Voici un tout new jeu de massive destruction que l'on pourra admirer to the GenCon. What, "déjà vu" ? Well, c'est vrai, you have not the berlue. L'idée de King Of New York c'est de reprendre the same principes que son celebrous prédécesseur (King Of Tokyo, call-me KoT), en y injectant some nouveautés tactico-dévastatrices qui font de lui a totally veritable stand-alone à part entière.

Si vous êtes un gros fan de KoT, vous aurez probablement du mal à ne pas tremblez en lisant que les monsters des deux boites peuvent être mixed ensemble. Mais niveau comptabilité, ça s'arrête là. Don't push mémé into les orties.

C'est pareil…

Comme dans KoT, vous aurez toujours pour but d'être le 1er monstre à atteindre les fameux 20 points de victoire, ou d'être le dernier debout après avoir baffé hardiment tout votre monde.

Le mécanisme inspiré du Yams est toujours là lui aussi : à votre tour, vous jettez vos 6 dés en pouvant en relancer tout ou partie jusqu'à trois fois, puis vous réalisez vos actions en fonction de vos résultats.

Les symboles des dés ne changent pas : les coeurs soignent, les griffes blessent, les gzzzt (oui, bon, l'énergie) permet l'achat de cartes spéciales aux effets plus ou moins ravageurs (selon le prix de la carte). 

Mais en différent !

Vous avez toujours rêvé d'être sous les feux ? De la rampe j'entends. Et bien, voilà. Richard Garfield (l'auteur) he knew it. Il a tout prévu. Dans King of New York (call-me KoNY) vous pourrez devenir une supa-star et obtenir de la Gloire qui rapportera aussi des points de victory. Mais ne prenez pas la grosse tête, car tout peut s'arrêter du jour au lendemain. La vie de star -m'en parlez-pas !- est un statut précaire, qu'on se le dise.

Autre nouveauté, le plateau de jeu, plus grand, représentant les différents quartiers de la City-qui-never-ne-dort. Tous les monstres pourront désormais occuper un quartier, et le groszilla qui est à Manhattan sera contre tous les autres. Parce que Manhattan, c'est the place to be quand on est un big papa destructeur comme vous.

Quel intérêt, ces quartiers ? Ils représentent de nouvelles opportunités de carnage évidemment. Oui, parce que vous pouvez maintenant détruire les bâtiments qui vous entourent (se sont-ils inspirés de Rampage qui semblait lui-même s'inspirer de Kot ? L'histoire ne le dit pas !) et obtenir des petits bonus en faisant cela, mais plus vous causez de destruction, plus intense sera la réponse militaire… donc des fois, vous fuirez, la queue entre les jambes, pour échapper aux forces de l'ordre -parce que New York ne se laisse pas détruire sans réagir. Oh non. Ils ont le sang chaud, surtout quand on détruit leurs gratte-ciels.

Godzilla Président !

Mais le truc c'est que si vous manoeuvrez intelligemment, vous pourrez aussi vous débrouiller pour attirer les humains sur vos adversaires, histoire de les laisser régler leur petit buziness tranquillou pendant que vous serez proclamé "Gardien de la Ville". Gardien de la Ville, vous ! La bonne joke.

Question bestiaire, ils nous ont pondu 6 nouveaux monsters bien funs, assortis d'une soixantaine de power sur mesure pour ces nouvelles règles.

Bref, au final, on se retrouve avec une toute nouvelle mouture du concept, a bit more tactique, a bit more américaine, a bit more démolisseuse. So, are you in ?  

   King Of New York : un jeu de Richard Garfield publié et distribué par Iello

  Sortie française prévue pour septembre 2014

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