La vie vaut t-elle la peine d’être vécue ? Pursuit of Happiness
Pursuit of Happiness, j’en ai entendu parler une première fois sur Ludovox, au détour d’une interview à Essen avec les deux auteurs mais le jeu n’avais été édité qu’à un petit nombre d’exemplaires (et dans une boîte hideuse, disons-le). Le jeu fut par la suite relancé via un Kickstarter (avec une autre illustration sur la boîte) et j’ai profité de l’occasion pour me jeter dessus.
Quand j’ai vu ce jeu, les illustrations m’ont d’abord fait penser à Leisure suit Larry, un click and play un peu coquin sur les PC de la vieille époque. Ce qui m’a attiré c’est donc le côté décalé, l’humour qui se dégage. Mais au-delà de son enrobage geek, le jeu est-il trépidant. En d’autres termes, la vie vaut-elle la peine d’être vécue ?
C’est l’histooooire de la vie…
Dans Pursuit of Happiness, nous allons jouer notre vie, de la naissance (enfin presque, puisqu’on commence à l’adolescence) jusqu’à la mort. Le but du jeu étant de gagner le plus de points de victoire (ici, ce sont des points de bonheur). Pour cela, il faut vivre la vie la plus complète, la plus totale, la plus épanouissante.
Nous commençons donc à l’adolescence, puis vient l’âge adulte, et enfin l’âge mûr. Pour finir, la mort viendra nous cueillir… Espérons pour vous que votre vie aura été bien remplie !
Du cycle éternel…
Donnons un sens à notre vie.
Nous tirons d’abord un nombre de cartes « but dans la vie », cartes que l’on pourra prendre ainsi que les points de victoire associés si on arrive à réunir les conditions requises : cela peut être d’avoir accumulé un nombre d’objets, vivre le plus vieux, le plus riche, ou au contraire vivre intensément et donc être le premier à mourir. Notez qu’en mode solo, il y a une condition particulière : il faudra posséder 8 pièces minimum quand on aura passé l’arme à gauche.
Bienvenue dans l’âge ingrat
Nous démarrons en tant que teenager, avec des traits de caractère qui nous sont propres et qui vont nous donner un petit plus dans la vie. On peut être charismatique, riche, studieux, travailleur… C’est très thématique, en plus de nous donner un petit départ asymétrique bienvenu. On récupère les ressources liées à notre caractère et on peut débuter.
Chaque joueur a 6 pions sablier qu’il va pouvoir poser sur les cartes visibles du plateau de jeu pour réaliser une action. Ces sabliers représentent le temps que nous avons. Avec ceux-ci nous pouvons :
- Étudier : On acquiert de la connaissance (on gagne 3 jetons livre)
- Interagir : On acquiert de l’influence (on gagne 3 jetons influence)
- Jouer : Notre créativité augmente (on gagne 3 jetons créativité)
- Faire un job (on gagne 3 sous)
Toutes ces actions nous permettent de gagner des jetons pour acheter des objets ou entamer des projets.
J’aurais besoin de créativité si je veux créer des jeux de société, par exemple. Et si je veux acheter de nouveaux objets pour remplir ma vie vide de sens, il me faudra de l’argent.
En tant qu’adolescent, la vie nous impose quelques limites : impossible d’avoir un vrai job et d’entamer une histoire d’amour ! Cependant, on a accès aux autres plaisirs de la vie, ceux de faire des p’tits boulots merdiques payés que dalle, ainsi que celui de dépenser sans compter pour des objets ou des activités.
Les autres actions me permettent donc d’acheter des objets ou des expériences, dans ce cas-là je paye le coût sur la carte, je la place sur ma zone de jeu en face de moi et je place un cube sur l’action réalisée.
Que ça soit un projet ou un objet, en payant les ressources demandées, on reçoit toujours une récompense. La récompense se trouve sur le côté droit de la carte : parfois il s’agit d’autres ressources, mais souvent de points de victoire. Projets ou objets peuvent aussi être développés, cela nous rapportera plus de points de victoire. Dans ce cas, en plaçant son pion sablier sur la carte, on peut décider de « développer » l’objet, on paye les ressources et on prend les récompenses associées.
