 16/08/2019
Hé ben, figurez-vous que moi je le trouve très beau, Yokohama. Mais je suis le seul dans mon entourage (et pas que dans mon entourage, visiblement). Je dois avoir une passion pour les aplats de couleur 😀