Chaque joueur dirige une équipe de cinq survivants sur une terre hostile, infestée de marcheurs en décomposition. Sacs à dos remplis de nourriture, d’armes, de balles et de cartes du coin, vous êtes parés ! Oui, enfin… Il faudra être prudents. L‘équipe va entrer dans des zones de plus en plus dangereuses au fur et à mesure que le jeu progresse. Des Zombies de tous types attendent, des cannibales, des mines anti-personnelles et même des déchets radioactifs…

Communiqué officiel : 

Entre ces deux villes, la Route 66 et ses rencontres, évènements et combats contre les zombies.

Pour choisir le meilleur (disons le moins pire) des chemins qui s’offrent à vous, il faut enchérir contre vos adversaires . Ces enchères se font avec de précieuses ressources, munitions, essence et adrénaline, qui sont aussi vos meilleurs atouts pour éviter les zombies, les affronter ou sauver vos personnages. Il faudra gérer vos ressources avec précaution… et savoir quand prendre des risques.

Le jeu est édité comme s’il était l’oeuvre d’un survivant. Le jeune Martin, qui a fui Chicago avec sa famille, a créé son jeu pour raconter sa propre histoire. Pour cela, il a utilisé du matériel de récupération : photos, gommettes, capsules de bouteille, cartes de fidélité, etc. Et quoi de mieux qu’une vieille boîte de jeu pour transporter sa création ?

Pourquoi un changement de nom  alors que le précédent était fixé (et connu) depuis longtemps ? Tout simplement parce qu’entre le début du développement du jeu et aujourd’hui, un autre jeu appelé Devil’s Run – Route 666 est sorti et qu’il nous a paru normal de ne pas créer de confusion. Premier arrivé, premier arrivé. Comme dans Hit the Road.