Participatif, la sélection naturelle du 11 septembre 2017
► La nouvelle mouture de la chronique n’a pas engendré d’émeute, je considère donc qu’elle est validée en l’état par son lectorat ! Il y aura très certainement des petits changements en fonction des besoins, mais pas de révolution. Ainsi que je l’espérais, elle me fait gagner beaucoup de temps. Je pense que je ne dois pas être loin de 50% de travail en moins, à confirmer dans les semaines à venir. C’est sans conteste un gage de longévité !
► Cette semaine, rien d’extraordinaire à vous mettre sous la dent, mais pas mal de très bons (voire excellents) petits jeux. Et c’est déjà beaucoup.
Je vous souhaite une bonne lecture, et vous dis « À la semaine prochaine ! ».
► Vous trouverez en fin de chronique la légende des symboles utilisés et le lexique qui vous permettra de mieux comprendre les termes techniques employés parfois et dont la plupart est en orange.
Chronique N°45
Ça s’est passé la semaine dernière…
Les lancements de campagnes
► Outlaws : Last Man Standing de Holy Grail Games
Fin le jeudi 28 septembre à 20h00.
Bluff ; Déduction ; Mémory
Pledges : Une boîte 18 € ; Deux boîtes 30 € ; Port 6.5 €
En fin d’année 2015 était dévoilé un petit jeu à deux dans le monde du Far-West qui a immédiatement bénéficié de bons retours de la part de ceux qui avaient pu tâter de la bête. Pour des raisons inconnues, son édition à été remise à plus tard. Plus tard, c’était très exactement jeudi dernier, avec le lancement par Holy Grail Games de la campagne Kickstarter de Outlaws : Last Man Standing. Il s’agit là de l’œuvre de Jérémy Pinget, alias « Goreto », illustrée par Arnaud Demaegd, le frère de son célèbre éditeur de frère. Entre temps, le jeu est devenu jouable à 3 ou 4 avec une deuxième boîte.
Chaque joueur endosse le rôle d’un Gouverneur prêt à tout pour devenir « The Big Boss of United States ». La mécanique est très maligne et permet des parties rapides qui appellent une revanche du perdant, d’autant plus facilement que les 3 conditions de victoire augurent d’une forte rejouabilité induite par les différentes stratégies possibles.
Simplicité des règles, rapidité des parties, bluff et déduction, fourberie et opportunisme à tous les étages, prix contenu et version française des règles, nous tenons là tous les ingrédients d’une belle réussite. Et les faits semblent bien vouloir me donner raison, puisque la campagne a récolté le double de somme nécessaire à son financement dès le premier jour, engendrant ainsi une sympathique dynamique qui a permis de débloquer un premier stretch goal (actuellement 10 000 / 2 500 € et 481 soutiens. Fin le jeudi 28 septembre à 20h00). Si vous êtes titillé par ce jeu mais que vous n’êtes pas sûr de vous, vous avez la possibilité de le tester sur BoardGameArena.
Quant à moi, avec tout ça, c’est un nouveau coup de cœur de cette rentrée ludique.
En bref
Woosh : Bounty Hunters des grecs de Artipia Games, est un très joli petit jeu de cartes familial proche du Dobble dans sa mécanique, illustré d’adorables monstres qui devraient faire fondre nos petites têtes blondes. Il vous faudra de solides réflexes pour arriver à capturer ces monstres en usant des armes adéquates. La campagne a démarré gentiment en réunissant le premier jour un peu plus de la moitié des 6000 $ demandés pour son financement, mais n’a malheureusement toujours pas financé après une semaine (actuellement 5 220 / 6 000 $ et 218 soutiens. Fin le jeudi 14 septembre à 22h30). Vous trouverez une analyse de la campagne sur le hub du jeu sur Cwowd. À noter la mise en place, par notre incontournable Davy, d’un pledge groupé sur le forum de Cwowd.
Zipang Portable de Madara LLC est un autre petit jeu de cartes, mais en pas pareil. Déjà, celui-ci est japonais de chez japonais. Auteur japonais, éditeur japonais, illustrateurs japonais, direction artistique on ne peut plus japonaise puisque dans le plus pur style des estampes… japonaises (magnifiques au passage, pour ceux qui aiment le style). Bref, c’est japonais et les amateurs frétillent déjà.
