Participatif, la sélection naturelle du lundi 4 juin 2018
Chronique N°80
Salutations ludico-participatives !
► Comme prévu, cette semaine a vu apparaître plein de campagnes pour des projets modestes, mais pas pour autant inintéressants (loin de là même). Et comme je vous l’avais dit la semaine dernière, y’a du gros qui se pointe ! Et que du français, oui Môssieur ! la semaine prochaine ce sont Neta-Tanka (celui-là, avec l’image dont jouit La Boîte De Jeu et les retours des testeurs du proto, s’il ne fait pas un carton j’arrête cette chronique) et le reprint de Mythic Battles Pantheon, passé désormais dans le giron de Monolith.
Puis la suivante verra débouler Solomon Kane par Mythic Games, l’éditeur originel de Mythic Battles. Autant dire que la confrontation risque d’être… intéressante. Autant que les pugilats verbaux qui ne manqueront pas de fleurir sur les forums spécialisés entre les fans des deux éditeurs. Faites chauffer le pop-corn, mettez les bières au frais et préparez vous à des soirées animées !
Je vous souhaite une bonne lecture, et vous dis « À la semaine prochaine ! ».
Ça s’est passé la semaine dernière…
Les lancements de campagnes
Beaucoup de campagnes sont en ce moment issues du Canada et dans celles-ci nombre proviennent de porteurs de la Belle Province. C’est bien d’un projet québécois que je vais vous parler, ce qui est bien plus facile pour moi puisque nos cousins d’outre Atlantique ont le bon goût de parler une langue civilisée que les gens normaux peuvent comprendre sans faire 10 ans d’études (encore que, mais passons…).
Voici donc venir de quasiment nulle part (quasiment car je l’avais repéré par hasard il y a plusieurs semaines) Goblivion par Goblivion Games. Il s’agit d’un castle defense à base de deck-building, avec des cartes donc. Il est prévu pour être aussi bien joué en solo qu’en coopératif à deux joueurs.
Le thème n’est pas là pour recueillir un premier prix d’originalité. Vous êtes un Roi (ou une Reine, ne soyons pas sexistes) et vous allez devoir organiser la défense de votre château pour repousser des vagues de vilains pas beaux orcs et autres trolls.
Le principe de jeu est malin. On débute la partie avec 19 cartes tirées au hasard (sur 38) qui vont constituer notre deck. Est ensuite choisi(e) le Roi ou la Reine, qui rapporte de l’or et a un avantage (un garde du corps de départ aux caractéristiques boostées par rapport à celles du péquin moyen) et un inconvénient (une pénalité de 2 or pour recruter un certain type de renfort).
Sur un plateau à part, un deck de monstres est déposé, dont seront tirés ceux qui vont cheminer face cachée vers le château, selon le principe d’une rivière. La puissance de ces assaillants va augmenter au fur et à mesure de leur progression, et si 3 d’entre eux arrivent aux portes du château sans que l’on puisse en éliminer au moins un, la partie est perdue. Toutes les cartes des monstres vaincus se transforment en butin (loot). Il suffit pour cela de les faire pivoter à 180° pour pouvoir bénéficier de l’objet ou du pouvoir récupéré au combat.
Il va donc falloir gérer son deck, procéder à l’entraînement (par une méthode très simple) des troupes, en recruter de nouvelles (prélevées sur un tableau de 8 cartes tirées aléatoirement et placées à côté de l’aire de jeu) tout en faisant attention de ne pas trop dépenser d’or, car il s’agit également des points de vie du jeu. 3 niveaux de difficulté sont possibles, et selon le niveau choisi il y aura à combattre, après la troupaille de base, entre 3 et 5 boss pour prétendre remporter la partie.
L’avantage de traiter d’un jeu québécois, je le disais, c’est que la plupart des reviews sont en français. Ce qui me permet de dire que tous les testeurs du prototype sont unanimes quant aux qualités ludiques du jeu, tant en solo qu’en duo. Vous me rétorquerez à juste titre qu’on voit rarement de reviews négatives sur une page de campagne, et je vous répondrais que ce n’est pas faux, mais à la lecture des règles (disponibles en français sur la page miroir) je ne peux m’empêcher de penser que ces retours positifs sont justifiés.
