Participatif, la sélection naturelle du lundi 25 juin 2018
Chronique N°83
Salutations ludico-participatives !
► Ça sent les vacances ! Un seul jeu annoncé pour la semaine prochaine, mais pas d’inquiétude, il va en arriver d’autres de nulle part.
► Du coup, il se pourrait bien que j’adapte la taille de la chronique à celle de l’actualité avant de la cesser complètement au mois d’août (vacaaaances, j’oublie toooout….). Mais je vous en causerai plus en temps voulu.
Je vous souhaite une bonne lecture, et vous dis « À la semaine prochaine ! ».
Ça s’est passé la semaine dernière…
Les lancements de campagnes
ThunderGryph Games s’est surtout fait connaître par son deuxième jeu Tao Long, dont la version Deluxe s’est avérée, après sa livraison, à la hauteur des attentes. Le jeu lui-même s’est révélé être bien plus exigeant qu’il n’en avait l’air, mais bon tout de même.
Voilà que la société espagnole remet le couvert du beau et bon jeu avec Tang Garden. Pour le beau, j’y reviendrai plus loin. Pour le bon, commençons par dire qu’il s’agit de la dernière œuvre de Pierluca Zizzi (arrêtez de rigoler au fond !). Le nom du Monsieur ne vous dit peut-être rien, Hyperborea, Signorie, Dark Tales et Asgard vous parlent peut-être plus. L’honnêteté intellectuelle m’oblige à mentionner que sur ce coup, il a bossé en duo avec un certain Francesco Testini dont je n’avais jusqu’alors jamais entendu parler.
Tang Garden est un jeu pour 1 à 4 joueurs dans lequel ces derniers endossent le rôle d’un jardinier impérial à la cour de l’Empereur de Chine Tang Xuanzong et qui doivent concevoir le plus beau jardin impérial, chacun en compétition avec les autres bien entendu. Celui-ci va se construire au fur et à mesure de la partie et les joueurs vont devoir créer les paysages sur le plan horizontal mais aussi vertical. Les éléments de la nature devront être équilibrés et des nobles vont se balader dans ce jardin en devenir pour en juger la pertinence de la conception.
Concrètement, à son tour chaque joueur dispose de deux actions :
- Placer des tuiles éléments sur son plateau individuel et les faire correspondre pour augmenter l’équilibre naturel et ainsi attirer un nouveau personnage dans le jardin.
- Piocher des cartes de décoration (dont le nombre dépend de la situation de jeu à cet instant) et en placer une sur le plateau de jeu pour obtenir du prestige en complétant les collections. Placer des tuiles à des endroits bien précis du plateau permet de mettre en place des morceaux de panoramas lesquels, une fois complets, font également gagner des points de prestige.
Présenté comme ça, je suis bien conscient que je n’envoie pas du rêve. Je vous engage donc à aller sur la page de la campagne où le gameplay est clairement expliqué. Ce qui vous permettra également de prendre la mesure de l’élément le plus marquant du jeu : sa direction artistique !
Sublime ! C’est le premier mot qui vient à l’esprit lorsque l’on regarde les éléments qui composent le jeu. Tout est magnifique, parfaitement dans le thème et sans faute de goût. Que ce soit les illustrations (ha, la belle boîte !), les figurines, les éléments 3D, les cartes à la mise en page parfaite, tout donne envie de se lancer dans une partie. Et nul besoin de prendre la version Deluxe pour en profiter, la version de base n’a pas grand chose à lui envier. Si vous êtes du genre à craquer devant tout ce qui à rapport à la culture chinoise, autant dire que vous êtes cuit.
