The King’s Abbey est un jeu de gestion de de de ? D’Abbaye bien sûr ! Bravo ! Le jeu est actuellement sur KS et ça va plutôt très bien, merci et vous ? Oui le seuil minimal des 18 000$ a été atteint en moins de 24h et tous les petits stretch goals qui vont bien à base de petits moutons et jolies vachounettes en bois aussi. Oh oui de l’exclusivité KS qui excite le gamer, tout plein ! Si les vents sont favorables, le jeu arrivera pour novembre 2015. En plus, une traduction est prévue (avec même des stickers pour coller sur vos cartes histoire de tout franciser à l’huile de coude). On vous en cause sur le forum. Bref. Pourquoi c’est bien ?

Parce que Rahdo dit que c’est bien. Parce qu’on est en plein Moyen-âge. Et parce que les moines sont représentés par des dés à six faces. Vous allez donc avoir le plaisir de lancer des moines et ça c’est pas tous les jours. Oui c’est même comme ça que le tour des joueurs débutent. On lance nos moines disponibles et le premier joueur retourne une carte Evénement qui affecte tout le monde. Tous égaux devant les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse (la famine, la guerre toussa toussa). Puis, comme nous sommes dans un jeu de placement de moines, on va les envoyer étudier, prêcher, en croisade, récolter des ressources. Et puis sonnera l’heure tant attendue de la messe où tout le monde devra prier. Certains se feront même baptiser et pourront alors travailler dans les bâtiments construits par l’abbaye. Fayots.

Comme le monde ici bas est bien fait, les animaux se reproduisent et les moissons généreuses nous attendent à la fraîche. Bien sûr, nos Cavaliers de l’Apocalypse trainent toujours leurs savates dans le coin, et un conseil, ne les snobez pas, ils kiffent pas trop en général.

Puis, on touche nos revenus, les dons des gus du coin ou les mignardises exotiques des croisades, qu’importe, on palpe de la ressource sonnante et trébuchante et tout ça pourra nous aider à faire briller notre abbaye. Oui, parce que l’objectif c’est d’en mettre plein la vue au Roi quand il viendra faire son ptit tour du proprio. Vous, vous visez le prestige, synonyme de victoire.

Bref, les retours sur ce premier jeu de Randy Rathert sont assez encomiastiques. Pour ne pas dire panégyriques. Après, c’est vous qui voyez, avec votre banquier et votre libre-arbitre, je ne suis que l’humble messager. Au cas où, voici quelques liens mais dites pas que c’est de ma faute après :

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