Quant aux autres, ne partez pas trop vite, le jeu a quand même d’autres arguments à faire valoir. Notamment son système de scoring, qui détermine le nombre de points du vainqueur d’un pli par un rapport entre sa carte jouée et les cartes restant entre les mains du défenseur. Un truc bizarre donc, bien japonais quoi. 😉 Si la campagne a tardé à trouver son financement au cours du septième jour, le rythme est cependant très correct avec une grosse vingtaine de nouveaux soutiens quotidiens (actuellement 8 790 / 8 000 $ et 388 soutiens. Fin le samedi 23 septembre à 05h30).
Avec Zero Gravity des italiens de District Games, nous avons de la vraie innovation, du genre jamais vu. En effet, le plateau de jeu est composé de 4 parties réunies en un cube dont on aurait enlevé deux côtés se faisant face. La surface de jeu est à l’intérieur de ce cube tronqué, et donc en bas bien à plat (normal) mais aussi sur les deux côtés et en haut, au « plafond » pourrions-nous dire (pas évident à expliquer ce truc. Si vous n’avez rien compris, allez voir sur la page du projet 😉 ). L’ensemble est aimanté, ainsi que le socle des figurines composant les 4 équipes qui peuvent potentiellement s’affronter. Car c’est un jeu d’affrontement, une sorte de sport futuriste du wattmillième siècle. J’avoue sincèrement ne pas m’être penché sur le cas de ce jeu, le concept ne m’attirant pas au-delà de la simple curiosité de principe, mais cela semble être basé sur du « Capture the Flag ». En tous cas, l’originalité semble avoir payé (au moins à très court terme) puisque le jeu a été financé en début de deuxième journée de campagne et que la dynamique a été très bonne pendant 3 jours. Las ! Elle s’est littéralement écroulée le quatrième et c’est un véritable coup de frein brutal qui a été donné (actuellement 50 600 / 25 000 $ et 643 soutiens. Fin le vendredi 6 octobre à 17h56). À noter que les règles du jeu devraient être fournies en français.
Revenons aux figurines avec Wander : The Cult of Barnacle Bay d’un tout nouvel éditeur, Panda Cult Games. Il s’agit d’un dungeon crawler coopératif dans lequel les joueurs endossent le rôle de héros devant sauver la petite ville de Barnacle Bay des mauvaises intentions d’un culte maléfique, le tout tout au long d’une campagne au cours de laquelle ils pourront évoluer, s’améliorer et acquérir de nouveaux équipements. D’aucuns lui trouvent un petit air de parenté avec Mice & Mystics, impression sûrement renforcée par le contexte médiéval fantastique du jeu et le fait que tous les personnages soient des animaux « humanisés ». La campagne a bien débuté en étant financé au cours de la deuxième journée, et le rythme engagé semble vouloir se maintenir pour l’instant. (actuellement 82 320 / 50 000 $ et 887 soutiens. Fin le jeudi 5 octobre à 19h00).
Restons encore dans la figurine. Enfin presque. Quoique si, mais pas que. Le 5 septembre a été lancé la campagne de Conan : le Livre de Set de Monolith. Une campagne ultra courte de 5 jours, ce qui fait qu’elle sera terminée au moment où vous lirez ces lignes. Cette campagne était partie pour être tranquille et sans grand risque puisque destinée à proposer un livre regroupant des scénarios déjà diffusés sur Internet (agrémenté tout de même de moult photos et de background sur le monde de Conan) accompagné de la possibilité de prendre tout ou partie de ce qui compose le jeu Conan. À priori, pas de quoi s’exciter donc. Sauf que Monolith a très légèrement sous-estimé l’engouement et le côté complétiste de beaucoup de backers en ne proposant que 700 livres de Set pour la France et 800 pour les US et le Canada. Le résultat ne s’est pas fait attendre : les livres sont partis (très) rapidement, et les commentaires exprimant, en des termes plus ou moins corrects, le désarroi de ceux qui n’ont pu être servis sont arrivés tout aussi rapidement dans la foulée. Face à la grogne, Monolith a réagi au quart de tour et a proposé un nouveau pledge pour le livre, en nombre illimité cette fois, la seule différence résidant dans la date de livraison décalée à 2018 pour cette vague 2. Au résultat, une jolie réussite tout de même pour cette mini-campagne (Résultat final : 499 000 / 20 000 $ et 4327 soutiens. Fin le dimanche 10 septembre à 21h00).
