Guardians’ chronicles : bientôt de la grosse testostérone en boite
Nous l’attendions de pied ferme. Nous, fans de all vs one façon Descent et comics addicts dans l’âme. Est-ce que la menace du professeur Skarov est à la hauteur du frisson attendu ? Guardians’ Chronicle (Red Joker) de Fréderick Condette arrive bientôt sur nos étals distribué par Iello, alors…
Let’s see !
Oh la tuile !
Nous ouvrons la boite et découvrons d’abord les 9 grandes tuiles de belle qualité (recto-verso) qui serviront de plateau pour nos missions. Les voilà toutes réunies :
Chaque tuile représente une salle. Soit on suit le scénar’ pour créer le plateau, soit si on sent d’humeur créative, on invente sa propre mission (il y a des règles très utiles pour une installation rapide). Sur une tuile, vous avez des zones délimitées par les murs, des points de couleur où vont se placer les personnages, et quand le point est orange par exemple, cela signifie qu’il y a une interaction possible avec un élément du décor), des points de renfort (où popent les sbires), des pièges et des objectifs.
Le nombre d’actions des personnages Vilains dépendra et sera indiqué par la fiche personnage. Les héros, eux, ont toujours droit à 3 actions. Quand vous prenez une action pour vous déplacer, vous bougez d’autant de zones que votre score de vitesse vous le permet. Globalement, on est assez mobile dans ce jeu, ce qui est assez appréciable.
Oh mais c’est quoi ces coupures de journaux ?
Tiens, si on les assemblait ?
Wahou les mecs on est à la une du Guardians’ !
La plus belle idée ludico-visuelle du jeu : le système de majorité des missions, illustré par la composition progressive de la une du journal local. En clair, lorsque les gentils remplissent une mission avec dignité, ils auront droit à un bel article à la une (de couleur bleue). Si c’est les vilains qui assurent, c’est eux qui auront droit à un encart (couleur rouge). Si un héros tombe au combat, paf, les journalistes afficheront sans scrupule un article le discréditant. Et oui, vos faits et gestes, vos réussites et vos échecs sont scrutés par les paparazzi.
Globalement, chaque scénario (standard ou personnalisé) comportera un certain nombre de tuiles objectifs qu’il faudra remplir, chacun correspondant à un encart important en taille du journal qui sera face réussie ou ratée suivant le dénouement. En début de partie, les héros tirent aléatoirement un objectif personnel qui va correspondre à leur personnage (l’un va devoir empêcher qu’un allié tombe au combat, l’un va devoir décalquer un lieutenant tout seul, détruire X ennemis dans le même tour…etc.) et qui aura également son encart plus petit dans le journal.
Et enfin lorsque tous les objectifs de la mission sont réussis ou échoués, la salle de contrôle du boss va s’ouvrir et il va falloir le castagner pour le remettre derrière les barreaux, quand lui cherchera à s’enfuir, encore une fois avec un article de journal à la clef « Professeur Skarov retour en prison » ou « Professeur Skarov toujours libre ».
Quand certains objectifs ne sont ni réussis ni échoués (par exemple si un héros ne meurt pas et ne réussit pas sa mission personnelle), on remplace par une publicité qui est neutre.
Une fois que la partie est terminée, la page est complète et on regarde quel camp squatte majoritairement la Une pour désigner le vainqueur, qu’on représentera par la couleur du chapeau. On a envie de manipuler les coupures, on a envie de voir la page à sa couleur, d’avoir des gros articles sur son camp, bref, ça marche.
Bon et nos stars de la Liberty Patrol, elles sont où ?
Adam Spell est trop dark, bien sapé, en plus d’avoir une canne comme docteur House, il aime se téléporter, bref, il a du carafon.
Super Nova a.. heum… le feu aux fesses !?