Au sujet de la version Deluxe justement, il est à noter qu’elle est 20 € plus chère que celle de base et qu’elle apporte à l’origine pour cette différence de prix des jetons en bois pour remplacer ceux en carton et une mini extension qui rend le jeu un peu plus « agressif ». Sur les 32 stretch goals déjà débloqués (rien que ça…) 4 lui sont spécifiquement dédiés : 1 sac en coton, 2 panoramas et un arbre pour l’extension, du Spot UV sur la boîte de la même extension. On le voit, à part le « gant de toilette » tous les stretch goals réservés à la version Deluxe le sont pour l’extension. C’est une façon de faire particulièrement respectueuse des soutiens. Si l’extension ne nous intéresse pas, nous ne sommes pas privés des améliorations matérielles débloquées. On peut même aller jusqu’à dire que même la version de base est une Deluxe, mais sans les jetons en bois et la mini extension.
Sans grande surprise eut égard à tout ce que je viens de mentionner, la campagne a connu un très bon départ. Excellent même. 235 000 € récoltés sur la première journée pour 30 000 demandés (quasiment un financement à 8 fois) apportés par 3 000 soutiens. Les 3 jours suivants ont été eux aussi très très bon avec respectivement 1 600, 1 700 et 650 soutiens quotidiens, et une fois le week-end passé le rythme s’est stabilisé autour de la (très) grosse centaine de contributeurs. Résultat, à deux semaines de la fin le jeu est financé à 18 fois par plus de 6 800 soutiens. Les 10 000 devraient être une formalité à ce rythme, et on peut même se prendre à rêver du Million. D’Euros, le million. (Actuellement 535 000 / 30 000 € et 6 820 soutiens. Fin le mardi 10 juillet à 22h00).
BlaBlaCat est un projet porté par son auteur, un Lyonnais du pseudo de Catartyk, également auteur des illustrations. Ce qui a son importance, car si celles-ci ne plairont pas à tout le monde, elles sont l’élément non négociable du projet, celui sur lequel Catartyk n’écoutera personne et restera dans la droite ligne qu’il s’est fixé.
Le jeu est une sorte de concours d’argumentation au cours duquel chaque joueur va devoir convaincre les autres joueurs sur un sujet donné, à charge ou à décharge. Des joutes verbales sur des notions et des pensées fondamentales telles que « un pessimiste est un optimiste avec de l’expérience », « avec l’avènement des écrans plats, le chat ne peut plus dormir sur la télé ». C’est volontairement décalé et absurde, on est dans du party game à fonction tout à fait rigolatoire.
Après un départ ma foi pas trop mauvais compte tenu de la modestie du projet, la campagne rame un peu beaucoup. Pour tout dire, ce sont 3 soutiens qui ont été gagnés sur les 4 derniers jours. Même si ce genre de projet peut toujours surprendre car dépendant beaucoup du bouche-à-oreille, on est en droit de douter du financement. Mais comme l’auteur m’a dit être parfaitement lucide et ne pas être contre un reboot, tous les espoirs sont permis de voir un jour Bla Bla Cat édité (Actuellement 1 255 / 5 000 € et 37 soutiens. Fin le jeudi 19 juillet à 20h01).
Overturn Rising Sands par Foxtales Studio est typiquement le type de projet lequel, lorsque l’on en prend connaissance, vous décroche la mâchoire mais qui, après un peu de réflexion, allume tous les voyants au rouge dans le dedans de votre tête.
Il s’agit d’un jeu de combats tactiques dans l’univers des contes des mille-et-une nuits à la direction artistique absolument magnifique. En tout cas, qui en donne l’impression. Car tout ce qui est figurines et décors 3D sur la page de la campagne n’est qu’un ensemble de renders particulièrement « eyes candy ».
Bien entendu, dans l’absolu il n’y a pas de problème à cette façon de faire. Toutes les sociétés n’ont pas les moyens de CMON, Monolith et Cie pour présenter des pelletées de figurines en phase finale de fabrication. Mais c’est le côté extrêmement ambitieux du projet, allié au fait que nous avons à faire là au projet d’un primo-éditeur qui propose son jeu à un tarif particulièrement bas au regard de ce qui est censé être dans la boîte, qui oblige à y regarder à deux (voire trois ou quatre) fois avant de pledger. Lorsque l’on connait les problèmes qu’ont eu à gérer les grosses sociétés précédemment citées, il faut juste savoir dans quoi on met ses sous, quitte à avoir des regrets de ne pas avoir soutenu le jeu lorsqu’il s’avèrera être une tuerie après sa livraison.
