On était mieux en ville

50%

My City fut un tel succès à la maison que nous nous sommes lancés sans hésitation dans la suite spirituelle à la sauce hexagonale.

Seulement voilà, My Island n’a pas donné lieu au même emballement général. Point de double-parties enchainées. Plusieurs jours au minimum, voire plusieurs semaines entre chaque partie. Une ado qui se fait carrément prier pour continuer, tant la motivation est faible. Au moment où j’écris ces lignes, la campagne végète d’ailleurs aux trois quarts. Difficile d’affirmer si elle sera menée au bout un jour.

Même l’ouverture d’une nouvelle enveloppe peine la plupart du temps à relancer l’intérêt pour plus que la partie suivante. Restent alors deux autres séances quasi similaires à tirer. Quelques twists sont pourtant là, alors pourquoi ? Intrinsèquement moins imaginatif, ou est-ce simplement la magie qui s’estompe au fur et à mesure des opus ?

Difficile d’estimer à quel point le fait d’avoir vécu My City au préalable minore l’intérêt de My Island. Toujours est-il que le dernier arrivé souffre assez sévèrement de la comparaison.