Je me pose la question : qui de moi qui râle devant le seul personnage féminin proposé et son aspect hyper frivole ou de ceux qui font ce choix éditorial alimentent sciemment la polémique de la place des femmes chez les super-héros ? Comment dire… Si on décide de mettre un seul personnage féminin en se disant qu’il y a aura de toutes façons plus de garçons à la table, c’est déjà dommage, mais moi, ce personnage de Super Nova, ça m’attriste de le dire, mais je le trouve assez… ridicule… non ?! (Pourquoi ne pas avoir mis une Veuve noire-style ?) Du coup, là, je commence à croire qu’on a vraiment pas pensé à nous…
Golden Boy est troop musclé, voyez sa figurine à droite, il a quand même une drôle de posture de body builder ?! Je le préfère en costard marron mais il porte bien le noir et rouge aussi (à gauche) et c’est tendance cette année.
Sergent Liberté est un leader dans l’âme, il n’a pas l’air content capt’N America !!
Nos protagonistes sont globalement sympathiques avec une mention spéciale pour Adam Spell, le fait qu’ils aient crée des nouveaux super-héros et ne se soient pas basés sur des licences existantes ne nous pose pas de problème mais en revanche, nous sommes plutôt déçus par la qualité des figurines. Taille, matière, posture, dans l’ensemble, on est en droit d’espérer un peu mieux. Quant à la fille, je sais pas. « Il y en a qu’une, c’est la une » comme dirait ma grand-mère.
Vous l’avez remarqué, chaque personnage à sa fiche d’identité qui récapitule ses valeurs. Cette fiche, c’est un peu votre plateau de bord. A votre tour, c’est à droite et à gauche de cette fiche que vous poserez votre carte pouvoir. Une autre belle idée du jeu, vous allez voir.
De grandes cartes pouvoir impliquent de grandes responsabilité
Oui vous les avez déjà aperçu dans les photos qui présentait le matos des héros ci-dessus, et en voici une détaillée ci-dessous. Chaque personnage possède son deck de pouvoirs qui lui est propre. Comment ça marche ? Une carte pouvoir peut être utilisée de deux façons. Soit on la place à droite de sa fiche d’identité, soit à gauche, et selon l’emplacement choisi, on n’activera pas les mêmes choses. Attention ça n’a rien de politique.
Chaque héros à son tour doit jouer 1 ou 2 cartes. Puis, on détermine ensemble qui va faire quoi, mais le joueur incarnant le gros vilain est censé pouvoir tout entendre ! Il y aurait des micros et des caméras dans la base… pffff ! ;p
Le pouvoir spécial sera déclenché si vous jouez votre carte à gauche de votre fiche. Si vous placez la carte à droite, on prendra en compte les valeurs (ce qu’ils appellent la technique secrète) pour les ajouter aux valeurs de base (déplacement, attaque, défense, mental) du héros.
L’expérience est la base du talent
Au départ, quand vous vous lancez, votre brave sera au niveau « rookie », puis deviendra « normal » avant de pouvoir finir en bon vieux « vétéran ». Dommage il y a une belle erreur d’impression sur les fiches d’identité dans notre exemplaire (la fiche rookie indique normal), espérons qu’ils pourront résoudre le problème dans les prochaines productions ! En tout cas l’idée de progression des héros est toujours agréable.
Concrètement, on commence avec une fiche de personnage rookie en remplaçant au hasard 2 cartes de pouvoir normal par 2 plus faibles de pouvoir rookie, ensuite au fur et à mesure des scénarios on va progressivement récupérer ses cartes normales, prendre sa fiche de perso normale, puis passer à la fiche de perso vétéran et remplacer jusqu’à 2 cartes de pouvoir normal par 2 de pouvoir vétéran.
Ces cartes peuvent également permettre d’ajuster la difficulté d’une partie.
Je suis un héros, mais j’ai des doutes comme tout le monde
Un petit truc sympa dans le mécanisme de deck perso est que chaque personnage a une carte qui représente sa faiblesse ou son moment de doute, permettant des choses intéressantes également comme se soigner en échange d’un effet soit inutile voire carrément désavantageux (le sergent va faire perdre des actions à son équipe par son moment de doute existentiel).
Les cartes jouées sont défaussées à chaque tour et ne seront récupérées que lorsque toutes nos cartes action de notre main auront été jouées, y compris cette faiblesse, cela forçant à réfléchir au meilleur moment pour la jouer voire pour le joueur super-vilain à surveiller l’état des mains des super-héros pour en profiter.