Nos sabliers représentent le temps que nous dépensons et nous les posons sur les cases de nos choix, mais on peut aussi en poser plus d’un sur une seule case. Attention, cela augmentera notre niveau de stress. Le stress est un facteur qui peut réduire notre espérance de vie comme nous allons le voir.
Mon petit cube est ici placé sur le curseur stress : certaines actions vont le faire monter et quand je change de zone de couleur je perds un sablier pour le prochain tour.
À l’inverse, si j’arrive à le faire descendre je peux gagner une zone de couleur et je gagne alors un sablier. Cadeau. Attention monter son stress est facile, le descendre beaucoup moins car il faudra des cartes avec le symbole bonne santé (un cœur rouge).
Si on atteint la zone rouge, ce trop-plein de stress nous emporte et c’est la fin pour nous.
Pour en finir avec le stress (enfin presque) je peux me reposer (action rest) : je descends alors de 2 sur l’échelle du stress, sans changer de zone de couleur.
Je peux aussi le faire monter artificiellement, en faisant un Burn out : en me plaçant sur cette zone, je prends un stress de plus mais je récupère (pour le tour) deux sabliers (un sablier de gagné si vous savez compter ^^).
Si on peut réduire son stress, on ne peut pas y échapper quand on vieillit. Quand on arrive dans la première case old age on monte le stress de 3, et au tour suivant ça sera de 6, puis 9 cases.
La fin peut intervenir rapidement si on a trop tiré sur la corde ou fait des activités à risque, et à l’inverse, elle peut subvenir plus tardivement si on ménagé notre santé, en faisant du yoga par exemple.
Bonheur à court terme
On peut aussi élever notre bonheur à court terme : certaines cartes nous donnent un petit smiley enjoué, cela nous permet de monter dans cette échelle, tandis que d’autres cartes le réduisent. Si ça monte, on peut dépenser une ressource de moins, si ça descend, on doit payer une ressource de plus. (Limpide, non ?).
La vie, la vraie : métro, boulot, dodo
Tout d’abord, comme à chaque début de tour, démarre une phase d’entretien (mais j’y reviendrais plus tard car à l’adolescence on n’y est pas trop soumis). On rajoute les cartes partenaires ainsi que les cartes jobs (autant qu’il y a de joueurs) sur le plateau. Quand on prend une de ces cartes, on n’en remet pas d’autres tout de suite, on le fera au début du tour suivant.
Une fois que j’aurai dépassé l’adolescence viennent les premiers émois amoureux, et je pourrai décider de commencer une relation (les cartes sont double face, d’un côté des gars et de l’autre des filles, mais les relations ont les mêmes demandes).
Quand on débute une relation, on commence par un rendez-vous et on pose un cube sur la carte. On peut décider avec un de nos sabliers d’approfondir la relation, pour cela il faut satisfaire les demandes de votre partenaire, cela peut être d’avoir amassé de l’argent, ou de la connaissance, ou avoir tant d’objets, ou réaliser des projets…
Après la première phase du rendez vous, on peut consolider cette relation pour passer au stade de la relation stable. Enfin, si on décide d’aller plus loin, on fonde un foyer.
On déplace son petit cube curseur, et on engrange les points de victoire. Attention, à la phase d’entretien, cela va nous coûter un sablier ! Eh oui : on utilise notre temps pour vivre avec notre âme sœur ! Si on a a fondé une famille, cela nous coûtera deux sabliers. Par contre, ça devient un bon moteur de points de victoire.
Le travail c’est la santé…
Pour le travail, c’est la même chose. On place un sablier sur la case travail et on prend la carte que l’on souhaite tout en dépensant les ressources demandées. À la phase d’entretien, on devra payer les ressources demandées et on gagnera en échange notre salaire. Il faudra faire attention d’avoir en ressources ce que cet emploi nécessite sinon c’est le licenciement, ce qui augmenterait votre stress par ailleurs.
