Urban Operations

Un jeu de Sébastien de Peyret
Illustré par Thomas Pouchin
Edité par Nuts Publishing
Pays d'origine : France
Langue et traductions : Anglais, Français
Date de sortie : 2017
De 1 à 6 joueurs , Optimisé à 2 joueurs
A partir de 14 ans
Durée moyenne d'une partie : 180 minutes
Durée d'une partie entre 90 et 300 minutes

Thèmes : Guerre, Historique
Mécanismes : Affrontement, Bluff, Contrôle de territoire, Plateau modulable, Simulation
Types de jeu : Wargame
Complexité du jeu : Expert

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Urban Operations utilise des blocs pour simuler le brouillard de guerre et la rotation des blocs pour montrer les coups portés par les unités.
3 campagnes (16 scénarios) comprenant des combats célèbres :

Fulda - OTAN vs Pacte de Varsovie (6 scénarios)
Mogadiscio (6 scénarios)
Four Aces - unités d'élite de 4 nations
Marines américains à Fallujah (04)
Légion étrangère française à Kolwezi (78)
Les parachutistes russes à Groszny (99),
Rats du désert britanniques à Bassrah (03)

Système de jeu : simple mais efficace

Dès le début du développement d'Urban Operations, toutes les complexités de la guerre urbaine ont été prises en compte. Sur un plateau de jeu classique, des symboles de terrain sur la carte et des règles spécialement conçues permettent de représenter les effets des armes, qui sont l'une des principales sources de pertes dans les combats urbains.

De même, le système de cartes permet de gérer les tirs à distance, même d'un bâtiment à l'autre, ainsi que les combats rapprochés d'une pièce à l'autre. Lorsque des explosifs sont utilisés pour percer des murs, ou lorsqu'un obus atteint sa cible, les effets collatéraux de l'explosion sont pris en compte. Il était également essentiel d'intégrer l'un des acteurs majeurs des conflits actuels, à savoir la population civile. La présence de non-combattants complique souvent la manière dont les forces peuvent utiliser leurs armes, en particulier contre des adversaires irréguliers.

En outre, la présence de chefs tactiques est un véritable atout pour les groupes d'assaut. Enfin, les équipes de soutien au combat peuvent apporter un soutien logistique sur la ligne de front, afin d'améliorer le statut opérationnel de n'importe quel élément.