En attendant, il y a quand même pas mal de monde qui ne se pose pas ces questions existentielles quand on regarde le résultat actuel : plus de 2 000 soutiens qui ont financé le jeu à plus de 8 fois. Et donc bien plus au final (Actuellement 369 000 / 45 000 CA$ et 2 084 soutiens. Fin le jeudi 19 juillet à 20h56).
Inoka par XYZ Game Labs est un petit (par la taille) jeu de poche pour deux à quatre joueurs dont les mécaniques sont dérivées du Chifoumi (pierre-feuille-ciseaux) et qui bénéficie d’une sympathique direction artistique en plus d’un prix bas.
Visiblement pas le jeu du siècle, mais un parfait prétendant aux parties endiablées sur la plage (bon en 2019 la plage quand même hein, soyez patients…). C’est financé à plus de 3 fois par quasiment 700 soutiens. Et c’est bien ! (Actuellement 11 000 / 3 000 $ et 700 soutiens. Fin le samedi 14 juillet à 18h00).
Gravity Warfare (Relaunch) par Smart Iguana Games est un jeu de contrôle de territoire SF au gameplay pour le moins unique. En effet, le plateau de jeu est en équilibre sur un axe et poser y ses vaisseaux doit être fait avec circonspection, le risque étant de voir ces derniers glisser du plateau s’il penche du mauvais sens. La difficulté (et donc l’intérêt) du jeu tient en ce que l’endroit où poser ses vaisseaux est dépendant des cartes et des dés. Les parties sont rapides et on est quasiment à la limite du party game tant le jeu ne se prend pas au sérieux.
Le financement demandé était un peu haut (25 000 $), quoique certainement parfaitement justifié au vu du matériel, et donc malgré les plus de 860 soutiens, ce n’est financé qu’avec guère plus de 6 000 $ de rab’. Mais c’est financé (Actuellement 32 800 / 25 000 $ et 860 soutiens. Fin le mardi 10 juillet à 15h59).
Ont aussi attiré mon attention, mais sans plus :
The Hunters AD 2114 par Officina Monstrorum, un jeu coopératif en campagne où les joueurs sont des « Hunters » qui se battent contre des bestioles robot dans un monde post-apo. Les tuiles du plateau de jeu sont magnifiques, les renders des figurines donnent envie, le jeu est déjà financé à deux fois par plus de 1 000 soutiens, donc si c’est votre came jetez-y un oeil ;
So Long, My World par Axis Mundi se présente comme un jeu de carte d’horreur psychologique. La direction artistique est particulière, tout en noir et blanc hormis les cartes et jetons de visions, agrémentés d’illustrations en couleur très typées japonisantes. C’est financé à 4 fois par plus de 870 soutiens ;
Raccoon Tycoon par Forbidden Games vous place dans le rôle d’un magnat de la finance bien décidé à devenir le plus riche dans le nouveau monde d’Astoria. Il s’agit d’un jeu de gestion dans lequel tous les personnages sont remplacés par des animaux. Les illustrations sont très jolies et ne dépareilleraient pas un livre de contes pour enfants. Le jeu est décrit comme peu complexe mais assez stratégique et est financé à presque 2 fois par 760 souscripteurs.
Suivi des campagnes précédemment lancées
On peut sans trop prendre de risque prédire que les early birds temporels (valables durant X heures) vont être beaucoup moins présents désormais après avoir constaté le bourbier dans lequel ils ont mis la campagne de Solomon Kane par Mythic Games. En effet, il suffit d’aligner les chiffres pour comprendre l’ampleur du « problème ». À partir du troisième jour, ce sont 9 jours en négatif, pour ce qui est du nombre de soutiens, qui se sont succédés. Miracle, le dixième est en positif de 10 souscripteurs (certainement grâce à une campagne de pub sur Facebook) mais pour replonger dans le rouge au onzième. Résultat des courses : moins 300 soutiens environ sur la période considérée.
