Compte rendu de la partie :

C’est avec un plaisir non dissimulé que nous sommes retournés dans l’univers du clown croisé avec Monkey Island. Toujours des associations façon jeu vidéo des années 80, de la couleur, et de la bonne humeur (humour, je ne sais pas on était pressés quand même). On a seulement buté sur deux trucs : un mécanisme où nous n’avions pas bien lu les instructions de saisie, et où on a enchainé les pénalité, et la sortie, où on a été perturbés par le fait de n’avoir plus aucune carte pour travailler. Contrairement à d’autres fois, on est plutôt contents de cette dernière énigme.

Unlock 3 est bien parti pour être un bien meilleur cru que son précédesseur, où la qualité des univers masquait pas mal de déséquilibres ou d’énigmes capillotractées.