Participatif, la sélection naturelle du lundi 19 novembre 2018
N° 96
Salutations ludico-participatives !
► Au programme cette semaine, on va parler :
- Du caractère (très) nocif des earlys birds temporels ;
- Du caractère nocif (mais nettement moins, encore que, ça se discute) du lancement d’une campagne un jeudi soir ;
Mais aussi, rassurez-vous, de la bonne santé d’un grand nombre de campagnes en cours actuellement.
► Déjà la chronique 97, la centième approche ! Stay tuned! On vous prépare un petit concours avec un chouette jeu à gagner !
Je vous souhaite une bonne lecture, vous dis « À la semaine prochaine ! ».
Évolution des campagnes en cours la semaine passée
► Monumental par Funforge a continué sur un bon rythme d’environ 70 soutiens par jour qui va l’amener tranquillement au rappel des 48 heures avec quelque 4 000 contributeurs au compteur (actuellement 418 600/50 000 € et 3 810 soutiens. Fin le 22 novembre).
► Encore une jolie semaine pour Officinalis par Robin Red Games avec environ 25 soutiens quotidiens. Modeste certes, mais c’est tout de même une belle réussite, la campagne devrait aborder le rappel des 48 heures avec plus de 700 contributeurs en étant financée à plus de 4 fois (actuellement 15 900/4 000 € et 610 soutiens. Fin le 23 novembre).
► Deep Madness : Second Printing par Diemensions Games, a passé la semaine aux alentours de 70 contributeurs par jour, sauf le samedi où un bond à plus de 200 a été observé, provoqué par une news dévoilant l’artbook, un pack de 31 cartes de monstres très spéciales (et très dispensables) et l’agencement de la monstrueuse mais tellement tentante BigBox. Une campagne de reprint très réussie pour Diemensions Games qui prouve qu’il est devenu un acteur majeur sur Kickstarter (actuellement 670 000/50 000 $ et 6 210 soutiens. Fin le 21 novembre).
► Semaine très tranquille (au sens « mou » du terme) pour Mutants par Lucky Duck Games avec sa toute petite vingtaine de soutiens par jour, sauf là aussi pour samedi qui a vu en arriver le double. Les 1 000 contributeurs vont finalement être franchis avec le rappel des 48 heures et la campagne se terminera financée à plus de 7 fois (actuellement 70 200/10 000 $ et 990 soutiens. Fin le 20 novembre).
► The Everrain par Grimlord Games a fait carton plein la semaine dernière. Carton plein, oui, mais rouge le carton ! Pas un jour en positif, tant en backers qu’en brouzoufs, ça faisait longtemps qu’on avait pas vu ça. Je n’ai pas suivi de près la campagne mais il semble que l’absence de quoi que ce soit qui ressemble de près ou de loin à des règles, et ce malgré les demandes répétées des backers, ait fait douter. Et comme dit le proverbe : « dans le doute, abstiens toi » (actuellement 279 500/90 000 £ et 3 460 soutiens. Fin le 23 novembre).
► J’avais eu l’espoir que parler la semaine dernière de Order of Veiel par Alexandre et David Rousseau aurait permis au jeu de trouver le financement dont il a impérativement besoin pour voir le jour, cela n’aura malheureusement pas été le cas. Mais rien n’est perdu, ne manquent que 2 500 petits Euros (actuellement 12 500/15 000 $ et 150 soutiens. Fin le 5 décembre)
► Atlantis Rising (Second Edition) par Elf Creek Games a tourné à environ 25 contributeurs par jour la semaine passée, rythme moyen mais constant. Les 1 200 contributeurs sont dépassés, la campagne est financée à pile 4 fois à 10 jours de la fin (actuellement 82 100/20 000 $ et 1 245 soutiens. Fin le 1er décembre).
► City of the Big Shoulders par Parallel Games a vu également en moyenne environ 25 soutiens arriver chaque jour de la semaine passée. Les 1000 sont en vue, il reste deux semaines pour y arriver (actuellement 79 000/60 000 $ et 910 soutiens. Fin le 6 décembre).
►Coup de mou la semaine passée pour Pipeline par Capstone Games qui voit le nombre de contributeurs quotidiens passer d’une grosse quarantaine à une petite douzaine. Les 1 500 sont tout de même dépassés, la campagne est financée à 5 fois à 2 semaines de la fin (actuellement 99 800/20 000 $ et 1 590 soutiens. Fin le 4 décembre)
► Sword & Sorcery : The Ancient Chronicles par Ares Games est resté sur un joli rythme de 110 soutiens par jour environ. Les 3 600 sont dépassés, ce qui augure du meilleur pour le rappel des 48 heures (qui devrait avoir commencé au moment où vous lirez ces lignes) (actuellement 451 600/150 000 $ et 3 710 soutiens. Fin le 22 novembre).