Suivi des campagnes précédemment lancées
Je commence cette partie en vous parlant d’un jeu que j’ai un peu injustement délaissé la semaine dernière, de façon tout à fait volontaire je l’avoue.
Plusieurs personnes m’ont fait part de l’existence de la campagne de SteamRollers de Flatlined Games et de leur déception de ne pas la voir retenue dans ma dernière chronique, et m’ont chaudement recommandé d’y jeter un peu plus qu’un œil curieux. J’avoue humblement avoir survolé la page de la campagne, sans plus, comme pour tant d’autres qui n’ont pas su retenir mon attention. Il faut dire que les jeux de trains et moi… Je me suis donc exécuté, lu attentivement la page et j’ai même regardé la vidéo de gameplay. Et j’avoue qu’il serait dommage de ne pas donner sa chance à ce jeu à la mécanique originale et pleine de bonnes idées. Je comprends bien mieux l’enthousiasme et les bons retours de ceux qui ont pu y jouer sur différents salons francophones (Mark Gerrits, l’auteur, et l’éditeur sont Belges).
Nous sommes en présence d’un jeu bien plus malin qu’il n’y paraît de prime abord et qui peut même, dans les niveaux difficiles, devenir un brulot à neurones. Le hasard, omniprésent de par l’utilisation centrale de dés, est tout à fait contrôlable et il faut y être absolument allergique pour ne pas trouver de qualités à ce jeu. Mais ma vision a surtout changé en ce qui concerne les graphismes. Clairement et honnêtement, la raison pour laquelle j’ai zappé SteamRollers, en plus du thème qui ne me parle pas, était la direction artistique minimaliste qui m’a instantanément déplu. Et chez moi, c’est compliqué de passer outre, peu importe les qualités ludiques supposées ou avérées du jeu.
Mais après vision de la vidéo, il est évident que les plateaux, le central comme les individuels, se doivent d’être instantanément lisibles, bien plus qu’être proches d’une œuvre d’art. Et là, la direction artistique trouve toute sa justification, je me dois bien de l’admettre. Elle plaît ou non, mais elle fait le job et le fait bien. Je ne peux donc que vous inciter à aller voir par vous-même de quoi il retourne.
Une mini extension a été débloquée et une deuxième peut potentiellement l’être avant la fin de la campagne. (actuellement 22 154 / 10 000 € et 624 soutiens. Fin le jeudi 21 septembre à 19h00).
La campagne de Trut, le très joli petit jeu de cartes de Monsieur Pascal Boucher, Alias « Robin Red Games », est sortie de la confidentialité dans laquelle elle n’aurait jamais du entrer. Elle a subitement décollé au point que, tout comme pour l’extension de Vikings Gone Wild, son éditeur s’est retrouvé à court de stretch goals. La aussi, l’imagination a permis de passer outre ce léger désagrément et les quelques idées lancées par certains forumeurs de Cwowd ont été attrapées au vol par Pascal, digérées, transformées et concrétisées en nouvelles (magnifiques) cartes qui ajoutent des effets à ce jeu traditionnel, et ce, sans le dénaturer. Ce sont donc 8 stretch goals qui ont été débloqués à ce moment de la campagne, le neuvième est en instance de tomber (et le sera certainement quand vous lirez ces lignes) et le dixième est prêt à l’être également. Mais les idées pour de nouvelles cartes fusent et nous devrions avoir encore quelques bonnes surprises (actuellement 5 172 / 1 250 € et 224 soutiens. Fin le vendredi 22 septembre à 14h00).
Mint Delivery vient de passer une semaine à fond la caisse grâce à une dynamique de campagne digne des meilleures campagnes de CMON, avec des journées à plus de 200 nouveaux backers minimum. (actuellement 121 488 / 1 250 $ et 6 908 soutiens. Fin le vendredi 22 septembre à 14h00). Les excellents retours au sujet de Mint Works, son prédécesseur, et le faible prix des pledges auront sans aucun doute joué en sa faveur. Les 4 premiers stretch goals ont uniquement apporté de l’amélioration de la qualité du matériel, mais le cinquième à apporter le support d’un cinquième joueur et ceux à venir sont axés sur de l’ajout de gameplay.
