Les Tiny Epic, on ne les arrête plus.

Si vous ne saviez pas encore que tout ce qui est petit est mignon, alors c’est que vous vivez dans un bunker depuis au moins un an. Dans le monde ludique c’est powa to the little. Du coup, Scott Almes, qui nous avait fait plaisir avec Harbour, se lâche sur les Tiny Epic Kingdoms/Galaxies/Galaxies Deluxe/Defenders/et maintenant Western. Enfin, maintenant, c’est prévu pour 2016. Mais 2016, c’est presque maintenant. D’ailleurs, vous faites quoi pour le réveillon ? [Alert alert ! Premier cas de vous faites quoi pour le réveillon recensé dans le 69 !]. Bon en attendant, Scott Almes il nous emmène dans le far-west et ça, ça fait toujours plaisir. Faut dire, ça se développe de jour en jour là-bas, faut voir les villes-champignons qui germent de partout, et les fortunes qu’ils se font, et vous voulez en être ! Et oui, si on peut se faire un peu d’oseille, on dira pas non. Les temps sont durs dans l’ouest lointain. 

Tiny Epic Western a le culot de mixer bluff et pose d’ouvriers, ce qui est colle pas mal avec notre thème à bien y réfléchir. 

Pour gagner, vous devez jouer de vos influences avec les personnages les plus puissants en ville. Cette emprise-là prend de nombreuses formes : droit, argent et le pouvoir. Si vous êtes assez intelligent, vous serez en mesure de prendre le contrôle de bâtiments (symbolisant diverses industries pourrait-on dire) dans les villes sans cesse croissantes et vous pourrez acquérir de puissantes capacités.

Wild Wild West baby

Le jeu est joué sur une série de tours. Chaque tour, des cartes de poker sont distribuées entre les différents lieux, qui sont installés en cercle. Les joueurs placent leurs cow-boys sur ces cartes de lieux, ce qui donne une action et compte comme une enchère pour les ressources précieuses proposé par l’emplacement.

Les joueurs possèdent également une carte de poker (plusieurs, lorsqu’ils ont acquis des pouvoirs) et utilise les deux cartes adjacentes à partir d’un lieu pour former une main de trois cartes. Cela crée un « savant mélange de placement d’ouvriers et de poker moderne ». En outre, les joueurs doivent gérer leurs ressources (Loi, Argent et la Force… Côté obscure ou pas, c’est pas précisé) afin d’acheter les bâtiments et lancer des fusillades parce que se la jouer pistolero, c’est la base.

Si vous avez la plus haute participation dans l’industrie la plus lucrative à la fin, vous serez récompensé en points de bonus. Ajouter ces points à ceux que vous avez recueillis via l’achat de bâtiments et vous l’avez, votre pied tendre de gagnant. 

> La wild wild fiche de jeu 

Un jeu de Scott Almes
Illustré par Adam P. McIver
Edité par Gamelyn Games
Langue et traductions : Anglais
Date de sortie : 2016
De 2 à 4 joueurs
A partir de 14 ans
Durée d’une partie entre 30 et 45 minutes

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