Nani neko
Kyoto no Neko propose du matériel mignon.
Tant mieux, mais c’est loin d’être mon critère principal. J’aurais préféré un jeu pourvu d’un espace de décision fondé.
Parce qu’ici, de ce que vous découvrez en exploration (pile poil l’activité recherchée à cet instant, ou un chien errant hostile qui vous fera perdre le tour et retourner à la case départ ?) jusqu’aux omniprésents jets de réussite des actions, quasi-tout est aléatoire.
Le système d’objectifs-grelots, avec une progression supposée, va tellement vite qu’il n’a guère de sens. En à peine quelques tours, nous étions déjà arrivés à la taille maximum.
Bref, la partie de découverte aura duré moins de temps que son installation. Malgré l’attirance éventuelle pour la mise en scène thématique, le gameplay composé de déplacements en aller-retour bien lourdingues et truffé de tirages coupe toute envie de creuser plus loin.