Horizons, le dernier jeu en campagne de Daily Magic Games (éditeur entre autres de la série des Valeria), vient de passer une bonne semaine lui apportant, bon an mal an, ses 2 000 $ quotidiens. Cela ne rend pas le jeu plus intéressant financièrement pour nous, français, pour autant. Et je réitère donc mon conseil d’attendre la version localisée par Pixie Games, qui sera moins chère (actuellement 48 495 / 20 000 $ et 900 soutiens. Fin le samedi 23 septembre à 02h00).
La campagne de The Island of Eldorado, marche du feu de Dieu, malgré (ou grâce à ?) ses airs de Catane modernisé. Dire que la dynamique est bonne tient du doux euphémisme, puisque ce sont en moyenne 6 000 bons gros Dollars (US, les Dollars) qui rentrent quotidiennement dans les caisses. À 13 jours de la fin, ce sont déjà 4 fois les 27 500 $ demandés qui ont été récoltés (actuellement 118 580 / 27 500 $ et 1 973 soutiens. Fin le lundi 25 septembre à 05h45).
Champions of Hara, de Greenbrier Games a connu une baisse cette semaine, au huitième jour de la campagne. Rien de dramatique, mais la différence avec la première semaine est très nette. Il rentre tout de même près de 1 000 $ par jour, ce que nombre d’autres campagnes aimeraient voir leur arriver (actuellement 51 465 / 20 000 $ et 586 soutiens. Fin le vendredi 29 septembre à 05h59).
La réédition par Grail Games (ne pas confondre avec Holy Grail Games) du vieux (1999) classique de Reiner Knizia, Stephenson’s Rocket, a clairement trouvé son public, même si la campagne semble marquer le pas depuis quelques jours. Sont-ce les prémices du fameux « ventre mou » ? En tous cas, avec plus de 800 soutiens et les 1 000 très largement atteignables d’ici 10 jours, on peux parler de succès pour ce genre de jeu (actuellement 62 368 / 20 000 AU$ et 845 soutiens. Fin le samedi 23 septembre à 02h00).
À titre indicatif, je vous informe de l’existence de Into the Black : Boarding Party de I Will Never Grow Up Gaming , un dungeon crawler spatial semi-coopératif ; Andoria Battlefields de Raentik Games ; Ink Monsters de Albino Dragon, un jeu de cartes à base de draft ; Emergency Dark Ops de Liminal Games, un autre jeu semi-coopératif dans l’espace.
Vous trouverez une sélection plus importante de projets en cours sur la page dédiée de Cwowd.
Ils se terminent cette semaine
Cette semaine voit se terminer la campagne de l’excellente extension Masters of the Elements de l’excellent jeu Vikings Gone Wild (je vous ai déjà dit que j’étais fan de ce jeu ?). Je ne sais pas quels étaient les objectifs de Lucky Duck Games, mais le fait d’avoir proposé un reprint du jeu et des extensions précédentes, qui plus est avec pour chacun d’eux une version en français, semble avoir payé. Je serais tenté de dire qu’au vu des résultats de la campagne, cette extension a trouvé son public. Il faut dire que les 27 (au moment où j’écris ces lignes) stretch goals débloqués apportent pas moins de 70 nouvelles cartes (dont 45 exclusives à la campagne), qui seront toutes traduites en français, ce qui est tout de même assez conséquent pour une « simple » extension. Le 20e stretch goal devant être théoriquement le dernier, les canards se sont retrouvés fort dépourvus lorsque celui-ci tomba à 5 jours de la fin de la campagne.