► ArenaBots par Happy Games Factory est le reboot d’une précédente campagne annulée en juin. Et il semble bien qu’il faille envisager sérieusement le reboot du reboot… Parce que gagner 2 soutiens en 8 jours c’est pas franchement encourageant pour la suite. Il faut dire qu’enrichir le pledge de base par rapport à la première campagne, c’est bien. Mais augmenter son prix, qui plus est en cette période surchargée de bons projets, c’est être joueur avec son propre pognon. Bon, on va dire qu’au prochain lancement, à une date moins chargée et avec une offre plus sexy, ça passera (actuellement 13 720/35 000 € et 184 soutiens. Fin le 7 décembre).
Les projets qui ont le plus attiré mon attention (en bien comme en mal)
► Les jeux de plateau basés sur une licence de jeu vidéo à succès sont de plus en plus nombreux à voir le jour, ou en tout cas à le tenter, même si « jeu vidéo à succès » n’est pas synonyme de « succès pour le jeu de plateau » tiré de son univers.
Thibaud de la Touanne, outre le fait qu’il a un nom quand même bien classe, est le fondateur de la société Triton Noir. Cette société est connue des joueurs pour être l’éditeur du jeu V-Commandos, correctement financé sur Kickstarter il y a 4 ans et qui, depuis, a largement trouvé son public. Public qui a d’ailleurs plébiscité les mécaniques du jeu, lesquelles permettent de simuler de façon bien fun les techniques d’infiltration en milieu aussi hostile que potentiellement létal.
Le gars Thibaud a, dans sa folle jeunesse, bossé dans le milieu du jeu vidéo, aussi ne serons-nous qu’à moitié surpris, voire même pas du tout, de voir qu’il a obtenu pour son dernier jeu de plateau les droits de la part d’Ubisoft du plus beau fleuron de son catalogue : Assassin’s Creed. Et voici donc venir Assassin’s Creed : Brotherhood of Venice.
Si on ne change pas une équipe qui gagne, c’est encore plus le cas quand on possède un système de jeu complet qui fait mieux que tenir la route. Triton Noir n’a donc pas cherché à réinventer la roue : c’est donc le système de jeu de V-Commandos qui a été repris pour Assassin’s Creed. Repris mais légèrement retouché pour tenter de gommer les petites imperfections de la première version, et il apparaît que c’est plutôt réussi. On reste quand même sur un jeu coopératif d’infiltration et d’élimination de nuisibles. Le tout est jouable en campagne au cours d’une vingtaine de scénarios, chacun influençant les suivants et modifiant le jeu. À ce sujet (et sur bien d’autres aspects) vous en apprendrez bien plus en lisant l’excellent article de TSR qui a pu jouer au prototype du jeu.
Par rapport à son aîné, deux choses frappent : le thème tout d’abord, qui passe des champs de bataille de la seconde guerre mondiale au Venise du XVème siècle. Et surtout, les jetons en carton ont été remplacés (pour le meilleur ou le pire, l’avenir le dira) par des figurines. Sur la page du KS, on en voit plein, très belles, détaillées, avec des poses bien dynamiques. Du très beau travail. Bien sûr, les tuiles qui forment le plateau de jeu ne sont plus les mêmes, elles représentent une ville vue de dessus avec moult toits sur lesquels gambader. De ce que l’on peut en voir, elles sont bien plus « ternes » même si elles restent elles aussi très jolies. Globalement, le jeu est esthétiquement très réussi.
On ne le répétera jamais assez, les early birds temporels, c’est le mal ! Ou à tout le moins, c’est jouer avec le feu. Combien faudra-t-il encore de campagnes qui s’écroulent dès la fin des EB pour que les porteurs le comprennent ? Malheureusement, mais sans surprise, Assassin’s Creed pourra aussi être pris en exemple d’une campagne qui se vautre à cause d’eux. Après un très bon départ qui aura vu plus de 3 000 contributeurs financer le jeu à plus de 3 fois au premier jour puis un deuxième très bon jour avec 1 750 de plus, à partir du troisième c’est la chute : 142 contributeurs. Puis le lendemain 43, puis 73, puis 14, puis… Triton Noir a eu beau dégainer de l’add-on dès le premier jour de la baisse, cela n’a servi à rien. Il est à craindre que cette semaine voit s’accumuler les jours en négatif, d’autant que d’autres campagnes du même calibre arrivent sous peu (actuellement 686 500/130 000 CA$ et 4 765 soutiens. Fin le 7 décembre).