Il y a 3 types d’emplois : on peut bosser dans les sciences, les arts ou le social. Si l’on veut avoir une promotion, il faut qu’il y ait une carte de niveau supérieur disponible, et qu’elle corresponde avec notre type d’emploi (science avec science, etc).
Phase d’entretien
À chaque début de tour, il y a une phase d’entretien où l’on vérifie pour chacune de nos relations si on a ce qu’elles demandent. Même chose pour le travail. Puis, on marque les points de victoire.
Si l’on ne peut pas satisfaire les exigences d’une relation ou d’un travail, alors la personne nous quitte / on perd son boulot. Dans ce cas-là, notre stress en prend un coup. Notons que nous pouvons décider de nous-même de rompre une relation, ou un travail. Le stress monte quand même.
Le stress augmente aussi si l’on mène de front trop de projets ou si l’on a trop de relations simultanément. Et oui, on peut décider d’avoir plusieurs partenaires de vie, mais il faudra savoir tous les contenter ! Gare au retour de bâton ! (Si ça ce n’est pas thématique).
À noter que l’on remplit toutes ces conditions dans le sens de notre choix, ce qui nous permet parfois de combler une condition grâce aux récompenses d’une autre.
L’héritage
Paf ! On vient de passer l’arme à gauche, il est temps de faire ce qui est le plus important pour un joueur : on compte les points de victoire, on vérifie si on a atteint les conditions sur les cartes life goals, pour 5 ressources d’un même type, on acquiert un PV, et idem pour l’argent. Alors, qui a gagné ?
C’est l’histoire de ma vie (la partie)
Pour plus de simplicité, je vais vous narrer ma partie en solo. L’histoire romancée de ma vie en quelque sorte (avec du vrai et du moins vrai ^^) !
Enfant, j’étais un adolescent peu turbulent, avec un goût du savoir insatiable. Un vrai nerd perdu dans ses livres. Quand on me cherchait, j’étais souvent planqué sous une table ou dans un couloir pour pouvoir lire mes livres sans que l’on vienne me déranger. Puis la technologie n’a pas arrangé les choses, et je me suis réfugié derrière les ordinateurs.
Bon, par contre, les filles ce n’était pas trop ça ! 😉 Eh oui, quand on passe autant de temps derrière un livre ou un écran, dur de se faire des relations. Pour acheter tous ces livres bien sûr il fallait faire des p’tits jobs. J’ai aussi commencé à monter mon petit site amateur et a écrire des articles sur les jeux vidéos. C’est un projet que j’ai aimé développer.
Mais à l’âge adulte, les choses ont commencé à changer. J’ai rencontré Sherry. Parce que c’était elle, parce que c’était moi, tout ça tout ça. Elle était douce, agréable, et surtout intelligente. On se comprenait, elle était aussi geek que moi ! On pouvait deviser du dernier livre de Pratchett, ou des dernières théories sur l’évolution, bref, on se complétait bien.
Une fois en couple, nous filions le parfait amour. Notre vie fut idyllique. J’ai obtenu ce travail de consultant. De l’argent, de l’amour, que demander de plus ?
La vie suit son cours que l’on connait par cœur, métro-boulot-dodo. À force de passer du temps au travail, je fis la rencontre de Victoria, une nouvelle venue, une petite jeunette qui m’a complètement tapé dans l’œil. Et il faut croire que mon expérience ne devait pas lui déplaire… Cette relation s’est épanouie. Que voulez-vous… Il faut croire que l’on n’échappe pas à la crise de la quarantaine comme ça ! Mais mener de front deux relations n’est pas sans conséquences. Je l’apprendrai bientôt à mes dépens.
Quant au travail, tout allait bien, j’ai même reçu à ce moment une promotion et suis passé de consultant à directeur créatif.
