The Few and Cursed: Board Game en français dans le texte
Jeu financé en trois jours sur KS il y a environ un an de cela, The Few and Cursed de Mike Gnade avait réussi à décrocher 18 stretch goals sur la plateforme de financement. Désormais, nous savons que le jeu va arriver en français d’ici octobre/novembre, via Boom Boom games.
« L’ouest sauvage et post-apocalyptique n’attend plus que nous ! À la chasse aux Monstres dans un jeu d’aventure, avec quelques mécaniques de deck-building, des cartes rencontres, de l’équipement à acheter, des artefacts à trouver, des jobs à réaliser… » publie l’éditeur français sur sa page FB.
« Basé sur la série de bandes dessinées The Few and Cursed de Felipe Cagno et Fabiano Neves, le jeu de société développe le savoir-faire de la bande dessinée et donne vie à ses personnages et créatures grâce à des figurines étonnantes ! » pouvait-on lire au moment de la campagne. Et l’ami Gougou vous en parlait en détail :
Posons le contexte de l’histoire. À l’époque du Far West, cela fait 70 ans que la quasi totalité de l’eau a disparu de la surface de la planète, avec les effets dévastateurs que l’on imagine. Un partie de l’humanité a survécu et utilise ce qu’il reste du précieux liquide comme monnaie. Mais les hommes n’ont pas que l’eau comme problème, des bestioles et des machins sortis dont ne sait où pullulent et sont un autre danger mortel permanent. Mais une jeune (et belle – Ndlr et brave) femme au cheveux de feu parcourt cette terre dévastée à la recherche de ces saletés pour les éradiquer. Elle a pour nom Red, et elle n’est pas là pour rigoler ni pour enfiler des perles. En bref, ça va charcler sévère et tout ce qui diffère un tant soit peu d’un humain normal va en prendre pour son grade. Voilà, que de l’amour et des petits zoziaux donc.
Bien entendu, dans le jeu il n’y aura pas qu’un seule héros, enfin, une seule héroine en l’occurrence. D’ailleurs, qu’est exactement le jeu ? Et bien, il est présenté comme un jeu d’aventure dans lequel les joueurs vont tenir le rôle de chasseurs de malédiction et vont devoir accomplir des quêtes, ramasser des primes, combattre des monstres, chercher des artefacts aux pouvoirs surnaturels, etc. Bref, la routine quoi. Chaque héros a des capacités qui lui sont propres et chaque joueur démarre avec un deck de cartes particulier, ce qui rend le jeu asymétrique.
Car le cœur du gameplay du jeu est le deck-building, mais avec une particularité : il n’y a ni marché ni rivière. Pour compléter son deck, le joueur tire des cartes de la pioche et en choisi une qu’il joint à son jeu. Pourquoi pas, à voir à l’usage mais on est en droit de se dire que si l’éditeur a validé le concept, c’est qu’il fonctionne.
Des cartes de rencontre seront tirées au cours du jeu en fonction de l’emplacement du joueur sur le plateau de jeu, cartes qui peuvent potentiellement rendre un héros maudit en fonction de ses choix, et ça c’est gênant.
Question direction artistique, la question est vite réglée. Soit vous aimez les illustrations de la BD, et là c’est du tout bon, soit ce n’est pas le cas et il y a peu de chance que le jeu vous parle visuellement. Car il est bien entendu parfaitement fidèle à la dite BD ce qui d’ailleurs, outre son thème, lui confère une certaine originalité. Les quelques figurines présentées (4 héros et 4 monstres) semblent être de bon aloi et l’ensemble du matériel est au final assez joli. Les plateaux joueurs sont double couche, et ça c’est très bien. »
Depuis, la campagne a débloqué pléthore de stretch goals comprennent des jetons d’artefacts en bois, de nouvelles primes, un mode coopératif, la mini-extension The Fallen Immortals et un cinquième et sixième personnage jouable : Alistair et Ze Amado.
Ces personnages supplémentaires font qu’avec la boîte Deluxe, vous pouvez jouer jusqu’à 6 joueurs. Bref, de quoi s’occuper, et le tout en français cet automne !
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