Les illustrations sont à nette dominante humoristique et on peut dire qu’on est dans l’esprit BD. Elles sont très réussies (enfin, moi j’aime ^^) et la direction artistique très colorée colle bien au côté « pas sérieux » du jeu.
Malgré ses atouts, on ne peut pas dire que le lancement de Goblivion ait cassé la baraque. D’ailleurs je ne le dirai pas. Preuve en est qu’après une semaine, le jeu n’est toujours pas financé. Il faut dire que les frais de port pas vraiment optimisés plombent un peu le tarif final. Mais ça va le faire. D’abord parce qu’il ne reste que 4 000 CA$ à trouver, ensuite parce que la dynamique n’est pas mauvaise du tout avec une grosse trentaine de soutiens par jour, et enfin et surtout parce que j’ai pledgé et que je veux ce jeu ! Non mais ! Restera ensuite une vingtaine de jours pour faire la chasse aux stretch goals.
Pour terminer, je signale que des minis pledges groupés se montent dans plusieurs régions. Mini, car le porteur n’accepte pas de faire plus que le pledge de 6 boîtes proposé sur la page de campagne. Comme cela fait tout de même baisser le tarif FdPIn de près d’un tiers, c’est intéressant s’il n’y a pas d’envoi MR à faire derrière. Pour savoir si vous pouvez vous rattacher à l’un d’eux, ça se passe ici (Actuellement 22 700 / 26 000 CA$ et 490 soutiens. Fin le mercredi 27 juin à 17h45).
Il avait fallu 2 reboots à la campagne de Heroes of Air, Land & Sea, le 4X de Gamelyn Games, pour financer il y a pile un an et finalement fort correctement avec plus de 3 200 soutiens (je vous passe le laïus sur l’intérêt des reboots bien faits, toussa…). Les retours des joueurs ont été globalement très bons, le jeu n’est plus disponible et hop ! Reprint ! Avec, comme d’hab’ pour que cela passe la censure de Kickstarter (et accessoirement pour engranger un peu plus de pépètes), la petite extension qui va bien.
Voici donc la campagne de Heroes of Air, Land & Sea : Pestilence qui accompagne le reprint du jeu sus-cité. Qu’apporte-t-elle ? A priori, je serais tenté de vous répondre : « Pas grand chose… ». En effet, elle se limite à deux nouvelles factions, lesquelles apportent bien entendu un gameplay différents (il ne manquerait plus que ce ne soit pas le cas).
Mais une extension de HoAL&S est bien plus que cela. Passez-moi l’expression, mais la boîte dégueule littéralement de matos : 40 nouvelles figurines, 12 nouvelles constructions 3D en cartons épais, moult marqueurs et cartes et une aire de jeu « flottante » montée sur 4 pieds transparents qui vient se positionner par dessus le plateau de jeu d’origine et qui est de fait la principale originalité de cette extension.
Beaucoup de matériel laisse supposer un pledge pas donné, et en fait non ! L’extension seule est à 30 petits dollars, prix parfaitement modéré au regard du contenu. Une option à 15 $ permet d’obtenir les figurines prépeintes, tarif là encore très accessible.
De nombreux add-ons sont proposés, individuellement peu onéreux mais qui font vite gonfler la facture. Le complétiste forcené se tournera donc vers le pledge all-in lequel, à 169 $, propose la totale sauf les sleeves (15 $) et le plateau de jeu surdimensionné (40 $). Le complétiste non peintre mais tout de même esthète pourra également, pour la (réellement) modique somme de 65 $ avoir toutes les figurines (plus de 220 !) prépeintes.
La relative modicité des tarifs associées à l’excellente image du jeu ont eu les effets positifs que l’on pouvait prévoir. Financée « Day One » a largement plus de deux fois les 100 000 $ demandés, la campagne s’est stabilisée autour de la grosse centaine de contributeurs journaliers. Elle est désormais pratiquement financée à quatre fois par 3 300 soutiens et il reste plus de 20 jours de campagne. Le million est assuré, et plus si affinités… (Actuellement 394 000 / 100 000 $ et 3 300 soutiens. Fin le mardi 26 juin à 15h00).