Bref, le mécanisme des pouvoirs est plutôt riche et original, et permet de multiples possibilités – les personnages combinés entre eux auront pas mal de stratégies possibles. On peut ouvrir des portes, désamorcer des pièges, taper, courir… Dommage, les cartes s’abîment vite, une protection sleeve ne sera pas de trop.
- Spécial : les cartes blessure
Si vous avez pris plus de dégâts que votre nombre de points de vie, ça va mal. Vous aurez à ajouter une carte Blessure (photo ci-dessus) en main : elles ont le même dos que les autres cartes pouvoir, d’ailleurs, elles ont aussi une sorte de pouvoir… mais négatif cette fois. Il faudra pourtant que vous la jouiez à un moment ou à un autre, histoire de plus les avoir en main, et oui… car un héros meurt s’il possède 3 cartes blessure en main ! Dilemme ! Quand est-ce que je vais pouvoir me permettre de la jouer…
Et ma pelleté de dés !?
Ouiii, on y vient ! Pour attaquer au corps à corps ou à distance, et pour résoudre une interaction avec un élément du décor, on lance les dés ! Dingue.
Pour savoir combien de dés de base on lance (les dés blancs), il suffit de regarder nos valeurs sur notre fiche d’identité et on en ajoute (les dés spéciaux rouge) si on a joué une carte pouvoir à droite. On balance tout en même temps.
Si on a du « pow! » il compte comme un succès supplémentaire et en plus on le relance, c’est tout bénéf’ !
Si le nombre de succès est au moins égal à la Défense de la cible, on inflige un dégât. L’attaque n’élimine pas l’adversaire ? Et bien, comme on est vénère, on peut le pousser d’une case.
Simple, efficace.
Initiative
Détail important, les héros pourront décider ensemble de leur ordre de tour, qu’il définiront grâce aux cartes initiatives, et ils placeront leurs cartes Pouvoir face cachée, mais n’oubliez pas que le Professeur Skarov ne perd pas une miette de la discussion. Aussi, comme ce dernier est vraiment très méchant, il aura une dernière chance de modifier ses cartes à lui après que les héros aient fini de peaufiner leur plan. C’est vraiment trop injuste ! ^_^
Et du côté du professeur ? Ils ont des cookies ?
Pas vraiment. Ou alors, ils sont empoisonnés.
Du côté obscur de la force, les choses fonctionnent grosso modo de la même façon, ce qui est pratique, car du coup, un joueur habitué aux héros pourra s’essayer facilement au professeur Skarov. Vous possédez des cartes Événement qui sont l’équivalent des cartes Pouvoir, et des fiches personnages de vos vilains et de vos super-vilains-lieutenants.
Depuis votre salle de contrôle, vous lancerez vos figurines de Minions sur les gentils (les sbires fonctionnent par groupe) ainsi que les boss, vous aurez des lieutenants dans chaque salle d’objectif et vous jouerez autant de cartes événement qu’il y a de héros en vie. Vous gérez aussi les pièges bien sûr. A n’importe quel moment de votre tour, vous pouvez jouer 1 carte événement de votre main en plus de ce que vous aurez préparé au moment de la phase de préparation. Tout cela vous laisse pas mal de liberté.
Mais gare, car les héros viendront vous chercher à la salle de contrôle où vous êtes planqué quand les objectifs seront tous résolus (réussite ou échec), vous perdrez un peu vos moyens ! Finis les rires diaboliques et les discours de fin du monde ! Vous n’aurez plus qu’à combattre la Liberty Patrol face à face ou essayer de fuir…
Un mot sur les règles
Deux livrets : un pour les scénarios, un pour les règles. Ce dernier n’est pas toujours construit de la façon la plus logique qu’il soit à notre sens. Il faut attendre la dernière page pour tout comprendre avec l’explication du tour de jeu ! Les informations sont un peu éparpillées et sans indexe, il nous a fallu y revenir avec difficulté pour bien saisir le gameplay, pourtant pas complexe. Le livret de scénar’ est clair même si c’est des petites erreurs s’y glissent parfois. Le scénario d’initiation est bien adapté pour une mise en jambe. On doit aller sauver La Rescapée et sortir par le SAS en évitant les pièges et les sbires de Skarov. La jeune fille en détresse est un ressort dont on ne se lasse pas. Ou presque.
