Avis de morlockbob sur le jeu Tokyo Highway

80%

 

Jeu sobre et épuré, TH était au départ conçu pour deux joueurs, puis (devant le nombre de conducteurs?) a vu ses kilomètres se développer, on peut y jouer à 4 désormais. Tant mieux, car plus on est, plus on devra faire tours et détours pour bâtir sa route ? Bâtir n’est pas compliqué, bâtir pour être tout au dessus ou tout en dessous des autres et marquer des points (en posant ses petites voitures) l’est déjà plus. Il faut souvent prendre l’avantage au début et économiser ses pylônes. A la fois un peu tactique mais aussi très « dextérité obligatoire » (si vous avez la tremblade ou deux mains gauches, ça risque d’être plus dur pour vous), ce jeu de pose de « touillettes à café géantes » est prenant. Et, comme dans Junk Art et ses constructions en bois, vous aurez à la fin un panorama unique de la ville et de ses infrastructures.

 

 

 

Un autre avis ?

Qualité du materiel : 5/5
Accessibilité des règles : 3/5
Mecanismes : 4.5/5
Durée de vie : 4.5/5
Thème : 4.5/5

Un jeu improbabal, un OLNI, enfin bon jeu inqualifiable que le père noël à ramener un peu par hazard... et il à bien fait.

Si on passe au déssus des regles qui bien que courte manque de clartée et de lisibilitée (dommage pour une autoroute même japonaise me direz vous...), la matos est agréable et les couleurs des voitures flash sur le gris bétons ce qui rend super bien sur une table, et quand une grande partie du plaisir du jeu est de regarder son oeuvre en fin de partie ba ça augmente le plaisir.

Un thème simple et bien illustré fasont l'autoroute la plus allembiquer possible pour poser ses voitures sans que le partenaires en pose trop quand même... se qui sert très bien le mécanisme ou la précision est de mise et le moindre éternument fera trembler tout le monde...

Une durée de vie infini, et si on rajoute les bétiments a quatre le plaisir n'en est que décuplé non franchement une super découverte et même si je suis adroit et préci comme un éléphant bourrée dans un magasin de chateau de carte le plaisir était la (la defaite aussi mais bon...) et la fiérté d'avoir fait une belle autoroute ou j'espère ne jamais avoir à rouler par contre...