Fantastic Factories par Joseph Z Chen cache, derrière sa direction artistique minimaliste et très colorée digne d’un jeu pour enfants, un jeu de placement d’ouvriers à base de dés et de construction de moteur pas vraiment pour les enfants, justement.
Le but pour chaque joueur est d’édifier en un minimum de temps et selon des plans pré-établis un ensemble d’usines le plus efficace possible. Pour cela, il faudra appliquer ses plans avec soin et former les travailleurs qui permettront de fabriquer des biens de consommation.
Les joueurs commencent avec 4 plans et quelques ressources (1 métal, 2 énergies) et 4 dés à leur couleur (les ouvriers). La partie est une succession de 2 phases : la phase de marché suivie de la phase de travail.
Au cours de la phase de marché chaque joueur peut, à tour de rôle, sélectionner un plan face visible et l’ajouter gratuitement dans sa main, ou défausser une carte pour embaucher l’entrepreneur correspondant. Les entrepreneurs ont des effets uniques (lancer des dés supplémentaires, gain de ressources, etc).
Durant la phase de travail, également à tour de rôle, les joueurs lancent leurs dés puis effectuent diverses actions dans n’importe quel ordre : placer des travailleurs sur un ensemble d’actions de base pour gagner plus de ressources ou tirer des cartes ; construire des cartes usine en jetant une autre carte avec le même symbole d’outil et en payant le coût de la ressource ; activer des cartes usine, même celles construites à ce même tour. Les centres de formation permettent d’obtenir des ouvriers à la « rentabilité » élevée pour chaque type d’usine.
La partie continue par une succession de ces deux phases jusqu’à ce que l’un des joueurs ait fabriqué 12 biens ou plus ou a construit 10 usines ou plus. Un dernier tour est alors effectué, puis on compte les points. Le jeu est annoncé comme parfaitement jouable en solo, en compétition contre une intelligence artificielle nommée « The Machine ». Dont acte.
On le voit, le gameplay est particulièrement simple et les parties se veulent fluides et avec une forte rejouabilité. Comme trop souvent, on regrettera que le jeu soit disponible uniquement en anglais. Même s’il faut reconnaître que les textes sur les cartes sont dans un anglais relativement basique, c’est toujours un frein pour beaucoup d’autant qu’il reste aussi l’obstacle de la règle, que l’on ne peut qu’espérer voir être traduite bénévolement plus tard. Eût-elle été disponible en français, ne serait-ce qu’en PDF, que je lui aurais bien mis un petit coup de cœur à ce jeu.
S’il est des petits nouveaux qui galèrent à trouver le financement de leur campagne, pour d’autres il en est tout autrement. La campagne de Fantastic Factories a trouvé les 15 437 $ (très précisément) demandés en quelques heures et a été financé à largement plus de 2 fois au bout de la deuxième journée. Cela ne s’est pas vraiment calmé pour autant puisque le rythme actuel est d’une centaine de soutiens par jour. S’il tient à ce niveau, cette petite campagne va finir sur des sommets (Actuellement 57 000 / 15 437 $ et 1 580 soutiens. Fin le Vendredi 29 juin à 05h00).
Vast : The Mysterious Manor par Patrick Leder est le nouvel opus de ce qui devient de fait une licence à part entière : Vast, après la réussite de la campagne Vast : The Crystal Cavern (plus de 2 800 soutiens en septembre 2015) et celle encore plus grande de son reprint accompagné de figurines (5 700 soutiens en décembre 2016). Sans en être une extension, The Mysterious Manor est totalement compatible avec The Crystal Cavern.
Vous en déduirez aisément que le gameplay n’a pas été bouleversé. Tout au plus nous retrouvons nous dans un autre univers, un manoir hantée en l’occurrence. Fidèle à son concept d’asymétrie totale, vous pourrez donc prendre le rôle d’un paladin, d’un squelette, de la méchante de l’histoire, la terrible araignée géante, du manoir lui-même ou de l’enchanteur qui tente de profiter du chaos ambiant pour prendre le pouvoir sur les esprits des autres protagonistes.