► Annoncée pour il y a deux semaines puis repoussée à la semaine dernière, voici la campagne de Rallyman GT par Holy Grail Games. Rallyman, c’est le jeu référence de simulation de course automobile sur plateau, en tout cas de rallye et assimilé (Formula D étant l’autre référence pour la F1), depuis bientôt 20 ans. Quand même. Pour aller plus loin, découvrez cette rencontre d’Alendar avec l’auteur du jeu, et ce Just played pied au plancher.
Porté durant tout ce temps à bout de bras par son auteur, Jean-Christophe Bouvier, le jeu a bénéficié de plusieurs réimpressions. La fanbase autour de ce jeu est telle qu’une version à l’échelle 1.144 est commercialisée sur le site officiel de l’éditeur. Plateaux de jeu comme voitures (des reproductions en étain de vrais modèles de voitures de rallye. Ha, la R5 GT Turbo !! j’en était fou à l’époque) sont à peu près 4 fois plus grands. Le jeu est joué dans le monde entier et des compétitions acharnées sont régulièrement organisées.
Autant dire que Holy Grail Games pouvait la jouer sur du velours comme se planter lamentablement en lançant cette nouvelle version GT, en fonction de la réaction des fans. Mais la présence de Jean-Christophe Bouvier au générique de la campagne, gage de respect de l’esprit de l’œuvre, aura certainement calmé les plus sceptiques.
Les changements apportés par cette version GT sont surtout d’ordre cosmétiques, mais pas que. Tout d’abord, exit les circuits sur plateaux que l’on déplie et bonjour les hexagones double-face. L’avantage est évident, on construit le circuit que l’on veut en juxtaposant les hexagones. Il est ainsi facile d’adapter le circuit à la taille de la table, à la difficulté technique que l’on veut donner à la course et à la durée de partie désirée. J’aurais tendance à dire que c’est une excellente idée puisque la rejouabilité est augmentée, mais les puristes rétorqueront sans doute que les illustrations des plateaux « d’avant » mettaient dans l’ambiance et, surtout, que les circuits ainsi plus ou moins aléatoirement générés ne seront peut-être pas aussi intéressants, techniquement, à jouer.
Les tuiles sont double-face, je l’ai dit, et sont illustrées d’un côté d’une portion de circuit urbaine en asphalte et sur deux voies, et de l’autre d’une portion de circuit rurale en terre et sur trois voies. Il est bien entendu possible, et même fortement conseillé, de mixer les deux types. 8 modèles de circuits sont proposés dans la boîte de base.
Autre changement immédiatement visible, les illustrations. Non pas que les anciennes étaient moches, loin de là. Mais celles de Loïc Murzy sont plus gaies et plus pimpantes. Les pions en carton et les fiches de jeu sont très colorées, la mise en page de ces dernières est très moderne et aérée (au grand bénéfice de la lisibilité). Globalement c’est très réussi même si les nostalgiques des anciennes versions auront là encore des arguments pour faire valoir « que c’était mieux avant ». Tout n’est que question de goût et de sensibilité personnelle.
Les règles quant à elles n’ont pas été bouleversées, juste « peaufinées » (dixit l’éditeur). Étant donné que c’est l’auteur lui-même qui s’est chargé de ce peaufinage, on ne peut qu’être confiants. Résultat visible de ces ajustements, les cartes vitesse ont disparu au profit de jetons à placer à côté de la voiture concernée. Je n’ai fait que deux ou trois parties de Rallyman, mais ce système me paraît des plus pratiques.
En bref, ce Rallyman GT est une version modernisée de l’originelle, au sens de « mise au goût du jour », sur tous les plans : esthétique, matériel et gameplay. Quant à savoir si l’heureux propriétaire d’une version antérieure se doit de sauter sur celle-ci, je serais bien en peine d’apporter une réponse.