Étonnamment, du moins à première vue, la somme récoltée n’a elle pas cesser de grimper. Certes parfois très modestement, mais quand même, pas une journée en négatif. Ce grâce aux add-ons, proposés régulièrement et qui ont pu maintenir le navire à flot. Il semble que la seule chose que l’on puisse désormais espérer est que cela se maintienne ainsi et, surtout, que les dernières 48 heures donnent un bon coup de boost. Les premiers retours des joueurs ayant tâté de la bête à PEL sont plus qu’encourageants à cet égard (Actuellement 753 000 / 100 000 $ et 5 730 soutiens. Fin le jeudi 5 juillet à 21h00).
Getaway Driver par Jeff Beck & Uproarious Games a continué a très bien se comporter la moitié de la semaine passée (environ 160 soutiens par jour) puis seulement bien (une soixantaine de soutiens par jour) l’autre moitié. La campagne est en tous cas financée à 9 fois par 2 750 soutiens (Actuellement 81 800 / 8 800 $ et 2 790 soutiens. Fin le jeudi 5 juillet à 23h30).
Efemeris : Celestial Domination par DTDA Games a terminé la semaine à un tout tout petit rythme de 5 soutiens quotidiens. La campagne vient juste d’être financée, 12 jours après son lancement. Ce fut long, mais c’est fait. La chasse aux stretch goals est donc ouverte (Actuellement 30 500 / 30 000 € et 500 soutiens. Fin le mardi 10 juillet à 17h59).
Solar City : A Solarpunk Game par Games Factory est la nouvelle victime des early birds mal maîtrisés. Ce n’était pas des early birds temporels, mais l’écart entre le prix du pledge en EB le plus prisé (le plus cher, celui avec deux extensions incluses) et le « normal » était bien trop important (15 $). Le résultat est sans appel. Les deux premiers jours ont été bons (près de 700 soutiens) mais au troisième jour c’est la chute brutale. Moins de 10 soutiens par jour, les trois derniers étant même en négatif, tant en soutiens qu’en financement. Au final, opération quasiment neutre, les pertes étant compensées par les gains. Et vice-versa. Mais ce n’est pas le but de la manœuvre (Actuellement 56 300 / 15 000 $ et 700 soutiens. Fin le mardi 10 juillet à 00h00).
Petite semaine correcte pour Gorus Maximus par Conor Mac Goey, la moyenne navigant entre la cinquantaine et la vingtaine de soutiens par jour. Le jeu est tout de même financé à deux fois par plus de 1200 souscripteurs (Actuellement 31 000 / 14 845 CA$ et 1 240 soutiens. Fin le jeudi 12 juillet à 04h59).
Kung Fu Panda Boardgame par Modiphius Entertainment a enfin été financé après plus de 10 jours de campagne. Celle-ci va donc pouvoir vraiment commencer avec la chasse aux stretch goals, seuls garants du maintien de leur pledge par ceux qui ont choisi la « grosse » version (celle qui fait vraiment gagner des sous à Modiphius). Rendez-vous donc la semaine prochaine, après la montée en puissance habituelle des campagnes « Modiphius Style » (Actuellement 31 200 / 30 000 £ et 700 soutiens. Fin le dimanche 15 juillet à 21h00).
Vous trouverez une sélection plus importante de projets en cours sur la page dédiée de Cwowd.
Ils se terminent cette semaine
Le rappel des 48 heures a parfaitement rempli son rôle de boost pour la campagne de Heroes of Land, Air & Sea : Pestilence de Gamelyn Games, le rythme passant ainsi d’une cinquantaine à pratiquement 300 soutiens quotidiens. Les 5 000 contributeurs et les 600 000 $ sont assurés d’ici la fin (Actuellement 591 000 / 100 000 $ et 4 880 soutiens. Fin le mardi 26 juin à 15h00).