Si le gameplay n’a pas connu de changement majeur, il en est de même naturellement pour les illustrations et la direction artistique en général. On aime ou pas, mais elle a le mérite d’être originale.
Là où se distingue The Mysterious Manor de son prédécesseur, c’est dans la présence d’un mode solo et d’un plateau de jeu sur lequel poser les cartes. Voilà, c’est à peu près tout. Avec si peu de changements, j’imagine que ceux qui ont aimé le premier aimeront celui-ci, et idem pour ceux qui ont détesté. Le jeu est toujours uniquement disponible en anglais, et il y a assez de texte sur le matériel pour gêner les non-anglophones.
5 fois et demi. C’est le financement récolté à l’issue du premier jour. Et quasiment 1 600 contributeurs, de quoi passer les 4 semaines à suivre dans la zénitude pour les porteurs du projet. Surtout que la dynamique ne veut pas descendre en dessous de la (très) grosse centaine de soutiens (cela semble être la norme de la semaine). Les 3 000 contributeurs sont pour bientôt, le financement x9 aussi. Zénitude absolue quoi… (Actuellement 267 000 / 30 000 $ et 2 650 soutiens. Fin le mercredi 27 juin à 03h00).
Suivi des campagnes précédemment lancées
6. C’est le nombre de soutiens gagnés par la campagne de la version anglaise de Z First Impact par WYSIWYGames. Effectivement, c’est peu (doux euphémisme). Après plus de 12 jours de campagne, ce n’est même pas le dixième de la somme demandée qui a été récoltée. Autant dire que c’est mort de chez dead. Seuls les porteurs semblent ne pas l’avoir compris, ou refusent de l’admettre. Paraît que l’espoir fait vivre… (Actuellement 4 000 / 50 000 $ et 53 soutiens. Fin le samedi 23 juin à 02h00).
La campagne de Herbaceous Sprouts par Pencil First Games connaît un gros coup de mou depuis quelques jours, au point d’être passée sous la barre des 10 nouveaux soutiens quotidiens. Malgré tout, les 1 000 contributeurs ont été atteints il y a peu et ce sont deux fois et demi les 20 000 $ du financement qui ont été rassemblés. Et il reste deux semaines pour remonter la pente (Actuellement 53 000 / 20 000 $ et 1 000 soutiens. Fin le mardi 19 juin à 06h00).
Le reboot de la campagne de Tiny Ninjas par 2niverse Games a confirmé la semaine passée son modeste mais réel succès en tournant en moyenne autour de la grosse vingtaine de soutiens par jour. Le mode solo a été débloqué et la traduction des règles en (entre autres) français est disponible en draft à la consultation.
A plus de deux semaines de la fin, tous les voyants sont au vert pour que ce petit jeu d’affrontement pour deux joueurs simple et magnifiquement présenté fasse un joli carton (Actuellement 24 300 / 8 000 $ et 580 soutiens. Fin le samedi 23 juin à 07h00).
Vous trouverez une sélection plus importante de projets en cours sur la page dédiée de Cwowd.
Ils se terminent cette semaine
OrcQuest : Warpath par Maze Games a vu sa campagne baisser de rythme la semaine passée, pour se stabiliser autour de la quinzaine de soutiens quotidiens. L’offre s’améliore grandement avec les 30 stretch goals débloqués, qui ne sont rien d’autre que deux extensions découpées. La première se passe dans les égouts dans lesquels il faudra combattre des rats qui ont bien appris des humains et la deuxième, encore incomplète, met en scène des elfes. Oui oui, vous allez pouvoir tataner de ces maudits elfes aux oreilles ridicules !
Se pose du coup la question (comme à chaque fois qu’il y en a, me direz-vous à juste titre) de l’intérêt des 5 extensions proposées en add-on. Même si leur prix individuel est raisonnable (25 €), l’ensemble fait mal au petit porte-feuille du complétiste. Mais qu’il se rassure, mon petit doigt me dit qu’un petit all-in de derrière les fagots ne va pas tarder à être dévoilé.