Mais l’imagination canardesque s’est mise en branle et de nouvelles cartes en sont sorties, certaines particulièrement bien vues au niveau références geek et tout en restant cohérentes avec l’univers du jeu. Fort de tout cela, la dynamique de la campagne est naturellement restée relativement stable tout le temps de sa durée avec une moyenne d’une cinquantaine de nouveaux soutiens quotidiens. Le traditionnel boost des 48 dernières heures a même commencé deux jours plus tôt et les 3 000 soutiens au final sont envisageables à l’heure où j’écris ces lignes (actuellement 225 650 / 10 000 $ et 2767 soutiens. Fin le mardi 12 septembre à 00h00). Si vous n’êtes toujours pas sûrs de vous, je vous conseille fortement, si ce n’est déjà fait, la lecture de l’excellent article de TSR ici. Vous trouverez également l’analyse de la campagne sur le hub du jeu sur Cwowd. Et la fiche du jeu sur Ludovox est là.
The Little Flower Shop de Dr Finn’s games a enfin financé au onzième jour de campagne. Nous n’étions pas inquiets, les jeux de Steve Finn financent toujours sur la durée. Le résultat de la campagne, tant en nombre de soutiens qu’en montant récolté, est également dans la norme des 11 précédentes campagnes du Monsieur. (actuellement 20 936 / 18 000 $ et 490 soutiens. Fin le vendredi 15 septembre à 18h02).
À venir cette semaine
Journée chargée ce mardi 12 septembre ! C’est d’ailleurs la seule journée concernée par de nouveaux lancements. Du moins, autant qu’on le sache.
Commençons avec Human Punishment : Social Deduction 2.0 de Godot Games, un jeu de déduction à rôles cachés dont on ne sait pas grand chose.
Vient ensuite Cerebria : The Inside World de Mindclash Games, l’éditeur de Trickerion et Anachrony. Il nous propose là un bizarre jeu de contrôle de zones par équipe, à 2 contre 2, une équipe d’esprits positifs et l’autre d’esprits négatifs, le tout doté d’une direction artistique bien décalée comme il faut. À suivre donc.
War Titans : Invaders Must Die de Crawling Chaos Games est un nouveau jeu de Mechas, et ça faisait longtemps qu’on en n’avait pas vu débarquer un. Celui-ci est coopératif.
Mardi verra aussi le reboot de deux jeux : Secrets of the Lost Station de Everything Epic (lien vers la précédente campagne), pendant spatial du très MedFan Secrets of the Lost Tomb.
Puis Expedition Zetta de Ion Game Design (lien vers la précédente campagne) tentera à nouveau de conquérir les cœurs et les portes-monnaie des backers. Espérons que la direction artistique aura été revue en profondeur, sinon…
: Désigne les campagnes conseillées par Shanouillette. : Désigne les campagnes conseillées par Gougou69. : Désigne les campagnes dont tout ou partie des éléments sont en français. € : Désigne les campagnes particulièrement intéressantes sur le plan financier. : Désigne les campagnes que nous déconseillons fortement.On les attend de pied ferme
On les attend de pied ferme
Légende des symboles utilisés
Le lexique du participatif
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kikrok 11/09/2017
Merci pour cette chronique, je la lis avec plaisir toutes les semaines (même si mon portefeuille tire la gueule à cause de toi 😉 )
La nouvelle mouture est très agréable à lire mais il y a un petit point qui a disparu qui me plaisait bien: dans la présentation des jeux, je trouvais pratique d’avoir en première ligne quelques tags (« carte », « coop », « figurine »,…) qui permettaient en un coup d’oeuil de savoir si le jeu pourrait s’adresser à moi ou si j’allais lire sa description juste par curiosité.
Avec ou sans elle, quoi qu’il arrive j’ai déjà envie d’être la semaine prochaine pour ma dose d’incitation à l’achat!
Gougou69 12/09/2017
Les renseignements qui te manquent font partie de ce qui était le plus chronophage pour moi. Mais maintenant que j’ai une idée un peu plus précise du temps que j’ai gagné grâce à la nouvelle formule, je suis en train de voir ce qui pourrait être remis sans retomber dans les travers qui ont fait que la rédaction de cette chronique était devenu quasiment une corvée sur la fin. Et je pense pouvoir envisager un retour des renseignements dont tu parles. Ce n’est pas évident, car cela doit s’intégrer dans le texte sans en alourdir outre mesure la lecture. mais je vais y réfléchir. En tous cas, merci pour ton retour.