En tout cas, il y a eu assez de monde pour trouver de bonnes raisons de passer à cette version GT puisque ce sont plus de 500 d’entre eux qui ont permis à la campagne de financer au premier jour. Lancer une campagne un jeudi (certainement l’un des pires jours pour le faire) c’est quasi à coup sûr mettre un coup d’arrêt à la dynamique à cause du week-end et de fait, Rallyman GT « profite » bien de ce phénomène, même si la baisse n’est pas si dramatique que ça (de 350 à une centaine) et laisse surtout espérer un rebond dès ce début de semaine (actuellement 46 200/20 000 € et 1 030 soutiens. Fin le 6 décembre).
D’autres projets qui méritent le coup d’œil
► Grâce à l’image de l’excellent Star Realms, White Wizard Games a fait un méga carton au printemps 2016 avec Hero Realms (près de 7 000 soutiens), jeu qui a également très bien marché en boutique. Quand une formule marche, autant essayer de voir jusqu’où on ne peut pas aller. Voici donc Hero Realms Journey, un pack de 6 boosters pour le jeu éponyme. Et là, j’ai déjà presque tout dit parce qu’on s’imagine bien que les fans du jeu de base sont déjà fans de ces mini-extensions et que les non-amateurs du jeu de base n’en n’auront cure.
À noter le pack regroupant la totale du jeu, tout ce qui a été ou va être édité à ce jour (base, extensions et surtout packs promotionnels inclus) pour 99 $. Le all-in de la campagne du jeu de base était à 72 $, l’ensemble des nouveautés de cette campagne-ci est proposé à 45 $, ce qui nous fait une réduction de 17 $ toujours bonne à prendre (actuellement 227 400/50 000 $ et 4 035 soutiens. Fin le 7 décembre).
► Après l’annulation de la première campagne en tout début de mois, voici déjà revenir Krosmaster Blast par Ankama Boardgames. Bien entendu, le jeu reste le même (vous pouvez vous en faire une idée avec cette interview tournée à Essen), mais alors que nous propose donc de différent Ankama ?
Déjà, le jeu est d’entrée prévu pour 2 à 4 joueurs, alors qu’il était annoncé comme un jeu à deux la première fois. Ensuite, le nombre de figurines de la boîte de base passe de 4 + 1 ajoutée en cours de campagne à 7.
Et enfin, un mode Brawl venant avec son propre plateau, cartes, dés et marqueurs (et dont on est en droit de soupçonner qu’il aurait été débloqué en stretch goals lors de la première campagne si celle-ci s’était déroulée selon les plans prévus) est également proposé avec la boîte de base. Un enrichissement certain de cette boite donc, qui rend le prix du pledge de base (qui reste à 55 €) bien plus cohérent.
Ajoutez à cela une somme de financement qui passe de 55 000 à 35 000 € et curieusement les backers (un peu moins de 500) sont au rendez-vous et financent largement le jeu au premier jour. Comme Rallyman GT, le lancement un jeudi est un tantinet risqué et pas de miracle : même motif même punition, la dynamique une grosse baisse au cours du week-end. C’est ballot. Espérons là encore un regain d’intérêt des backers en ce début de semaine (actuellement 63 200/35 000 $ et 685 soutiens. Fin le 29 novembre).
► En 2014 sortait Champions of Midgard, édité par Grey Fox Games et localisé l’année dernière par Don’t Panic Games. Mélange de pose d’ouvriers et de combats à base de dés, il a trouvé son public et deux extensions ont suivi, elles aussi localisées par Don’t Panic Games.
L’un des reproches souvent faits à ce jeu est le manque d’interaction directe entre les joueurs. C’est l’un des aspects que corrige Reavers of Midgard : The Sequel to Champions of Midgard, présentement en campagne sur Kickstarter.
Il ne s’agit pas d’une extension, mais d’un jeu différent dans le même univers.
Le principe de base ne change pas : de la pose d’ouvriers mâtinée de combats « dice driven ». Les joueurs ne combattent plus des monstres pour devenir Jarl, mais les autres clans pour leur faire voir « c’est qui le patron » et accessoirement leur piquer toutes leurs richesses bêtement inutilisées.
Là où certains éditeurs tentent de vous refiler une version de base à peine améliorée de leur jeu pompeusement appelée « Deluxe », Grey Fox Games vous propose un jeu au matériel de luxe… mais sans le nom, ni même vraiment le tarif. 69 $ pour le matos fourni, c’est franchement correct, surtout que les stretch goals ne font qu’améliorer la chose. Ajoutez le magnifique tapis de jeu en néoprène à 31 $ (frais de port inclus quand même) et le plaisir de jeu sera total. Reste les frais de port qui piquent un peu à 17 $, mais je pense que le poids final de la boîte n’y est pas pour rien.
