un pledge manager pour la guérilla écologique de Defenders of the Wild

Defenders of the Wild est un projet de jeu coopératif imaginé par Henry Audubon, monsieur Parks et Trails mais aussi Cosmoctopus qui va sortir chez Lucky duck, accompagné de T.L. Simons qui avait sorti Bloc by Bloc en 2022. Le jeu est porté par la petite maison d’édition Outlandish Games (Bloc by Bloc).  La DA, toute anthropomorphique qu’elle est, n’est pas sans rappeler l’univers de Root (2018) pourtant il ne s’agit pas de l’œuvre de Kyle Ferrin ici mais de Meg Lemieur & T.L. Simons. 

 

 

Côté gameplay nous pensons plutôt à une sorte de Spirit Island. Le thème y fait penser puisque vous combattez ensemble une force implacable qui s’acharne à détruire la nature, en augmentant votre pouvoir/présence. Dans ce jeu, vous jouez un animal incarnant l’une des quatre sociétés de la forêt, organisant le soutien de votre communauté. 

Depuis des millénaires, les animaux font face à des alliances changeantes et au cycle des saisons centenaires, mais ils n’ont jamais été confrontés à un ennemi comme celui-ci, à savoir une armée de machines alimentée par une magie noire. Dans les marais, les plaines, les montagnes et les forêts, des équipes de défenseurs se dressent pour résister à l’occupation de ces mechs de malheur qui détruisent tout sur leur passage.    

Pour une once d’asymétrie, vous jouez soit le Conseil avec sa force d’âme, l’Ordre avec sa sagesse, la Secte avec ses inventions ingénieuses, et le Coven avec ses sorts et ses subterfuges.

Les joueurs organisent donc la résistance animale. La construction d’un nouveau noyau de machines et d’un complexe industriel tentaculaire a commencé là où se trouvait autrefois un village d’animaux. Des engins construisent des murs qui enferment les habitats les uns après les autres, tandis que les mechs surveillent les usines en expansion. La pollution toxique se répand. Les organisateurs doivent coopérer entre eux malgré des désaccords de longue date entre les factions et aider leur réseau de défenseurs à mener des actions aux bons endroits et aux bons moments afin de remporter cette bataille. Dépolluez, combattez les mechs, ouvrez des brèches dans les murs, construisez des camps et réensauvagez les usines avant que les machines n’achèvent la construction du noyau et ne conquièrent la région. 

 

 

Au début du tour, les joueurs doivent cesser de communiquer pour choisir silencieusement une carte de Défenseur de leur main. Une fois celle-ci révélée, vous pouvez commencer à discuter stratégie. 

Lorsque c’est votre tour d’être le joueur actif, vous pouvez entreprendre autant d’actions que le nombre de points indiqué en bas à gauche de votre carte de Défenseur (entre 2 et 4 points d’action). Certains défenseurs ont des spécialités, mais tous pourront vous permettre de vous déplacer sur les hexagones du plateau central, construire des camps (condition de victoire, et permet d’avoir plus de cartes en main), vous soigner, dépolluer un hexagone (mais attention, cela vous blesse), détruire un mech, etc.   

 

 

Après avoir effectué toutes les actions de votre tour, piochez et résolvez une carte Machine. Les machines disposent de trois moyens pour l’emporter : la pollution, la construction ou l’éradication. Il faudra donc tenter de jouer contre ces trois axes simultanément. Tout le jeu se situe dans ce casse-tête collectif qui consiste à trouver comment combattre ces menaces. C’est collectif, mais chaque joueur choisit ses cartes et ses actions en silence ce qui devrait bien limiter l’effet Leader

 

Le jeu a été lancé sur KS avec succès (2 846 contributeurs) et termine actuellement sa course sur Gamefound pour un pledge manager ouvert jusqu’au 12 juillet prochain, proposant également The Defenders Almanac un jeu de rôle dans le même univers. 

 

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