EDIT : Quelques heures après cette réponse, je pense avoir trouvé une solution à notre problématique.
Eric Hanuise 11/09/2017
Merci! 🙂
Gougou69 12/09/2017
De rien. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, et quand je reçoit plusieurs MP m’expliquant que tel ou tel jeu est bien et pourquoi il l’est, je ne vois pas de raison de faire la sourde oreille et de passer outre. Je peux même te dire que j’ai failli prendre un pledge, parce que j’adore les jeux avec des dés et que dans SteamRollers je trouve le système excellent. Mais voilà, ce mois-ci ne se prête pas vraiment aux dépenses et j’ai du passer, comme pour d’autres jeux d’ailleurs. C’est rien que de la faute des Canards Chanceux qui m’ont pris tout mon budget jeu du mois.
Eric Hanuise 12/09/2017
Ah, contre les canards je ne peux rien faire, ils sont trop forts! 🙂
Florent 11/09/2017
Comme j’avais fait des remarques qui ont toute étaient prises en compte dans la V2 de ta chronique, je me sens presque obligé de commenter la V3. J’ai attendu cette semaine pour voir, puisque tu avais annoncé la semaine dernière que ce serait un peu différent. Bah… j’aime beaucoup! La principale info qui me manquait dans la V1, à savoir de quel genre de jeu il s’agit quand tu en évoques un, est là. L’aspect texte te rapproche plus de la chronique de fin de semaine de cwowd. Du coup j’avais un peu peur que cela fasse doublon en lisant la semaine dernière, mais finalement non.
Le fait de rédiger en forme de roman rend l’article plus vivant, on a envie de continuer et de tout lire, c’est super! Par contre, cela donne bien plus envie d’acheter les jeux. Tu vas fâcher certains banquiers…
Quant au temps que tu y passes, je n’arrive pas à me représenter comment il a pu diminuer avec cette forme. J’ai l’impression que tu écris beaucoup plus…
Pour les points à améliorer:
* Pour les sous titres type « Suivi des campagnes précédemment lancées », une couleur serait sympa pour que ca ressorte mieux. (j’aime toujours autant pouvoir survoler le truc 😉 )
* Et c’est tout, c’est très bien comme cela!
Merci pour ta rubrique, je la lis avec toujours autant de plaisir! (et même plus sous cette forme)
Gougou69 12/09/2017
Ha, mais tu as bien eu raison de craindre que ça fasse doublon avec la chronique de Thierry vu que j’ai tout pompé dessus éhontément et sans vergogne ! Parce-que, quand tu cherches une formule qui te fasse gagner du temps et que tu connais la façon de travailler de Thierry (si la procrastination avait un nom, elle s’appellerait Tregaro), tu te dis forcément qu’il y a là une piste à explorer ! 😉
Plus sérieusement, je passais autant de temps, sinon plus, à faire la mise en page de la chronique (WordPress n’est pas tip top à cet égard) qu’à l’écrire. Avec cette façon de faire, essentiellement en mode texte, j’ai cette grosse contrainte en moins. Parce qu’écrire les textes, ce n’est pas vraiment un problème. Moi mon souci, c’est de faire concis. Je prends en compte ta remarque sur la couleur des titres. S’ils sont en noir, c’est parce que je les considère plus comme des titres de sous-catégorie. Mais je vais voir ce que je peux faire. Et merci de ton retour et des compliments.
Thierry Tregaro 12/09/2017
‘culé!
(Le pire, c’est que c’est vrai. Travailler avec moi est inhumain, étonnant comme les gens ont du mal avec le concept de « last minute ». Quand c’est pour voyager pas cher, ça ne les dérange pas. Mais dès qu’il s’agit de passer la nuit à mettre en forme mon boulot rendu à la deadline, là, y’a plus personne !)
Désolé.
Thierry Tregaro 12/09/2017
Cela m’amuse et m’étonne à chaque fois de constater à quel point les deux « revues » sont différentes alors même qu’on traite des mêmes sujets en se piquant sauvagement des bouts/infos l’un l’autre (et en total accord). Et c’est encore plus flagrant avec cette « nouvelle formule », un plaisir cher Gougou !
Gougou69 12/09/2017
Rhôôô… Patron, vous me faites rougir !