Le pillage de l’orient a ses limites

60%

Jeu de « commodity speculation » assez filou, mâtiné d’un peu de pose d’ouvriers pour développer sa flotte et pour aller chercher divers avantages.

Cinq manches, cela me paraissait trop long car le processus est assez répétitif. Mais au final, l’évolution est assez fascinante de réalisme. A tirer sur la corde du capitalisme, nos compagnies épuisent la production en orient. Au risque de ramener des denrées qui ne valent plus rien sur les marchés européens suralimentés.
Même si le mécanisme d’achat de titres ne m’a pas vraiment convaincu, il a le mérite de proposer autre chose que les jeux de gestion habituels. La tournure de la partie et les situations réservent plus de surprises qu’on pourrait croire.

Pour cette raison, c’est une curiosité à goûter au moins une fois.