Bien entendu, et je suppose que le petit logo en début de bloc vous l’aura fait comprendre, Don’t Panic Games est à nouveau sur les rangs pour une localisation en français et il vous est donc possible de prendre un pledge dans notre belle langue.
Le succès de son grand frère aidant, Reavers of Midgard a bien démarré puisque un peu moins de 1 300 contributeurs l’ont financé à plus de 6 fois au premier jour. Un très bon rythme, largement supérieur à la centaine de soutiens par jour en moyenne, a suivi, et aux portes du rappel des 48 heures, la campagne est financée à rien moins que 22 fois par plus de 4 100 contributeurs (actuellement 338 500/15 000 $ et 4 240 soutiens. Fin le 21 novembre).
Ils débarquent cette semaine
► Miner’s Lagoon par ?? – Le 19 novembre
Pose d’ouvriers et gestion de ressources à la tête d’une compagnie minière.
► Badass Force par FunkyShop – Le 20 novembre
Sur un thème « arène » d’ordinaire réservé aux jeux de figs, un jeu de bluff/déduction à base de cartes.
► Reich Busters : Projekt Vril par Mythic Games – Le 20 novembre
Version plateau coopératif d’un Castle Wolfenstein ou équivalent. Fort accent sur le mode campagne.
► Tierra Y Libertad : The Mexican Revolution Game (Second Edition) par ?? – Le 20 novembre
Coopératif, à la tête de factions rebelles lors de la révolution mexicaine de 1910. Cette seconde édition devrait être la première en anglais (et espagnol).
: Désigne les campagnes conseillées par Shanouillette. : Désigne les campagnes conseillées par Gougou69. : Désigne les campagnes dont tout ou partie des éléments sont en français. € : Désigne les campagnes particulièrement intéressantes sur le plan financier. : Désigne les campagnes que nous déconseillons fortement. Légende des symboles utilisés
Le lexique du participatif
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Hugues 20/11/2018
Bonsoir, bravo pour cette rubrique hebdo que je suis assidûment
Une petite question me titille, l’absence du jeux Reflet d’acide qui est actuellement sur Ulule ? D’ailleur pas uniquement ici, j’avoue tu n’est pas ma seule lecture
L’histoire du jeux, le projet, les jeux en lui même, tout me semble bien sympa, est ce Ulule ?
Gougou69 21/11/2018
Merci pour les compliments. Le problème du jeu dont tu parles est toujours le même et porte un nom : manque de ccommunication.Avant ton post j’en ignorais jusqu’à l’existence. Aucun problème avec Ulule, sinon que c’est une plateforme qui demande encore plus de communication que KS de la part du porteur.
Hugues 21/11/2018
Ton retour ne me surprend pas, classique, mais cela aurait pu être autre chose. D’autant que le porteur du projet semble avoir été un peu dépassé par le succès. Vais le suivre, voir plus, c’est le genre de projet qui me plait bien habituellement.
Gougou69 21/11/2018
Ok, je n’avais pas eu le temps de vraiment regarder la campagne et j’avoue avoir été sidéré par le résultat (surtout sur Ulule) avant de voir que c’est tiré d’une BD, qu’il y a tout un univers autour et donc certainement une grosse fanbase. Je vais étudier sérieusement le truc, merci d’avoir signalé cette campagne.
Garwaf 21/11/2018
J’encourage ceux qui serait intéressés par ArenaBots à ne pas attendre un éventuel reboot du reboot, ce principalement pour 2 raisons :
La première c’est que je participe moi-même au projet. 😉
La deuxième c’est que même si on est fier de ce jeu, qu’on y a déjà mis pas mal d’énergie et qu’on y croit beaucoup, ben, un reboot de reboot ne serait pas acquis, parce que ce n’est pas rien de faire une campagne KS de ce type et on pourrait être forcé de se concentrer sur d’autres priorités.
Alors si voulez que le jeu existe, mieux vaut le supporter tout de suite, quitte à récupérer vos billes si jamais ce n’est pas financé !
fouilloux 21/11/2018
Si je peux me permettre, est ce que le fait de ne pas donner signe de vie depuis des semaines sur l’art de la miniature ça ne vous fait pas un peu de tord?
Xipethotek 24/11/2018
Je pense sincèrement , même si ce n’est que mon ressenti personnel que les casseroles de mohand s’accumulent et plombent des projets qui ne sont pas forcément responsables de cette » aura «