La vie est courte, il faut la mener tambour battant, brûler la chandelle par les deux bouts… mais elle sait aussi nous rappeler à l’ordre. Vient le moment de révéler à Sherry mon petit moment d’égarement, ce ne fut pas évident de lui faire comprendre que malgré cette relation, je l’aimais toujours.
Cette histoire, sans compter cette promotion, fut au final un trop plein de stress. Le stress c’est la vie, certes, mais c’est aussi beaucoup d’angoisse. En vieillissant ma santé s’altéra, à tel point qu’il me fallut choisir entre les deux femmes de ma vie. Je choisis mon premier amour et rompis avec Victoria. Toutes les histoires ont une fin.
Une petite alerte, le cœur qui s’emballe, et je finis aux urgences ! Plus de peur que de mal, mais le docteur m’informe qu’il faudra que je quitte mon travail. Un crève cœur de quitter ce job pour lequel j’ai tant investi.
En parlant de fin, la mienne arriva prématurément. Je m’écroulais dans le jardin alors que je reprenais des couleurs, la vie au grand air. Je pensais à tous ces bons moments que j’avais vécu, et je m’évanouissais finalement sans regret. Je crois que j’ai bien vécu.
Disclaimer : Dans cette tranche de vie il y a du vrai et il y a du faux, j’ai essayé de prendre les différentes possibilités du jeu pour vous montrer ce que l’on peut faire.
Alors, la vie vaut-elle la peine d’être vécue ?
Nous sommes dans un jeu plateau à base de cartes. Le plateau est presque inutile. La mécanique centrale repose sur la gestion de ressources : on prend des ressources connaissances que l’on va utiliser pour tel job, ou pour contenter telle demoiselle qui nous fait gagner d’autres ressources, etc.
Et ça s’arrête là.
Ce qui sauve le jeu, c’est l’ambiance, le thème, et le côté décalé, sinon mécaniquement, le menu reste bien maigre. Il offre un véritable intérêt en solo car selon les buts de la vie, on va essayer de rentrer dans un personnage, de lui donner corps et vie (par exemple si le but c’est « vivre intensément », on va se lancer dans des activités intenses), mais à plusieurs joueurs, l’interaction est très limitée. On joue beaucoup dans son coin, on se moque bien de ce que vont faire les autres. Pour tempérer cette critique, j’ai joué une partie à 2 joueurs où l’on commentait tous nos choix, et c’était vivant, mais sans un minimum de role playing on se désintéresse totalement des actions des autres joueurs.
Les bonus Kickstarter apportent un peu de variété bienvenue : les tendances (trends), ou les événements (events), qui peuvent être bons ou mauvais, amènent un peu de piquant dans une vie morne et trop bien rangée. Je détaille tout ça ci-dessous.
Entendons-nous bien, j’ai apprécié Pursuit of Happiness, il souffle un petit vent de fraîcheur indéniable, et les illustrations sont cool. Pour autant le jeu est un peu répétitif, les choix un peu subis, et si l’on n’a pas les bonnes cartes qui arrivent, on ne peut rien faire. C’est la vie, j’ai envie de dire. Mais si on aime les jeux un peu experts avec du barbecue de neurones, on risque de rester sur sa faim (ou sa fin ^^).
Il y a un réel travail graphique sur les cartes, les personnages ne sont pas lisses, sans aspérité, ce sont des vrais gens de tous les jours. En revanche, le plateau fait un peu cheap et pique un peu les yeux. On dirait un jeu des années 80. On se consolera en se disant qu’il ne sert qu’à placer les cartes, mais ça fait tache. J’ai même pensé à m’en passer, mais pour cela il me faudrait faire moi-même des pistes de stress, de vieillesse et de bonheur à court terme. C’est vraiment dommage.
L'avis - ou la vie - de Zuton.
Le camarade Zuton a lui aussi raconté sa vie sur son blog.