Les 1 500 souscripteurs sont en approche et la campagne est financée à 4 fois les 40 000 € demandés. Tout ça devrait se terminer autour des 200 000 €, peut-être plus avec de la chance et sauf problème d’ici la fin (Actuellement 161 000 / 40 000 € et 1 500 soutiens. Fin le jeudi 7 juin à 23h00).
5-Minute Dungeon : Curses ! Foiled Again ! par Wiggles 3D, le gros carton du moment, a continué à… cartonner. Comment dire autrement quand on parle de journées à, en moyenne, largement plus de 300 soutiens et qui font rentrer plus ou moins 15 000 CA$ pour chacune d’entre elles ?
De fait, la campagne va bientôt être financée à 40 (!) fois et les 10 000 soutiens devraient être atteints facilement, les 9 000 étant présents pile poil pour le rappel des 48 heures (Actuellement 397 000 / 20 000 CA$ et 9 000 soutiens. Fin le mardi 5 juin à 17h04).
À venir cette semaine
Lundi 4 juin
When Cutie Met Patootie par The Daniel Zayas Company
L’Alaska, une petite fille a perdu ses parents et part à leur recherche accompagné d’aliens. Les joueurs vont tous ensemble créer le parcours de cette étrange rencontre mais avec chacun un objectif secret.
Mardi 5 juin
Neta-Tanka par La Boîte De Jeu
Dans ce jeu de pose d’ouvriers et de gestion de ressources, vous incarnez une tribu de semi-nomades, qui cherche à se développer en harmonie avec la nature. Acceptez de vous dévouer pour la communauté et éviter de gaspiller les ressources que la nature vous offre. La fiche de jeu.
Jeudi 7 juin
Mythic Battles Pantheon (reprint) par Monolith
Second tirage accompagné de nouveautés. Le jeu est entre-temps passé de Mythic Games à Monolith.
: Désigne les campagnes conseillées par Shanouillette. : Désigne les campagnes conseillées par Gougou69. : Désigne les campagnes dont tout ou partie des éléments sont en français. € : Désigne les campagnes particulièrement intéressantes sur le plan financier. : Désigne les campagnes que nous déconseillons fortement.On les attend de pied ferme
On les attend de pied ferme
Légende des symboles utilisés
Le lexique du participatif
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DOMARADZKI 04/06/2018
Mythic Battles c’est pas le 5 juin ?
DOMARADZKI 04/06/2018
Et j’ai un doute sur Neka-Tanka qui est en fait NeTa Tanka… nan ?
Shanouillette 04/06/2018
typo. Corrigé !
TheGoodTheBadAndTheMeeple 04/06/2018
Perso j’ai backé le dernier L99, Empyreal qui s’est terminé hier, on verra si ça vaut la peine !
atom 04/06/2018
Haha j’ai fait pareil ^^ Je m’étais retenu pendant toute la campagne usant d’argument et de mauvaise foi et finalement j’ai craqué à quelques heures de la fin. (la version classique, la version collector n’ayant aucun intérêt). J’ai fait l’exact inverse sur Forbidden cities.
TheGoodTheBadAndTheMeeple 04/06/2018
j’ai pris aussi la classique + l’extension sans le deluxe dont j ai pas compris l’interet non plus… juste inquiet sur la lisibilité
Shanouillette 04/06/2018
Perso Heroes of Air, Land & Sea me fait de l’oeil …
Tilouboy 05/06/2018
Le prepaint de Heroes of Land, Air & Sea ne concerne que les héros et mercenaires, soit une trentaine de figurines.
Gougou69 05/06/2018
Ha ben oui, c’est exact, j’avais mal compris. Ce sont « seulement » 40 figurines qui sont concernées. Du coup, les 65 $ demandés sont moins intéressants, mais cela reste malgré tout raisonnable.
Arno’ 06/06/2018
Goblivion est quand même fortement inspiré de « Vendredi » limite plagiat je dirais… Si on a Vendredi je vois pas trop l’interet de le pledger. Bon c’est sur il est moins austere que le jeu de Friedemann Friese… Et Goblivion est plus cher + frais de port, tout ça explique peut-être le départ poussif de la campagne ! Bon jeux a toutes et tous