Les mécanismes sont assez intuitifs pour la plupart et l’iconographie est plutôt bien foutue. Le principal problème des règles résidera en la difficulté à accéder à une vue ou compréhension globale du jeu à la première lecture, celles-ci se perdant un peu dans les détails.
Au vu du type de jeu, on regrettera une aide de jeu récapitulant la phase de jeu et les actions.
Cette hystérique, c’est la fille du président que l’on devra sauver au scénar’ 2. Décidément, ils en voulaient aux femmes ou quoi…
Premières impressions
Le jeu a un gameplay vraiment plaisant, avec une certaine sensation de liberté (hey c’est pas la Liberty Patrol pour rien !), les héros devront vraiment se concerter et le Professeur aura toujours une chance d’avoir le dernier mot, en tout cas, c’est une première impression – comme d’habitude, nous reviendrons là-dessus avec un test complet du jeu quand nous aurons plus d’heures de vol au compteur.
Dommage, l’univers est très classique, et tous les vieux stéréotypes de genre sont respectés à la lettre sans beaucoup d’imagination, de plus, la production présente quelques déceptions (erreurs dans le texte du jeu, figurines et cartes faiblardes) mais le jeu en lui-même propose, à première vue, une expérience très fun et c’est peut-être bien tout ce qui compte.
Le mot du Sha-Man
On pourrait penser, au vu de certains défauts, qui sont quand même mineurs, que l’expérience dans ce type de jeu permettra au tout jeune éditeur Red Joker de s’améliorer sur la durée (format / structure des règles, aides de jeu, qualité des figurines). En tout cas, pour 60 euros, la boite est riche et ce premier opus ambitieux. Ils débarquent clairement sur les plates-bandes du géant Edge, et avec de sérieux atouts ludiques en main.
En tant qu’abonné au rôle de seigneur du mal dans Descent v2 et améritrasheur indécrottable, j’ai pris mon pieds dans ces premières parties en tant que super-vilain.
De la tactique fun, ce côté préparation avec la phase stratégie très plaisante et également une gestion de ses ressources tactiques (pièges et unités) très intéressante.
Contrairement à Descent, les ennemis ne repopent pas, mais on a une capacité à booster temporairement ses unités, cela donnant une gestion plus fine et moins kamikaze de ses méchants.
De la même manière, l’impact de la mort des héros et la difficulté qu’ils ont à se soigner provoque d’une part comme de l’autre des ajustements stratégiques bien réels.
Bref du plaisir et l’envie d’y revenir pour aller plus loin dans l’expérience de jeu.
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tartopom 11/09/2014
Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux ! Je le veux !
Euh, sinon, j’en compte 9 des tuiles moi…
Shanouillette 11/09/2014
ooohh oui exact mais un 6 n’est-il pas un peu un 9 qui aurait mal tourné ?
tartopom 11/09/2014
Absolument. Le pauvre…
Sinon, j’ai déjà dit que je le voulais ce jeu ?
Shanouillette 11/09/2014
Heu .. 8 fois. ;D
Shanouillette 14/09/2014
Et le site du jeu c’est par ici http://www.guardians-chronicles.com/
Y a les règles et la FAQ !
Antony 26/09/2014
Pour ma part, j’ai apprécié ce jeu. Il est fun tout en proposant un aspect immersif stressant à souhait. Après la partie d’initiation, je n’ai eu qu’une seule envie : enchainer les autres scénarios. Un véritable coup de coeur, bien pensé, bien équilibré, au quel on prend du plaisir à jouer.