Les bonus KS
Bonus KS
Si vous êtes passé par le Kickstarter, vous avez touché plein de bonus, plus ou moins intéressants. Tout d’abord plus de cartes projets, objets, activités ou partenaires, mais aussi quelques petits éléments en plus qui rajoutent d’autres mécaniques : les animaux, les événements, les tendances et les stands alone jobs.
Les animaux
On peut adopter un animal (chien, chat, poisson, rouge, lapin) mais attention, ils ne nous survivent pas et peuvent donc faire monter notre stress quand ils nous quittent.
Les événements
À la phase adulte, au début du tour, on tire une carte événements que l’on devra résoudre au début du tour suivant. Si on y parvient, on décrochera des bonus (ou on ne les perd pas s’il s’agit d’un événement négatif). Cela va de la crise financière au Baby Boom, en passant par les catastrophes naturelles, les croissances économiques, les épidémies, les montées de la délinquance, etc. Encore une fois très thématique, j’apprécie.
Les tendances (trends)
Au tout début de la partie, si on choisit de jouer avec les tendances, on en sélectionne 3 au hasard. Elles vont nous donner des points de victoire selon le nombre de cartes possédées dans un même type. J’aime moins ce module car il pousse le jeu vers son côté points de victoire de façon un peu artificielle.
Stand-alone jobs
C’est un nouveau type de travail. Il y a 3 cartes différentes. Au lieu de faire évoluer notre travail on peut bosser dur, on prend alors une carte travail comme d’habitude, mais on peut maintenant mettre un coup de collier, ce qui consiste à dépenser plus de ressources pour gagner un peu plus d’argent.
En phase d’entretien on peut faire la même chose et gagner plus d’argent. On peut même le faire deux fois si on veut se tuer à la tache. (Là aussi, très thématique !).
Un jeu de David Chircop
Illustré par Panayiotis Lyris
Edité par Artipia Games, Stronghold Games
Langue et traductions : Anglais
Date de sortie : 05-2016
De 1 à 4 joueurs
A partir de 12 ans
Durée d’une partie entre 60 et 90 minutes
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Shanouillette 04/11/2016
Un retour identique à mon ressenti. Merci Atom.
Dr.Jacoby 04/11/2016
2 petites « précisions » si je peux me permettre :
– le bonus/malus éventuel lié à la piste de Short Time Hapiness est valable uniquement sur les projets
– (…)si l’on n’a pas les bonnes cartes qui arrivent, on ne peut rien faire(…)
Ne pas oublier que tu peux virer toute une rangée de cartes contre 1 STH …
atom 04/11/2016
Merci pour ces précisions, surtout la deuxième, car je suis passé complétement a coté …
davy 04/11/2016
et bien je suis refroidi,je vais surement pas prendre la peine de le déballer,merci pour le retour
Zuton 06/11/2016
Merci Atom pour le lien vers mon blog.
J’ai un avis beaucoup plus positif que toi car j’ai vraiment bien aimé ma partie découverte à 4 joueurs où on a tous passé un super moment. Tu n’évoques pas beaucoup les projets collectifs qui apportent pourtant un côté semi-coopératif bien plaisant !
Après, je peux comprendre ta déception, c’est effectivement très léger et épuré côté mécanismes, sans compter un plateau présentoir moche, mais la force du jeu est ailleurs (comme tu l’as dit) : dans la super ambiance qu’il génère (à condition de ne pas avoir de joueurs calculateurs autour de la table) et son thème. Il ne faut pas trop en attendre au risque de la déconvenue.
@Davy : le jeu vaut la peine d’être au moins essayé !
atom 07/11/2016
Je rejoins Zuton, ce n’est pas un mauvais jeu, mais il ne faut pas le prendre pour autre chose qu’une expérience intéressante dans un univers atypique. A doses homéopathiques pourquoi pas. mais j’avoue que passé les premières parties j’avais envie de consistant.
A Zuton, on y a joué a 2 joueurs uniquement et sinon en solo du coup je suis un peu passé a coté de ses projets collectifs.
Laurent 24/01/2018
Bonjour, y a t-il la moindre VF dans les tuyaux SVP? Merci!