Performance assez moyenne du boost des 48 heures pour Vast : The Mysterious Manor par Patrick Leder, la dynamique passant d’une cinquantaine à guère plus de 150 soutiens par jour. Ce n’est donc pas parti pour faire des étincelles, mais la campagne est tout de même financée à 12 fois et les 3 800 contributeurs devraient être atteints.
Après un gros coup de mou, la campagne de Goblivion par Goblivion Games a repris un peu de couleurs la semaine passée. Pas non plus de quoi pavoiser, mais tout est bon à prendre. Je serais étonné que le rappel des 48 heures la propulse vers des sommets, mais là encore, tout boost sera bon à prendre, même modeste. C’est largement financé, quelques stretch goals ont été débloqués et au vu de la modestie du projet, c’est déjà très bien (Actuellement 31 000 / 26 000 CA$ et 610 soutiens. Fin le mercredi 27 juin à 17h45).
Comme à chaque fois avec La Boîte De Jeu, la campagne de Neta-Tanka sera sortie du lot par le fait qu’elle ne se fait pas remarquer. On en parle guère, simplement parce qu’il n’y a pas grand chose à en dire tant elle se déroule en suivant à la perfection un plan bien établi à l’avance. L’offre est avantageuse pour les soutiens, la version Deluxe tient toutes ses promesses en s’améliorant au gré des stetch goals qui défilent avec une régularité de métronome suisse, le jeu lui-même semble rassembler tous les suffrages des amateurs du genre. Bref, une campagne parfaite, qui semble évidente de facilité mais qui, a contrario, est la preuve d’un énorme travail de préparation en amont. Et c’est clairement là qu’est la « marque de fabrique » de La Boîte De Jeu, au-delà de la qualité des jeux qu’elle édite.
De fait, la cloche du rappel des 48 heures n’a pas encore sonné que le jeu est pratiquement financé à 8 fois par un peu moins de 4 000 soutiens. Au vu de la dynamique actuelle bien supérieure à la centaine de soutiens quotidiens, on peut parier sans trop de risque sur une fin de campagne autour des 5 000 contributeurs et pourquoi pas, soyons fous, sur un financement final x 10 (Actuellement 230 000 / 30 000 € et 3 940 soutiens. Fin le mercredi 27 juin à 23h59).
Lorsqu’un jeu est bon et qu’il a bonne presse au sein de la communauté des joueurs, un reprint est souvent (toujours ?) synonyme de réussite. Quand ce reprint est une version luxe associée à une extension, c’est le carton assuré. Pas étonnant donc qu’à 3 jours de la fin de sa campagne Trickerion – Dahlggard’s Academy and Collector’s Edition par Mindclash Games soit financé à quasiment 14 fois par près de 5 000 soutiens. Il faut dire qu’avec un rythme refusant de descendre en-dessous des 120 contributeurs quotidiens, il eut été difficile de ne pas arriver à ce résultat. On est donc en droit de s’attendre à un final de « folaï », après une campagne du même tonneau (Actuellement 416 300 / 30 000 $ et 4 980 soutiens. Fin le jeudi 28 juin à 22h00).
À venir cette semaine
Jeudi 28 juin
DomiNations : Road To Civilization par Holy Grail Games
Jeu de développement et gestion de civilisation à base de dominos triangulaires qui permettent d’acquérir des Connaissances (les ressources principales du jeu).
: Désigne les campagnes conseillées par Shanouillette. : Désigne les campagnes conseillées par Gougou69. : Désigne les campagnes dont tout ou partie des éléments sont en français. € : Désigne les campagnes particulièrement intéressantes sur le plan financier. : Désigne les campagnes que nous déconseillons fortement. On les attend de pied ferme
On les attend de pied ferme
Légende des symboles utilisés
Le lexique du participatif
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