Saint Petersburg (2e edition)

Un jeu de Bernd Brunnhofer, Karl-Heinz Schmiel
Illustré par Anne Pätzke
Edité par Hans im Glück Verlags-GmbH
Langue et traductions : Allemand, Anglais, Français
Date de sortie : Février 2015
De 2 à 5 joueurs
A partir de 10 ans
Durée moyenne d'une partie : 45 minutes

Thèmes : Art, Ville
Mécanismes : Combinaisons
Types de jeu : Jeu de cartes
Complexité du jeu : Amateur
Présent sur le(s) salon(s) : Essen 2014

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2e édition du jeu Sankt Petersburg !

Saint petersburg, une des plus belle villes du monde, avec ses magnifiques bâtiments.
Ce sont ces bâtiments que l'on va construire, en faisant appel aux nobles et artisans de la région.


INFOS

 

Le jeu se compose d'un plateau rudimentaire, de 4 types de cartes (artisans, bâtiment, nobles et extension) associés à leur symboles, des billets de banque en roubles et des pions pour compter le score sur la piste.
On commence tous avec 25 roubles et un ou deux pions symbole (aussi appelé pion de maîtrise).

Chaque tour de jeu se compose en 4 phase, une phase par type de carte que l'on propose en remplissant le plateau où les joueurs vont acheter des cartes ou les mettre dans la main pour les acheter plus tard.
Si on achète une carte que l'on a déjà acheté auparavant, ceci fait une réduction de 1 rouble par carte déjà acheté. On ne peut pas acheter une carte pour moins de 1 rouble.
On commence par la phase des artisans. Le joueur avec le pion artisan fait une action, puis sont voisin de gauche et ainsi de suite jusqu'à ce que tous les joueurs aient passé. Si on passe, on n'arrête pas la phase pour autant, on peut revenir dans le jeu à son tour.
Dès que tous le monde a passé, on compte les points de victoire et les roubles produit par les artisans, et on passe aux bâtiments, en commençant par remplir le plateau de cartes bâtiments.

Celà se passe exactement de la même façon pour les bâtiments puis les nobles : on achète des cartes ou on les prend en main, et on décompte les bâtiments.
La phase des extension a une petite différence car il n'y a pas de décompte à la fin de cette phase. Les cartes extensnions sont un peu différentes des autres, car elles se posent en remplacement d'un autre, le coût étant réduit du coût de la carte de remplacement. Par exemple, je veux remplacer mon marché qui coûte 5 roubles par une banque qui en coûte 13, je paye 8 roubles, je jette le marché et je pose la banque. Comme le marché n'est plus là, il ne permet plus de réduction pour les prochains marchés achetés.

En fin de tour, on pose une réduction de 1 rouble sur les cartes encore présente. auparavent, si des cartes avaient cette réduction, on les retire de la partie. On échange nos pions symboles et on recommence un nouveau tour.

si à la fin d'un tour (donc, phase extension), un des 4 tas est vide, on arrête le jeu.
A ce moment, chaque carte restée en main coute 5 points de victoire, chaque paquet de 10 roubles en apporte 1, et les nobles différents apportent egallement des points de victoire. Celui qui a le plus de point de victoire gagne la partie.

Pour agrémenter toute cette mécanique, il faut aussi ajouter quelques bâtiments aux pouvoirs spéciaux.


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