ARFOGRE 26/09/2014
Bonjour, je me suis bien renseigné sur ce jeux car il m’a bien tappé dans l’oeil. j’ai fait un bon tour du net depuis. les régles ont été lues, faq, articles aussi, Le site de RED Joker bien zieuté, site bien fait …coool des extensions donc un futur sur ce jeux, MAIS un coup sur trictrac …tiens un post de 187 pages..wahou…, une virée sur Boardgeekgame…une flopé de note à 1 de Bakeurs mécontents…ah… ah… Ce jeux est maintenant disponible sur Philibert alors il n’y a qu’un pas donc pour se faire plaisir. Mais les commentaires sur la qualité des figurines, les quelques photos de l’article me font beaucoup… beaucoup hésiter. Si le matos (figurines essentiellement) n’est pas à la hauteur…j’ai peur d’être un brin déçu. ayant zombicie comme étalon dans ma ludotec. alors je suis vraiment intéressé par des avis de joueurs. Des figurines moches mais un jeux qui me plonge dans une bonne ambiance, une bonne mécanique cela passe ou pas ???
Sha-Man 26/09/2014
J’adore les figurines, j’en ai des cartons de toutes sortes, je suis toujours un peu triste quand les jeux de tactique/stratégie n’en possèdent pas (Super Fantasy / Mythic battles) ou de qualité moyenne.
Mais il est clair que cela n’enlève rien à la qualité du gameplay du jeu.
C’est sur qu’entre les figurines de Descent v2 et celles de Guardian il y a de quoi être un petit peu déçu.
Mais pour le coup je n’ai pas encore rencontré de « bug » de règles comme dans Descent et je trouve que certaines contraintes de jeu (spécificités des salles, pas de repop des ennemis systématique à chaque tour) rendent le jeu plus « rejouable ».
Dans descent j’ai l’impression qu’on tourne parfois un peu en rond avec les affrontements qui finissent en « tout le monde bloqué dans un couloir/coin, monstres qui repopent, héros qui se relèvent » pendant 1h.
Dans guardian si tu meurs, tu regardes tes potes finir la partie et en tant que méchant tu économises tes sbires pour les placer au bon moment.
Si tu as un peu de patience, tu peux attendre que je fasse quelques parties de plus et qu’on mette les tests en ligne, je pourrai en dire plus, là je n’ai pas encore fait assez de parties pour te dire plus que « jusque là j’ai bien accroché ».
Après, au niveau des figurines, ce n’est pas du grand art, mais à part GoldenBoy pour lequel je suis pas trop fan de la posture / marque d’assemblage dans le dos, c’est quand même largement regardable.
ça dépend donc bien de ce qui compte le plus à tes yeux.
Super Fantasy est un jeu génial avec un design super « old school » un peu terne, des tuiles avec un graphisme basé sur un pattern de dalles copié/collé et des stand-ups en carton en guise de figurines.
Et bah j’ai pas encore trouvé un jeu qui me donnait cet équivalent de plaisir ludique dans cette catégorie 🙂
Wraith75 02/10/2014
Ouais, les figs sont bof, mais ça m’empêcherait clairement pas de jouer.
Par contre, effectivement, des fautes de frappe… en bas de la photo avec les titres de journaux, « Where is the Pesident‘s daughter ? » !!!
Il y en a beaucoup comme ça ?
Sha-Man 02/10/2014
Perso ça ne m’a pas choqué outre mesure.
Malgré les quelques coquilles relevées, le jeu m’a quand même laissé une bonne impression de produit fini et non bâclé.
ça compte quand même, j’ai déjà eu en main des jeux qui ne m’ont pas laissés cette impression…
ARFOGRE 04/10/2014
Bonsoir, j’ai enfin ma boite de Guardians Chronicles devant moi et je ne suis pas deçu de ma décision. Les figurines ne sont pas vraiment au niveau des standards actuels (si on compare à celles de zombicide), la boite est un peu vide et sans solution ingénieuse de rangement mais la mécanique ou les mécaniques du jeu, l’univers graphique l’emportent sur ces inconvénients. Ce jeux a un vrai potentiel (à quand un compendium des missions ??) et comme les extensions arrivent…. J’ai hate de commencer les parties avec mon groupe de joueurs.
fiaschi84 28/04/2016
Salut,
Je me demande quelles sont vos impressions avec le temps qui est passé?
Shanouillette 29/04/2016
On en n’a clairement pas encore fait assez pour écrire le test, mais on peut dire aujourd’hui que ça reste un jeu qu’on trouve toujours aussi cool à l’heure qu’il est 🙂